Vous n'êtes pas identifié(e).
De rien, Jeam, s'il s'agissait juste de piquer... (mais ce n'est pas une adaptation d'après ce que j'en sais).
En faisant une recherche sur Coq hardi, SELPA, Paul Mystère et alias ou Jean Normand, tu en trouveras. Mais ce n'est pas aussi évident que tu le crois, la production a été importante et ces collections sont d'une part pas si faciles à récupérer, d'autre part, elles sont souvent assez chères.
Pour l'instant, les Bérato sous pseudos sont souvent du polar ou de l'aventure assez rigolos d'ailleurs mais je ne suis pas objective, j'admire beaucoup Paul Bérato.
héhé...
N'ayant aucune envie de faire des recherches généalogiques en Argentine, je me dis que la personne qui a réalisé l'article sur La Batalla paraît avoir poussé ses recherches jusqu'à l'état civil contrairement aux autres occurrences. Par ailleurs, et je partage son opinion, elle précise bien que l'auteur avait décidé d'être Alejandro Sux toute sa vie adulte, que ce soit sur le plan privé, littéraire ou politique, il n'y a pas lieu de contrarier ce monsieur post-mortem. Donc, Maudet, Daudet... (et Maudet est encore un nom recensé en Argentine), c'est comme vous voulez.
Sur un air de Charleston (1927), film muet de Jean Renoir est un court métrage burlesque et très animé d'anticipation. Irrévérencieux à plusieurs niveaux, le cinéaste et son athlétique épouse culbutent littéralement quelques conventions et livrent une superbe leçon de Charleston avec le concours d'un danseur extraordinaire de la Revue Nègre*. La musique qui suivait les ébats des acteurs n'a jamais été enregistrée, le film n'est donc pas sonore du tout, si vous avez l'occasion de le voir, n'oubliez pas de prévoir un fond musical (pour ma part, j'avais la flemme de chercher du charleston de circonstance, j'ai juste mis When The Music's Over des Doors, curieusement, c'était plutôt harmonieux).
Un film sur lequel vous lirez un article détaillé et intéressant ici : http://www.festival-lumiere.org/lumiere … eston.html , je vous présente ici quelques images de "film raconté" comme on le faisait si bien dans les années 1920, pour retranscrire l'émotion et la bonne humeur qui s'en dégagent.
* un extrait de la leçon : http://vimeo.com/37042362
2028, un cataclysme ou une guerre a laissé la Terre dans un état pitoyable. La civilisation a survécu en Afrique, un élégant savant entreprend l'exploration des Terres Inconnues dans son "bathyscaphe" aérien.
Dans la zone dévastée, quelques survivants à peine. Une jeune sauvage et son compagnon velu vivent dans les ruines, luttant dans le dénuement contre l'invasion de la vermine. La terreur les gagne quand surgit une boule volante dans le ciel et atterit sur la colonne creuse qui sert de refuge à l'indigène.
Alors que la frayeur étreint le coeur naïf de l'enfant sauvage, subjuguée par les bruits du retour de la civilisation, l'explorateur contemple tristement les décombres du désastre, ces ruines majestueuses, témoins d'une grandeur anéantie.
N'ayant aperçu qu'un grand singe craintif, le savant avide de connaissance s'aventure hors de son vaisseau. Mais enhardie par l'aspect inoffensif du visiteur, la sauvage curieuse bondit hors de sa cache et le poursuit. A son tour affolé, l'explorateur fuit sans pouvoir rejoindre son véhicule dont la roublarde indigène interdit l'accès. Il finit par être capturé et ligoté à un mat, résigné à être mangé dès que sa geôlière aura achevé une étonnante danse tribale.
Malgré son désespoir, le savant ne résiste pas à l'attrait anthropologique du rituel barbare qui se déroule devant ses yeux. Médusé, il reconnaît la manifestation d'une théorie historique, le Charleston a existé et existe encore.
Conquis, le civilisé remet sa vie entre les mains de la sauvage, il est prêt à être dévoré puisque la science a été satisfaite. Mais la jeune femme n'aime pas la viande noire, elle préfère initier l'explorateur à ses coutumes. Un peu emprunté, l'homme finit par éprouver une profonde émotion dans l'expression primitive et naturelle de l'humanité.
Libéré, le voyageur s'apprête à retourner vers la civilisation révéler ses découvertes fondamentales. A sa grande joie, La jeune sauvageonne accepte de l'accompagner malgré la peine qu'elle éprouve à abandonner son singe familier. Avant de quitter son berceau natal, elle n'oublie pas d'embarquer ses attributs d'apparat, une cape de fourrure et une ombrelle.
FIN.
(Note : J'ai omis consciemment les interventions angéliques et l'apparition surnaturelle d'un téléphone mural, amusantes, mais sans grand intérêt dans le déroulement.)
Non.
http://www.enelvolcan.com/sep2012/174-e … ca-en-1927
http://www.acanomas.com/Diccionario-Esp … 959%29.htm
Les "books" de google ont aussi des coquilles.
Llamaremos a Maudet por el pseudónimo de Alejandro Sux, con el que el personaje se presentó en los espacios públicos. Tal autoadscripción identitaria fue aceptada por afines y adversarios. Esta opción del historiador pretende ser más respetuosa de la perspectiva del actor, que de la formal filiación personal que se desprende de los registros estatales.
Pseudonyme d'Alejandro José Maudet.
Écrivain et journaliste argentin, anarchiste, directeur de La Batalla, journal libertaire au Mexique en 1927, correspondant littéraire en France.
Un peu avant ses engagements dans La Batalla dont il fut le directeur de publication, Alejandro Sux écrivit ce récit typique du début du XXe siècle, épris d'idéaux extrêmes et de dandysme, un parcours initiatique vers un absolu inatteignable dont les péripéties sont nettement extraordinaires.
L' Assassin Sentimental (El Asesino sentimental, 1925)
Agence Mondiale De Librairie, Impression en novembre 1926, 232 pages, trad. Adrienne Salers, broché illustré
à noter que l'édition espagnole est une transcription exacte du nom de l'éditeur : Agencia Mundial de Libreria (Paris)... et que la couverture est beaucoup plus attirante!
Un aristocrate sud-américain, dandy réputé et esprit acéré, raconte au narrateur l'expérience amoureuse qui l'a entraîné à épouser une philosophie très particulière. Il parcourt désormais le monde pour sauver les malheureux, les tuer plutôt que les laisser mourir par accident après être né de la même façon...
Son expérience a eu lieu dans la jungle tropicale de l'Amérique du Sud lorsqu'il rencontre et consacre un amour éternel à une jeune fille surhumainement belle, issue d'un peuple étrange de blonds aux yeux bleus. Avec elle, il entame un voyage initiatique et fantastique qui lui fait rencontrer un peuple d'indiens, une société utopiste. La jalousie fait interruption et tout est entaché, n'ayant plus foi en la supériorité de son amante, le dandy la tue. Pourtant, quand il rend le corps à son peuple, le chef et père de la jeune femme lui apprend qu'elle l'a a tout jamais dominé. C'est ce qu'il pense en éliminant chaque être qui malgré ses dons n'a rien accompli...
Les Enfants de Timpelbach (Timpetill, 1937)
De cet auteur, on connaît bien L'Affaire Caïus (1953), un polar antique très sympathique, qui est désormais étudié dès l'entrée au collège. Les Enfants de Timpelbach, plus ancien, est très amusant, le roman a été remis au goût du jour en 2008 au cinéma et a connu une nouvelle vague de publication. Reste que l'édition de la bibliothèque rose demeure mon préféré grâce à une très jolie couverture de Jacques Fromont qui illustre parfaitement cette espèce d'utopie enfantine.
Tous les parents disparaissent pendant deux jours, lassés des frasques de leurs enfants. Pour les gamins, après la stupeur, il faut s'organiser pour tout faire fonctionner. (Les parents décidés à faire une farce punitive à leurs insupportables marmots ont été pris pour des envahisseurs - on est en 1937 - et emprisonnés 48 heures)
Les débrouillards de Timpelbach, illustrations de Jacques Fromont, Texte français d'Olivier Séchan.
- Hachette, Bibliothèque rose n° 11, 1972, 186 pages
- rééd. 1977, à l'identique. ISBN 2-01-004374-X
Les autres éditions toutes sous le titre Les Enfants de Timpelbach et traduites par Olivier Séchan.
- Hachette, Idéal-bibliothèque n° 125, 1957, 191 pages, cartonné avec jaquette illustrée, Illustrations de Jacques Pecnard
- Le Livre de poche Contes et merveilles n° 24 2001, 247 pages, Illustrations De Jean-Paul Barthe ISBN 2-01-321889-3
- Hachette jeunesse, 2008, 234 pages ISBN 978-2-01-201582-1 (Publié à l'occasion de la sortie du film avec une photo ciné : Les enfants de Timpelbach, un film de Nicolas Bary, 2008.)
Je lis sur FB et sur un journal belge que Maurice Rosy est mort, encore un grand de Spirou qui s'en va.
Je ne peux pas dire que j'ai tout lu et que j'étais une inconditionnelle mais j'ai appris en même temps qu'il avait illustré les mini-strips des chewing-gums Malabar, et ça je m'en souviens très bien, j'en ai mâché plus qu'à mon tour!
Mieux, un amateur providentiel en a établi la galerie ici : http://www.mr-malabar.fr/histoiremalabar.html et je les reconnais!
Mauvaise nouvelle, la base de données a de nouveau disparu même en backup.
Une vocation ou tout simplement l'envie d'en apprendre plus sur le difficile métier de traducteur? Jean-Daniel Brèque répond dans une interview menée par deux étudiantes en édition ici : http://littexpress.over-blog.net/articl … 20596.html
Le Visage Vert annonce la naissance de sa collection e-book : http://leblogduvisagevert.wordpress.com … 1/hi-bouc/
Nous fêtons aujourd’hui la naissance du premier e-book du Visage vert… Les Saisons, un recueil de nouvelles de l’auteur roumain Ana Blandiana, notre dernière publication en date, est publié à la fois en papier et en version électronique, sous la forme d’un très joli pdf testé sur toutes les tablettes et préservant soigneusement nos efforts typographiques. Bloggeurs littéraires, si vous souhaitez le lire, faites-nous signe via les commentaires !
(NB : Ne vous jetez pas immédiatement sur le site du Visage vert pour l’acheter, amis lecteurs, il n’y est pas encore. On vous tient au courant.)
C'est formidable de pouvoir utiliser un fort joli mauvais mot et en être remerciée!
Cher procureur, j'avoue, j'avoue tout, l'accusé est coupable, ma défense tombe désarmée, il se débrouillera seul!
(ah, c'est un bon jour que celui où l'on peut être vilain avec bonne conscience )
STOP au copier-coller, le copier-coller nuit à la digestion, encombre les artères, secrète des humeurs bilieuses!
Mis à part ceci, Charles et Vor-Teks, vous êtes admirablement retors!
L'idée que l'imaginaire revient en géographie (ou retourne), c'est peut-être en l'honneur des premiers géographes qui n'étaient littéraires que parce qu'il était impossible d'être autre chose au temps des premières cartographies du monde, et qui imaginaient ce qu'ils ne pouvaient connaître que par la puissance de l'esprit, de l'extrapolation? Pour Jules Verne, évidemment, le monde était beaucoup moins inconnu et il était, dans ses romans, un véritable romancier, donc utilisateur de la géographie.
Très jolis ces deux recueils.
J'ai joué!
http://www.bdfi.net/auteurs/b/boulle_pierre.php
Edition en parallère à l'édition Julliard en beau livre au Cercle du Nouveau Livre du roman La Planète des Singes.
Parution au 1er trimestre 1963 (impression le 8 janvier 1963), maquette de Jeanine Fricker.
Couverture toilée verte avec motif d'arbre en creux, 270 pages, édition numérotée (nombre inconnu).
Le mien est à page blanche aussi, et le souvenir m'est revenu du "bug" en lisant la dernière ligne et la suite.
Cher Vor-Teks, la parution chez cet éditeur très sympathique a été annoncée ici hier : http://forums.bdfi.net/viewtopic.php?pid=44533#p44533
Ici, par contre, on a été un peu douché par l'auteur
Un projet coopératif en marche, le catalogue des Indés de l'Imaginaire est désormais disponible en ligne.
On peut le feuilleter ici :
http://www.calameo.com/read/0015454988d400af61171
ou le charger au format .pdf ici :
http://www.moutons-electriques.fr/
La numérisation officielle de la BNF, la flibuste en haute mer :
http://www.actualitte.com/reportages/bn … s-1928.htm
De quoi aimer les libérateurs et les petits pirates qui au moins, nous piquent pas nos taxes. De quoi dégoûter de la légalité qui n'a plus rien de loyal et qui peut même faire mourir les gens idéalistes :
Les Intergalactiques 2013 de Lyon remodèlent leur emploi du temps à la hausse : 25 au 31 Octobre 2013.
Tout comme son thème, le festival mute une dernière fois en recalant légèrement ses dates. On ajoute donc pour le même prix trois jours de Science-Fiction à Lyon.
On prépare notamment une soirée Cyberpunk à l'occasion du 31 octobre qui risque de rester dans les mémoires !
Infos toujours : www.intergalactiques.net
Les lecteurs peuvent voter jusqu'au 31 mars 2013 pour le prix Merlin qui récompense depuis 2002 un roman et une nouvelle de fantasy ou de fantastique parus l'année précédente.
http://presences-d-esprits.com/prix-merlin/listes.php
En 2012, les récits primés étaient le roman Les Larmes rouges de Georgia Caldera et la nouvelle Le Visage de la bête de Romain Billot.
Les éditions du Riez proposent jusqu'au 20 février 2013 la commande en ligne de quelques unes de leurs publications avec dédicace pour les amateurs qui ne pourront se rendre au festival Zone Franche.
La Loi du Désert, Les Tangences Divines, Dernière Semaine d’Un Reptile de Franck Ferric
Le Ballet des Âmes de Céline Guillaume
Au Sortir de l’Ombre, La Guerrière Fantôme de Syven
Les Pousse-Pierres d’Arnaud Duval
Yanis Déesse de la Mort, Sinièn Déesse de la Vie de Valérie Simon
Expédition des livres le 25 février…
Eh bien, si ce n'est pas à la gloire de Rosny, c'est intéressant pour un thème cher à l'auteur, Totofouinard vient de m'envoyer ce lien bien sympathique de démo pour un bouquin sorti le mois dernier, La plus vieille énigme de l'Humanité, Fayard, de Bertrand David et Jean-Jacques Lefrère :
le roman graphique est vraiment un genre dans la bd en générale , comme le manga , mais il est mis a toutes les sauces
On n'en doute pas, mais ça ne viendra à personne d'écrire M pour Manga, par contre, je sens venir le RG, et de là à Ergé, il n'y a qu'un pas... et dans l'un ou l'autre cas, je suis contre!
Merci de votre visite!
Et pour éclairer (sic) les visiteurs à propos de cette "Ombre sur le livre", Fantômas en parlait l'année dernière sur son blog ArchéoSF ici : http://archeosf.blogspot.fr/2012/07/oct … livre.html
Super!
(Gil) Normalement, tout (ce qui est fiction) est déjà en base. Pour les articles, un jour peut-être...
J'allais mettre un Maj-BDFI mais le recueil est déjà rentré, pour une fois, je tiens à le signaler
http://www.bdfi.net/recueils/pages/doub … e.php#som4
Très beaux blog, page Facebook et prosélytisme! Et vive Rosny Aîné!
(et merci pour la permission acquise sans l'avoir demandée, le tout va être d'essayer d'en profiter).
Tout est envisageable, le problème, ce n'est pas la conception, on a des idées en pagaille, mais la réalisation
"Romans Graphiques", je vote contre! ça donne RG, et ce sont les initiales du complot souterrain du capitalisme rampant qui veut nous empêcher de mettre des petites vignettes partout. Luttons pour conserver BD, populaire et plus démocratique!
Le sujet star en ce moment sur Arte avec un documentaire bien sympa, le calamar géant pour de vrai :
http://www.arte.tv/fr/le-calamar-geant/7290316.html
Et on peut aussi voir l'émission pour de vrai.
Ceci qui explique cela, je n'ai que la réédition en J'ai Lu...
Un numéro zéro qui mériterait peut-être une édition en fac-similé, comme témoignage historique.
Bravo pour cette image du tout premier magazine SF, je ne l'avais jamais vu. C'est impressionnant et assez troublant. Et c'est vrai qu'il s'est passé ensuite douze ans avant que la SF ne réapparaisse comme un genre en France.
Tu l'as en main?
Aucune excuse n'est jamais vraisemblable,
donc, à la dernière minute, je me contenterai de dire :Bonne année !
Ze last but not ze least, cher Doc'!
Et j'en profite pour dire à Gil qu'il serait peut-être temps d'enlever les guirlandes (du meilleur goût) de la page d'accueil jusqu'à l'année prochaine, non?
Plusieurs titres, et même d'autres encore ne sont pas dans les Terres Creuses, heureusement pour les chercheurs que nous sommes! Ils nous ont laissé quelques miettes.
Mona Gloria est une énigme non résolue. Cet auteur, peut-être féminin mais rien n'est moins sûr, a été publiée quasi exclusivement chez Ferenczi pour des récits d'aventures ou sentimentaux dans les années 1930-1940. Un seul titre, un roman policier, est paru chez un autre éditeur. Cet auteur n'était pas inscrit à la SGDL, les archives Ferenczi ont disparu, difficile donc de remonter une piste quelconque. Ce n'est pas le seul auteur dans ce cas malgré parfois des œuvres nombreuses.
Je ne possède que très peu de Voyages et Aventures, je ne peux pas t'aider mieux sur ta liste.
Articles Dokuwiki
La Page d'accueil d'Imagine! (je l'aime mieux avec l'exclamation), le wiki de BDFI, a été remaniée. Elle est désormais plus graphique (dans les limites imposées par le code) et j'espère, plus attirante.
On y accède depuis la page d'accueil dans le menu ou les cadres dessous et à partir de ce lien : Imagine!.
Après le remaniement du dossier de Mon Roman d'Aventures, je suis très satisfaite de vous présenter Promenade dans l'univers sonore de l'Imaginaire qui se veut une galerie visuelle et sonore des posts d'Isma II que l'on peut lire et écouter dans sa belle chronique sur le forum Vinyls et science-fiction.
Bonne lecture, bonne écoute!
"Les Terres Creuses" est vraiment une mine (sic) de renseignements et un livre à consulter sans modération pour approfondir (sic²) les connaissances conjecturales en territoire souterrain. Et puis c'est un plaisir de lire les extraits et commentaires.
Mais l'information à propos du récit de Mona Gloria ne vient pas de cet indispensable volume car Au Pays des "Demi-Hommes" n'est pas référencé dans le livre. C'est vraiment Guy Costes, en chair et en os ou presque, qui m'a donné le bref résumé de ce récit que je n'ai pas.
Ce n'est pas si facile de rassembler tous ces petits récits populaires, fragiles et peu conservés, nous tentons tous de les retrouver puis de les lire, c'est long. J. Altairac et G. Costes se sont lancés dans ce projet faramineux de répertorier tous les récits d'anticipation parus en France avant 1951. Le travail avance mais je crois qu'il va falloir encore patienter un moment avant que leur encyclopédie paraisse en librairie...
Deux nouvelles pour une seule soirée!
L'une et l'autre ne sont pas vraiment représentatives de la vision conjecturale mais ce serait dommage de les bouder pour autant.
D'abord, mon ami Tonton Pierre vient de terminer une étude très sympathique et largement illustrée consacrée à l'artiste illustrateur, Jacques Leclerc alias Jihel. Quelques rares titres de SF mais une pléthore de pin-up en couleurs. Le texte et les images sont consultables sur le forum A propos de littérature populaire, toutefois, une toute petite édition papier a été faite. L'auteur n'a pas l'intention de lancer une impression massive, mais tentez votre chance, c'est un beau fascicule de 32 pages A4 tout en couleurs.
Ensuite, un amateur averti annonce une prochaine vente à Drouot des œuvres de Michel Gourdon, le 23 février exactement. L'Atelier singulier, c'est sous ce titre que l'organisateur des enchères présente un très copieux catalogue illustré des lots. Un catalogue d'intérêt, dont une préface émue et quelques portraits de l'auteur, que l'on peut lire en ligne ou acheter en version papier, et mieux encore, télécharger au format .pdf. N'hésitez pas, c'est une somme, j'étais juste un peu déçue de l'absence d'illustrations de la collection Angoisse. Cependant, j'ai cru comprendre qu'une seconde vente aurait lieu au deuxième semestre "Bandes dessinées et Illustrations".
http://litteraturepopulaire.winnerbb.ne … raducteurs
http://catalogue.drouot.com/indexDrouot.jsp?id=15405
Après renseignements auprès des camarades, Guy Costes a lu ce fascicule :
Les membres d’une expédition aéronautique rencontre après un crash des demis-hommes, une population d’hommes-singes..
Il s'agit donc bien d'une civilisation cachée dans un endroit perdu.
Bravo pour votre site, et surtout bon courage, c'est un vaste travail!
Voilà, Gil, tu as ta réponse, les deux volumes (identiques) dont je parlais dans le premier post contiennent uniquement les cinq contes cités :
Contes datés de 1782-1786
- La nymphe de la fontaine (Livre 2, Die Nymphe des Brunnens)
- Le chercheur de trésors (Livre 5, Der Schatzgräber)
- La chronique des trois soeurs (Livre 1, Die Bücher der Chronika der drei Schwestern)
- Richilde (Livre 1, Richilde)
- Les légendes de Rubezahl (Livre 2, Legenden vom Rübezahl)
Les autres titres étaient juste des corrections ou améliorations des titres déjà rentrés sur BDFI.
Et Moby Dick nous a apporté une belle recherche sur les éditions plus complètes ainsi que les modernes
Arte programme des séries, OK. Arte programme une série de pure science-fiction, voilà qui devient intéressant...
Äkta människor (Les Humains Véritables) est une série suédoise diffusée l'année dernière qui exploite avec succès un thème classique, l'introduction des robots, ou plutôt des androïdes dans la vie quotidienne du bon peuple. Pas de grande déglingue en décor, ni de futurisme échevelé, mais un futur proche, un tout petit peu décalé, les enseignes et les objets prennent plus rapidement une plastique nouvelle que les rues et les maisons. Dans ce monde désormais assisté par ordinateur depuis le pain à griller matinal, les Hubots sont des machines humanoïdes qui remplacent peu à peu les humains dans les tâches ordinaires, dangereuses ou répétitives. C'est aussi les débuts de l'exploitation sexuelle de ce nouveau jouet sans âme tellement ressemblant. Et c'est encore la béquille qui vient ranimer des vies ratées, vieillissantes que la société humaine a déçues. Car c'est ici la finesse de la série, au-delà de la survie en clandestinité de quelques Hubots pensants, qui analyse la société suédoise contemporaine, ses attitudes et ses failles et les dérives possibles.
Une très bonne série, bien jouée, qui devrait donc pas tarder à pointer sur Arte.
Une solide présentation est lisible ici http://www.a-suivre.org/levillage/akta- … umans.html
Une production Matador Film pour SVT1.
2012 – 10x60’
Écrit par Lars Lundström.
Réalisé par Harald Hamrell (épisodes 1-6, 9 et 10) et Levan Akin (épisodes 7 et 8).
Avec : Andreas Wilson, Eva Röse, Leif Andrée, Lisette Pagler, Johan Paulsen, Pia Halvorsen..
Excellent, Moby Dick! On est à présent au mieux de la mini-bio de l'auteur.
Je note une coquille dans l'entrée : http://www.bdfi.net/auteurs/a/auzias_tu … aymond.php
Et il faudrait ajouter Raymond AUZIAS DE TURENNE comme nom initial, ainsi que Montréal comme lieu de décès.
Alias Amès Sémiré.
Biographie courte :
Réfractaire au service militaire de la République, Raymond Auzias-Turenne s'exile d'abord dans les Black Hills aux États-Unis pour y créer un haras avant de fuir les guerres indiennes en 1890 et s'installer au Canada. Il épouse la fille du Ministre de l'agriculture du Québec puis occupe divers postes officiels, agricoles ou financiers au Canada et aux États-Unis tandis qu'il continue d'écrire des articles pour les journaux et des fictions.
[Nota: lieu de décès ajouté en base, mais non affiché pour l'instant par le script]
Guy Costes nous cause!
Tous les renseignements de ton post sur Auzias-Turenne sont bons. Nous aussi, avec Joe on a eu du mal à les trouver. Sauf que tu peux préciser qu'il n'est pas né au Canada, mais qu'il s'y est exilé en 1884 pour fuir la IIIe République qu'il détestait et que le roman fut traduit chez Chatto & Windus, Londres, (The Last of the Mammoths, 1907) sous le nom de Raymond Turenne.
Donc, nationalité française à l'origine. Après, je ne sais pas s'il a été naturalisé canadien ou non.
Donc-bis, à nouveau
Pierre Lhande (09/07/1877, Bayonne - 10/04/1957, Tardets-Sorholus) France
ou Pierre Bassagaitz Heguy
Jésuite basque, le Père Lhande fut écrivain et surtout un homme de radio parisien célèbre pour sa création des radio-sermons dès 1927. Auteur d'un dictionnaire basque/français et de plusieurs fictions, il écrivit aussi un roman de science-fiction.
...Et pas n'importe quel roman!
Bilbilis, Plon-Nourrit, Paris, 1926.
Emporté par une fougue qui surprend largement ses contemporains y compris les critiques d'ordinaire favorables, Pierre Lhande imagine une apocalypse délirante dont les basques, nouvelle tribu élue, seront les uniques survivants porteurs des valeurs sûres de l'humanité.
Dans un monde dominé par le bolchevisme, le pape Urbain a été contraint de se réfugier en Navarre espagnole. Tandis que de Saint-Jean-de-Luz à Hendaye les dancings ne désemplissent pas, un prêtre astronome repère, depuis son observatoire du Château d'Ulibem, un astre énorme dont la course menace la terre. Un soir que la fête bat son plein au château, dans une magistrale reconstitution des Mille et une Nuits, la comète apparaît soudain dans le ciel. Le saint homme conçoit alors le rêve prodigieux de sauver une partie de l'humanité, une race très pure, digne de repeupler le monde si elle échappe à la catastrophe. Et son choix se porte sur le peuple basque. Entassés dans les flancs du Mont Aya, les Basques des sept provinces sont rejoints par le pape. Au lendemain du désastre ils sortent de leur refuge, prêts à reconstruire le monde sur la triple base de leur religion, de leur race et de leur langue.
- in Images de l'étranger, sous la direction de Bernadette Lemoine, Presses universitaires Limoges 2006
Un petit lot toujours sympathique à explorer, jolie trouvaille (les Trilby, c'est encore de la valeur sûre en plus!).
Photo d'un article paru ici : http://www.sudouest.fr/2013/01/20/l-ecr … 4-2586.php
Hello!
C'est une excellente idée d'avoir remis à l'honneur ce site formidable. Le bémol, hélas, c'est qu'aux dernières nouvelles, il n'était pas à l'ordre du jour des créateurs de l'augmenter. Dommage mais c'est déjà une source incroyable de renseignements sur la bd francophone, et en particulier sur les petits formats les plus obscurs.
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