Vous n'êtes pas identifié(e).
En temps que rédacteur je prépares, en collaboration avec de la maison d'édition The Battered Silicon Dispatch Box (http://www.batteredbox.com), une collection en langue anglaise intitulée "The Incunabular Ape-Man Writings" (voir http://132.206.25.15/agreng/dodds/ape.htm) qui réunira en un (ou deux) volumes un grand nombre de textes qui sont précursors thématiques ou matériaux de recherche à la base du roman "Tarzan of the Apes" (prépub. 'The All-Story Magazine' Oct. 1912, Chicago: A.C. McClurg, 1914) de Edgar Rice Burroughs. J'ai déjà consulté l'article de Régis Messac intitulé 'Les romans de l'homme-singe' paru en 1935 dans Les Primaires [11(66): 324-335, 11(67): 402-417, 11(68): 451-464)], qui aborde plusieurs oeuvres et thèmes qui sont pertinents à notre collection, tout en ne faisant aucune mention de Tarzan! Tous les textes devront dater de 1914 ou avant. Nous recherchons des romans ou nouvelles d'hommes singes, singes avancés vivant parmi les hommes, hommes vivant parmi les singes/société de singes ou anthropoides.
' ' = nouvelle
" " = titre de roman ou collection
Voici les textes de langue française que nous avons déjà identifiés et dans la plupart des cas traduits (ou retrouvés en traduction) à l'anglais:
[1] "To-Ho le tueur d'or" de Jules Lermina (Journal des Voyages, 1905) (http://www.geocities.com/ruritanian_muglug/alltoho.pdf)
[2] 'Le roi des singes' dans "Voyages très extraordinaires de Saturnin Farandoul..." (1879) d'Albert Robida
[3] "Hémo" d'Emile Dodillon (1886)
[4] "Le Presqu'homme" de Marcel Roland (http://www.geocities.com/ruritanian_muglug/prtesqu.pdf)
[5] 'L'échelon' by Marcel Roland (mai 3, 1914, Journal des Voyages, 2nd ser., No. 909)
[6] court extrait de "L'Amelinte" (1635) du sieur de Claireville (Onésime Sommain)
[7] "Les émotions de Polydore Marasquin" (1856) par Léon Gozlan
[8] 'L'étrange aventure de l'abbé Levrai' dans "Joe Trimborn" (1913) by Grégoire Le Roy
[9] 2e et 3e songes dans "Les songes du Chevalier de la Marmotte" (1745)
[10] "Balaoo" de Gaston Leroux (1911)
nous avons décidé que 'Quid quid volueris' de Gustave Flaubert n'était pas suffisamment pertinent pour l'inclure (tout comme 'Murders in the Rue Morgue' d'E.A. Poe).
Il demeure d'autres textes dont nous n'avons pu obtenir une copie mais dont nous connaissons l'existence (sans toutefois en avoir évalué la pertinence), soit:
[A]d'Hampol, Léo: 'Le Missing Link' dans Nos Loisirs. (selon BNF: Nos loisirs. Le journal-revue de la famille) Vol. V, No. 44, 1910 -- edition du 30 oct. 1910
[b] Charpentier, Armand. 1895. Le Roman d'un singe. Paris : P. Ollendorff, In-12, 284 p.
[C] Sand, Maurice. 1886. La Fille du singe (roman humoristique). 2e éd. Paris : P. Ollendorff, In-18, 394 p.
[D] Paul de Sémant. Le dernier raid de Nelly Sanderson (prépublié comme "L'Exploration fantastique du docteur Bergamy" ) 1905-1906
Ni mes recherches ni celles du service de prêts inter-bibliothèques de l'université où je travaille n'ont pu retrouver des copies de ces oeuvres qui soient immédiatement accessibles. Soit pour
[A] seule bibliothèque à détenir cette revue - la BNF [copies plutôt coûteuses!]
[b] et [C] seules bibliothèque à détenir ces romans la BNF et la British Library [copies plutôt coûteuses!]
[D] Quelqu'un saurait-il/elle où cette oeuvre fut prépubliée (journal, revue?), et à quel degré elle est pertinente?
Si quelqu'un parmi vous serait en mesure de me fournir une copie (scans ou photocopies) d'une ou plusieurs de ces oeuvres, je vous paierais vos frais, vous fournirait d'une copie digitale du texte (à vous d'en faire ce que vous voudrez), et je vous serais bien reconnaissant.
Finalement, connaîtreriez vous d'autres titres de ou d'avant 1914 qui soient pertinents, même si ce n'est qu'un épisode dans un roman?
Dernière modification par Georges Dodds (14-04-2006 08:43:43)
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Scuse, , et celui là y compte pas ? édité, il est vrai en 1930 (première édition chez Ollendorf en 1921).
Dernière modification par Belzébuth (10-12-2005 23:23:15)
Le danger de devenir idiots n'est pas de nature à effrayer les hommes, car, à tout prendre, ça ne les changera pas beaucoup. Jacques Spitz
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Quelques singeries : je sais elles sont d'après 1914, mais ça ne fait pas de mal.
René Duchesne : "L'île aux mystères" ( Rouff, Romans pour la jeunesse, n° 132, 1935 )
Deux enfants partent à la recherche de leur père disparu dans l'Océan Indien, et le trouvent dans une île perdue au milieu d'hommes-singes de 3 mètres de haut qui parlent français ( c'est peut-être ça, l'influence positive de la colonisation selon certains de nos ministres ? ). Ils s'échappent, puis l'île disparaît dans un grand cataclysme.
Suzanne Mercey : "Le roi des ouistitis" ( Ferenczi, Jeunesse-hebdo, n° 75, 1952 )
4 enfants orphelins héritent d'une île de l'Océan Indien ( encore une ! ) Tous les travaux sont faits par des ouistitis et des chimpanzés commandés par un noir autochtone qui ne les apprécie pas. Les 4 enfants sauvent les singes et font la paix avec le "roi des ouistitis".
Pour qu'il y ait le moins de mécontents possible, il faut toujours taper sur les mêmes
( devise shadock )
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Par exemple: Révoil, Bénédict-Henry."La Vengeance du singe" Aventures extraordinaires sur terre et sur mer. Limoges, Eugène Ardant & Cie., 1884, p. 5-18. (disponible sur Gallica)
Raconte, comment, à Bornéo un orang-outang enlève une jeune fille de 17 et l'emporte à son gîte dans les arbres, mais est descendu par un coup de fusil avant qu'il ne puisse lui faire quoi que ce soit.
L'histoire de vie 'conjugale' femme-singe selon le sieur de Claireville (1635) (dans "L'Amelinte") pour ceux que ça peut amuser:
La mer leur fut ainsi favorable deux jours seulement; puis apres la tempeste s'éleva, qui leur fit changer de propos & de route, & au lieu de les mener en Espagne, elle les porta aux côtes des Indes occidentales, bien loin de l'habitation que les Espagnols ont en ce pays là. Ils furent contrains d'y relâcher, & descendirent dans une Isle habitée seulement par les sauvages: mais par-ce qu'elle étoit d'une grande étenduë, ils y prirent quelques rafraichissemens comme fruits & venaison, sans qu'ils rencontrassent un seul habitant du lieu. Ils demeurerent au bord de cette Isle trois jours en attendant le beau temps & le quatriéme la mer parut comme alors qu'ils partirent d'Angleterre; ils leverent aussitost l'ancre, & tournerent le Cap du côté qu'ils vouloient tirer. Pour lors la mer fut plus longtemps calme, & huict jours durant ils ne pouvoient pas desirer le vent meilleur, ny les flos plus agreables. Ils prenoient plaisir d'aller côtoyant la terre où ils admiroient mille raretez qu'ils y voyoient: entre autres, ils decouvrirent en passant prez d'un lieu que les Matelos appeloient l'Isle des Singes. & qu'ils disoient n'estre point habitee, une personne qui faisoit un signal; & leur donnoit à connoître que cette Isle n'étoit pas deserte: L'apparence qu'ils avoient du beau temps, fut cause qu'ils eurent la curiosité d'envoyer la Chaloupe à terre, pour sçavoir que c'étoit. Polemonce s'y fit mener, qui trouva une femme quasi effroyable. Ses cheveux épars sur les épaules, luy devaloient jusques à la moitié de la jambe. Elle avoit le visage tout basané, le corps depuis la teste jusques à la ceinture nud, & en plusieurs endroits ombragé d'un poil assez long: depuis la ceinture en bas, elle se couvroit d'une peau, qui ailleurs eut été d'un grand prix, elle étoit au reste toute nuë, & parlant à Polemonce en mauvais langage Portugais, luy fit entendre, qu'elle se soumettoit à sa misericorde pourveu qu'il la retirât de la misere ou il la voyoit. Polemonce ne pouvoit juger si c'étoit un Monstre, un Homme ou une Femme, & sans les paroles qu'il luy avoit oüy proferer, possible ne l'eût-il pas secouruë. Ceux qui étoient avec luy, principalement un Matelot Portugais, luy dît, que c'étoit une veritable femme, & qu'il avoit entendu comme elle avoit dit qu'elle les entretiendroit de son avanture lors qu'elle seroit en asseurance: Aussi-tost on luy fit signe qu'elle approchât, à quoy elle ne fit point de refus, & se jettant dans la Chaloupe, pria qu'on l'emmenât promptement, ou qu'elle étoit au hasard d'estre étranglée en leur presence: Ils n'étoient point à dix pas de terre, qu'ils virent un grand Singe qui couroit vers eux, & faisoit des cris effroyables: Il suivit ceste femme dans la mer, portant un Monstre qui avoit la figure d'un enfant, & comme il vid qu'il ne la pouvoit atteindre, il luy jetta dans l'eau ce gage qui luy portoit. Polemonce étonné de cet objet, brûloit d'impatience d'estre dans le vaisseau d'Orgimon, pour avoir le contentement d'entendre par la bouche de cette femme le recit d'une histoire si prodigieuse. Mais cela ne l'empescha pas qu'il ne tachât à sauver l'animal que le Singe avoit jetté dans la mer, ce que ne pouvant, il retourna vers Orgimon & luy presenta cette femme, qui se jettant à ses pieds, luy fit le discours de ses avantures.
Monsieur, il y a sept ans, lui dît elle, que mon mary Gentil-homme Portugais, & Capitaine d'un vaisseau, s'en allant au Perou fut pris par des Voleurs, qui pillerent tout son equipage, jetterent une partie de ses hommes dans la mer, & me degraderent dans l'Isle, d'où vous m'avez retirée. Je fus mise à terre seule, toute nuë, & à la mercy des animaux qui l'habitent & principalement des Singes: l'y passé le jour qu'ils me laisserent en pleurs & en plaintes, & desirois que quelque Monstre me vint devorer afin de finir tout d'un coup mes peines & ma misere: mais le Ciel ny les creatures ne firent point émeuës par mes soupirs. La nuit venant je me representois devant les yeux mille phantômes qui m'effrayoient, & la peur me saisissant je fus contrainte de chercher quelque endroit pour me retirer. Alors je quitté le rivage, & m'avançant dans l'Isle, j'avisé assez prés du lieu ou vous m'avez trouvée un rocher tout creuzé, j'entré dedans en resolution d'y passer la nuict. Je n'y avois pas été une heure, que le Singe que vous avez veu y vint, chargé du profit de sa chasse. Je pensois alors que mes tourmens prendroient fin,& que j'allois estre exaucée des prieres que j'avois faites à Dieu, de mourir dans un lieu, ou il étoit impossible que je pusse mener une longue vie, outre que l'ennuy de la perte de mon mary me rendoit le jour odieux. Mais cet animal m'ayant sentie me fit de grande caresses, me donna à manger de ce qu'il avoit apporté, & me flattoit par mille actions qui me faisoient bien connoître que je n'aurois point de mal pour l'heure. Je demeuré plusieurs nuits dans cette caverne avec luy, & le jour je me promenois le long de la mer pour voir si je ne decouvrirois point quelque vaisseau, qui voulut me venir querir: Luy cependant alloit a la queste, & le soir il revenoit toujours garny de vivres. Un mois entier s'écoula sans que je consentisse aux caresses impudiques de cet animal: Finalement me voyant sur le point de tomber dans sa cruaté si je luy refusois ma joüyssance, je me laissé vaincre, & depuis ce temps là je n'ay peu luy refuser ses plaisirs. Il m'aymoit tant que bien souvent j'étois si lasse de ses importunitez que je n'avois pas la force de me lever, & mon plus grand mal encore, je n'eusse ozé luy faire connoître que j'étois fâchée. J'ay paty sous sa puissance beaucoup plus que si j'eusse été dans la capitivité des Turcs. Il est vray qu'il me deffendoit contre tous les autres animaux qui me vouloient offencer, & si je me forçois quelquefois à le flater, j'en faisois à mon plaisir. Je le gouvernois à ma fantaisie, & luy faisois entendre ce que je voulois comme s'il eût eu du jugement. J'ay eu de ses embrassemens un Monstre, qui avoit la teste[,] les bras & les mains d'hommes, & le reste du corps de Singe: depuis lors il m'aymoit plus qu'il n'avoit jamais fait, & n'alloit pas si souvent à la chasse que de coûtume: il montoit seulement sur la prochaine montagne d'où il apportoit des fruits & plusieurs autres choses pour nôtre nourriture. Il y à long-temps qu'il n'étoit allé si loing qu'aujourd'hui: & lors que les Matelos m'ont prise je sçavois bien qu'il ne pouvoit tarder à venir, & que si tost qu'il ne me trouveroit pas dans la caverne, il ne manqueroit point à me chercher; quand il a reconnu que je me sauvois il est entré dans une telle rage que s'il m'eut tenuë j'en eusse été quitte pour le prix de ma vie: & comme il à veu qu'il ne se pouvoit venger de moy, il a couru querir le Monstre dont je ne me peux souvenir qu'avec horreur, & l'a apporté assez avant dans la mer, mais voyant qu'il ne nous pouvoit joindre, il l'a jetté apres moy, & la mer en à fait son butin. Vous n'avez peut-estre jamais entendu une histoire plus étrange, & vous voyez à quelle extremité la cruauté de ces Pyrates m'a portée. J'ay perdu mon habitude ordinaire, & sçay bien que je n'ay plus rien de femme que la figure: Mais s'il vous plaît me secourir, & me descendre à Lisbonne en passant; vous sçaurez là plus veritablement le discours que je vous fais, par ce que je ne crois pas que le Ciel n'aît conservé quelqu'un de ceux qui couroient nôtre fortune, pour rendre tesmoignage de mon desastre. Vous y trouverez des personnes, qui vous remercieront de la charité que vous exercez en mon endroit, & vous y laisseriez une miserable creature qui vous aura perpetuelle obligation de son salut & de sa vie.
Il n'y eut personne dans le vaisseau qui ne fût touché de compassion par cet objet: Les uns pleignoient sa mauvaise avanture: les autres detestoient l'horreur du peché qu'elle avoit commis: & d'autres qui consideroient que la necessité & la crainte de la mort, donne de furieuses secousses aux ames les plus vertueuses, ne l'osoient accuser. Cleonide qui la regardoit d'un oeil de pitié demeuroit confuse en elle mesme, & fût plus interdite par cet accident, que par aucun autre qui l'avoient ébranlée. Sa charité fut telle en son endroit qu'elle ne voulut pas commander à ses femmes qu'elles luy donnassent de leurs hardes, elle ayma mieux, luy faire present d'une de ses robes, & la tenir aupres d'elle, pour la consoler en ses afflictions, & sçavoir plus particulierement la maniere de vie qu'elle avoit menée dans un lieu, ou durant sept années, elle n'avoit veu que des bestes sauvages: Elle l'enquît durant le voyage de ces particularitez, & croyoit la voir delivrée des malheurs qui l'avoient accompagnée depuis un si long temps: mais l'issuë fut contraire à son esperance. (L'Amelinte, p. 140, ligne 18 to p. 151, ligne 14 )
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Un résumé de Jean louis Brodu qui pourrait vous intéresser : http://jlbrodu.free.fr/aaa3.html
Le danger de devenir idiots n'est pas de nature à effrayer les hommes, car, à tout prendre, ça ne les changera pas beaucoup. Jacques Spitz
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"La Conquête d'Anthar" étant le troisième volet de la trilogie "La Légende de demain", dont le premier opus, "Le Presqu'homme", traite déjà des Pongos et est d'ailleurs un des romans d'hommes-singes les plus connus.
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En faisant des recherches dans mes revues je viens de trouver ça pour Georges Dodds
"Dans la Peau D'un Singe" de G.Le Faure "Mon Bonheur" No 36
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Pas du tout conjectural, dans mon souvenir.
Il me semble que le héros se vêt d'une peau de singe.
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[Message à cet effet déja envoyé à M. Verano]
Je serait toujours intéressé à le lire, si ce n'est qu'une mise à jour ou dérivation de "Les émotions de Polydore Marasquin" de Gozlan. S'il n'est vraiment pas dans le genre des textes d'intèret, je pourrai toujours télécharger le texte sur BDFI pour agrémenter les lectures des autres BDFItes.
G. Dodds
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Maurice Genevoix, dans ses souvenirs écrits à 90 ans (Trente mille jours, 1980) raconte qu'il a été profondément marqué dans sa jeunesse par la lecture d'un livre d'Elie Berthet qu'il n'a jamais oublié :
Berthet, Élie
L'Enfant des bois, par Élie Berthet [Texte imprimé]. - Paris : L. Hachette, 1865. - In-18, 413 p., fig..
Édition de l'″Homme des bois″ à l'usage des enfants
Il donne un résumé sommaire de l'histoire, disant qu'il s'agit d'un précurseur de Mowgli, un enfant enlevé et élevé par des singes, en Malaisie ou dans les environs. Il l'a sans doute lu dans une des nombreuses rééditions de la Bibliothèque rose, vers 1900.
Berthet, Elie
L'Enfant des bois, par Elie Berthet... 10e édition [Texte imprimé]. - Paris, Hachette, 1903. In-16, 415 p., fig.. - 415-16 p. : ill..
La couverture imprimée porte en plus : ″Bibliothèque rose illustrée″
L'édition originale est donc:
Berthet, Élie
L'Homme des bois, par Élie Berthet [Texte imprimé]. - Paris : L. de Potter, 1861. - 7 vol. in-8°.
Editionde cabinet de lecture, ou peut-être :
Berthet, Élie
L'Homme des bois [Texte imprimé], par Élie Berthet. - Paris : A. Degorce-Cadot, (s. d.). - In-4°. La Lecture illustrée
Est-ce que quelqu'un a lu ce roman ?
Sur une colline de Scandinavie, par un beau soir de l'an 2082, un homme marchait d'un pas rapide. Un vent léger soulevait son immense cape noire et agitait mollement ses longs cheveux d'un blanc soyeux. Cet étrange personnage était Warner Ohberg, un prestigieux savant dont le génie paraissait bien proche de la folie (L. Massiéra, Le voleur d'océans, 1955, Mon roman d'aventures 346)
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"L'enfant des bois" de Berthet fut traduit en anglais (ça me sauvera d'avoir à le traduire!)
Berthet, Élie Bertrand 1868. The Wild Man of the Woods. A story of the Island of Sumatra. Translated from the French of E. Berthet. With forty-nine engravings on wood. London : Seeley, Jackson, & Halliday, 1868. pp. 372. ; 8o.
aussi, London : Seeley & Co., 1891. pp. 192. ; 8o.
aussi, London : Seeley & Co., 1905. pp. 192. ; 8o.
Pour ceux que ça peut interesser:
Plusieurs copies de l'édition française sont présentement disponibles:
http://dogbert.abebooks.com/servlet/Boo … ID=1122100
Deux copies de l'édition anglaise sont présentement disponibles:
http://dogbert.abebooks.com/servlet/Boo … ID=1122100
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Voici une image de la couverture de "L'enfant des bois" edition de 1911 dans la Bibliothèque Rose Illustrée.
Existe-t-il des gravures intérieures intéressant le thème de ce topic ?
Sur une colline de Scandinavie, par un beau soir de l'an 2082, un homme marchait d'un pas rapide. Un vent léger soulevait son immense cape noire et agitait mollement ses longs cheveux d'un blanc soyeux. Cet étrange personnage était Warner Ohberg, un prestigieux savant dont le génie paraissait bien proche de la folie (L. Massiéra, Le voleur d'océans, 1955, Mon roman d'aventures 346)
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Site: http://collectiondaventures.monsite.wanadoo.fr
Blog consacré aux fictions mettant en scène des peuples précolombiens: http://lespeuplesdusoleil.hautetfort.com/
Forum: http://litteraturepopulaire.winnerbb.net/portail.htm
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Léon Gozlan - Auteur Français (1803 - 1866)
- "Les émotions de Polydore Marasquin" une multitude de rééditions (1ère in préo. dans "Le Journal pour Tous" 1856.
puis en volume chez M. Lévy éd. 1857).
Celle du scan je n'ai pas la date de parution, paru chez Rouff éd. in Grande Collection Nationale (fascicule format A4).
Celle de Fantomas (illustrée) est répertoriée dans le rayon SF pour l'année 1918.
Dernière modification par Belzébuth (27-01-2006 16:59:27)
Le danger de devenir idiots n'est pas de nature à effrayer les hommes, car, à tout prendre, ça ne les changera pas beaucoup. Jacques Spitz
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Existe-t-il des gravures intérieures intéressant le thème de ce topic ?
Voici quelques illustrations pertinentes de l'édition de 1911 de "L'enfant des bois"
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Léon Gozlan - Auteur Français (1803 - 1866)
- "Les émotions de Polydore Marasquin" une multitude de rééditions (1ère in préo. dans "Le Journal pour Tous" 1856.
puis en volume chez M. Lévy éd. 1857).http://pix.nofrag.com/35/dc/80a4fb24fb8 … 47d03t.jpg
Celle de Fantomas (illustrée) est répertoriée dans le rayon SF pour l'année 1918.
Quelques infos sur l'auteur:
Gozlan, Léon (1803-1873)
Suite à la faillite de son père, négociant à Marseille, il s'engage comme mousse et navigue en Afrique et en Asie. En 1830 il s'installe à Paris et perce dans le journalisme et dans le métier des Lettres. Il racontera ses aventures de voyage, puis dépeindra la société de son époque dans ses romans. Il a été le secrétaire de Balzac et écrira Balzac en pantoufles. Il aura été un excellent journaliste et l'un des grands romanciers à succès du siècle, mais son attitude conservatrice le fera rapidement oublier.
Il écrira aussi pour le théâtre une vingtaine de pièces, drames et comédies, et sera président de la Société des Gens de Lettres.
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La BNF possède de nombreuses éditions des Emotions de Polydore Marasquin
La plus ancienne:
Auteur(s) : Gozlan, Léon (1803-1866)
Titre(s) : Les Émotions de Polydore Marasquin, par Léon Gozlan. [Suivi de : la Ville des gens de bien.] [Texte imprimé]
Publication : Paris : Michel-Lévy frères, 1857
Description matérielle : In-18, 291 p.
Notice n° : FRBNF30530555
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La plus récente:
Type : texte imprimé, monographie
Auteur(s) : Gozlan, Léon (1803-1866)
Titre(s) : Les Émotions de Polydore Marasquin [Texte imprimé] / Léon Gozlan ; [préface de Loïc Chotard]
Publication : Paris : Éditions France-Empire, 1980
Imprimeur / Fabricant : 92-Châtillon-sous-Bagneux : Impr. SEG
Description matérielle : VII-199 p. ; 21 cm
Collection : La Bibliothèque oubliée
Lien à la collection : La Bibliothèque oubliée
Notice n° : FRBNF34637984
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Les "sans date"
Type : texte imprimé, monographie
Auteur(s) : Gozlan, Léon (1803-1866)
Titre(s) : Léon Gozlan. Les Emotions de Polydore Marasquin [Texte imprimé]
Publication : Paris, F. Rouff, (s. d.) Gr. in-8°, 32 p., couvert. color. manifestement très écourté!
Note(s) :
Grande collection nationale, n° 91
Notice n° : FRBNF32186465
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Auteur(s) : Gozlan, Léon (1803-1866)
Titre(s) : Les émotions de Polydore Marasquin [Texte imprimé] / Léon Gozlan
Publication : Paris : G. Crès & Cie, [s. d.]
Description matérielle : 164 p. ; 15 cm
Note(s) :
Bibliothèque "Classica", v. 115/116
Notice n° : FRBNF39006261
Dernière modification par Fantomas (04-02-2006 09:30:19)
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Celle de Fantomas (illustrée) est répertoriée dans le rayon SF pour l'année 1918.
La BNF indique [1920]
Auteur(s) : Gozlan, Léon (1803-1866)
Titre(s) : Les émotions de Polydore Marasquin [Texte imprimé] / par Léon Gozlan...
Publication : Paris : H. Laurens, [1920]
Description matérielle : 160 p.-4 f. de pl. en coul. : ill. ; in-16
Collection : Les succès d'Antan, lectures pour la jeunesse
Notice n° : FRBNF32186466
Site: http://collectiondaventures.monsite.wanadoo.fr
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Totofouinard a écrit :Existe-t-il des gravures intérieures intéressant le thème de ce topic ?
Voici quelques illustrations pertinentes de l'édition de 1911 de "L'enfant des bois"
Impeccable, merci !
Sur une colline de Scandinavie, par un beau soir de l'an 2082, un homme marchait d'un pas rapide. Un vent léger soulevait son immense cape noire et agitait mollement ses longs cheveux d'un blanc soyeux. Cet étrange personnage était Warner Ohberg, un prestigieux savant dont le génie paraissait bien proche de la folie (L. Massiéra, Le voleur d'océans, 1955, Mon roman d'aventures 346)
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La BNF possède de nombreuses éditions des Emotions de Polydore Marasquin
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[b]Les "sans date"Type : texte imprimé, monographie
Auteur(s) : Gozlan, Léon (1803-1866)
Titre(s) : Léon Gozlan. Les Emotions de Polydore Marasquin [Texte imprimé]
Publication : Paris, F. Rouff, (s. d.) Gr. in-8°, 32 p., couvert. color. manifestement très écourté!
Note(s) :
Grande collection nationale, n° 91
Très écourté : à voir, ces fascicules sont imprimés en très petits caractères sur deux colonnes, pouvant tenir la valeur d'un simple volume écrit en grosses lignes très espacées...
Si le texte est long, il sera cependant coupé, mais ce n'est pas automatique.
La date, vers 1915-17, à vue de nez
Sur une colline de Scandinavie, par un beau soir de l'an 2082, un homme marchait d'un pas rapide. Un vent léger soulevait son immense cape noire et agitait mollement ses longs cheveux d'un blanc soyeux. Cet étrange personnage était Warner Ohberg, un prestigieux savant dont le génie paraissait bien proche de la folie (L. Massiéra, Le voleur d'océans, 1955, Mon roman d'aventures 346)
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La BNF possède de nombreuses éditions des Emotions de Polydore Marasquin.
Sauf erreur de ma part, il me semble que les Emotions de Polydore Marasquin a été réédité, après la guerre de 14, dans une collection dite des Œuvres représentatives, sous titre de Polydore Marasquin au royaume des singes.
Fantomas a écrit :La BNF possède de nombreuses éditions des Emotions de Polydore Marasquin.
Sauf erreur de ma part, il me semble que les Emotions de Polydore Marasquin a été réédité, après la guerre de 14, dans une collection dite des Œuvres représentatives, sous titre de Polydore Marasquin au royaume des singes.
En effet:
Auteur(s) : Gozlan, Léon (1803-1866)
Titre(s) : Polydore Marasquin au royaume des singes, par Léon Gozlan. Illustrations de Pierre Noury [Texte imprimé]
Publication : Nevers, impr. Chassaing ; Paris, les Oeuvres représentatives, 1933. (15 mai.) In-16 jésus, 227 p. 7 fr. 50. [4423]
Description matérielle : 224 p. : ill., couv. ill. ; 20 cm
Note(s) : Les Jeunes
Dernière modification par Fantomas (16-02-2006 09:25:32)
Site: http://collectiondaventures.monsite.wanadoo.fr
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cim a écrit :Fantomas a écrit :La BNF possède de nombreuses éditions des Emotions de Polydore Marasquin.
Sauf erreur de ma part, il me semble que les Emotions de Polydore Marasquin a été réédité, après la guerre de 14, dans une collection dite des Œuvres représentatives, sous titre de Polydore Marasquin au royaume des singes.
En effet:
Auteur(s) : Gozlan, Léon (1803-1866)
Titre(s) : Polydore Marasquin au royaume des singes, par Léon Gozlan. Illustrations de Pierre Noury [Texte imprimé]
Publication : Nevers, impr. Chassaing ; Paris, les Oeuvres représentatives, 1933. (15 mai.) In-16 jésus, 227 p. 7 fr. 50. [4423]
Description matérielle : 224 p. : ill., couv. ill. ; 20 cm
Note(s) : Les Jeunes
Et il a été réédité en 1980:
Collection La Bibliothèque oubliée, France Empire 1980
(en vente aujourd'hui, 11/06/06, sur Ebay)
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Les émotions de Polydore Marasquin
Collection Dauphine n° 48, série rouge Les rois des conteurs (romans et nouvelles)
Editions et Imprimerie de Montsouris, 1 rue Gazan, Paris
13x17,5 cm, 93 pages, 2e trimestre 1946
Pas d'illustrations intérieures mais un portrait de l'auteur, une notice et une préface anonyme de 2 pages.
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Bah, une seule édition compte : celle illustrée par Gustave Doré !
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Totofouinard a écrit :Existe-t-il des gravures intérieures intéressant le thème de ce topic ?
Voici quelques illustrations pertinentes de l'édition de 1911 de "L'enfant des bois"
etc...
Y aurait-il quelqu'un qui pourrait m'indiquer l'illustrateur de cette oeuvre (dans les multiples editions Hachette). J'en ai mçme une copie (12e ed.) mais elle ne nomme pas l'illustrateur. Le catalogue de la BNF ne semble pas non plus...le roman aurait paru dans "Journal Pour Tous"
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Je suis velu, j'ai vu, j'ai vaincu. Un homme singe un !:
« LA REPRISE » de Albert VIVIES, éditions Crès et Cie, 1924, broché in-12° de 232 pages. Couverture non illustrée.
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Au sommet d'une très vieille tour, que jadis les hommes appelaient Tour Eiffel, une créature étrange découvre au milieu de squelettes racornis, une curieuse bande de papier où s'étalent des hiéroglyphes qu'elle a du mal à décrypter :
« Pour l'avenir, qui sait ? Par toute la Terre, tous êtres humains meurent ; vent pestilentiel, fléau suite guerre universelle. Je sens que moi-même je pars….. »
La créature, seule survivante de l'humanité a du vague à l'âme : « Je suis seul. L'humanité est morte. Les siècles autour de moi sont tombés dans la nuit ».
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Puis l'être s'identifie :
« -Ma mère est une femme, mon père un gorille, la lumière me tourmente, jaillissant de l'ancêtre, qui, dans le fond des temps, se dresse droit et brille. Anthropoïde né, homme je veux renaître ».
Une créature pensante plutôt monstrueuse et douée d'un certain intellect, voilà qui promet du Proust dans La Planète des Singes et nous n'en sommes qu'à la page 4. Le décor est dressé et l'intrigue s'annonce passionnante. Notre « héros » cogite beaucoup et son idée fixe : trouver une femme pour perpétuer l'espèce humaine, devient vite une obsession.
Elle se sait âgée de 31 ans et nous narre comment sa mère, seule survivante humaine d'une catastrophe universelle, faisait pour compter les années.
Un des rares défauts de cet ouvrage, (ou qualité qui développerait l'esprit philosophique du récit) en est le français parfait développé par l'anthropoïde nous contant ses émois existentiels : « Ce qui m'intéresse en fouillant mon passé,c'est la confiance que j'y trouve. Quand je veux préciser des émois qui ne sont pas exclusivement physiques, au travers de tout ce qui m'a troublé depuis, quand je cherche la manière par quoi, jeune bâtard homosimiesque, j'éliminai, par la force qualitative du sang maternel, l'influence atavique de mon père. Je demeure confondu, assommé par le vertige des images, des gestes, des frissons, des rêves ». (Rare en S. F. l'introspection chez les Craignos Monsters).
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Notre héros légèrement velu ayant eu une mère française parle évidemment notre langue. Il nous conte les aventures de sa mère et comment au milieu d'un ossuaire géant (la Terre) il a survécut.
« J'habite le Muséum d'Histoire Naturelle d'Anatomie, dans le coin du Jardin des Plantes, donnant sur le pont d'Austerlitz. Venez… »
Finalement il trouvera une nana, mais oh, horreur ! (pour le lecteur), elle aura elle aussi le langage de Simone de Beauvoir. Sa quête aura donc une fin et la survivance de l'homme sera peut-être assurée.
« Ce qu'il faut dans la vie, ce n'est pas la victoire, c'est l'espoir de vaincre, car atteindre n'est rien, poursuivre, seul compte…. L'Homme qui doit renaître est conçu maintenant. S'il trahit mon espoir, j'aurai tenté ».
. Heureusement qu'une prière d'insérer était jointe au bouquin car autrement avec un tel titre passe-partout je n'aurai jamais ouvert ce livre dont le titre n'évoque en aucun cas une humanité proche de sa fin. Un livre surprenant à rajouter à notre arsenal conjectural. L'auteur a-t-il écrit un livre de science-fiction ou une réflexion sur l'identité réelle des êtres ?, de la pure conjecture ou une interrogation sur la solitude intellectuelle de chacun de nous ? Bon, je vois que je vous gonfle légèrement, la prochaine fois je vous éplucherai un petit Ferenczi avec une jolie couverture d'Armengol. Isma
Dernière modification par Ismaël II (04-11-2010 11:45:31)
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Un titre que je ne connaissais pas, en tout cas la thématique en est passionnante et voilà un ouvrage que je vais rajouter à ma liste de recherche.Merci à toi Isma
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"L'HOMME SINGE" du Docteur Albert LEPRINCE.
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Dans une grotte de la forêt d'Ecouve, des charbonniers découvrent un squelette présentant toute la morphologie d'un pithécanthrope. Après analyse des sommités déduisent qu'il s'agit d'un squelette contemporain. Le mystère reste entier jusqu'au jour où un paysan surprend un être étrange en train de voler des poulets. C'est une forme grimaçante aux yeux de chat, toute couverte d'une sorte de manteau de fourrure grise. Il s'enfuit à l'approche du paysan. Des battues organisées ne donnent rien. Un soir, un garde aperçoit, penché sur un arbre un animal velu ressemblant à un grand singe. Le garde le tue d'une balle en plein coeur. Il s'agit d'une femelle pithécanthrope. A l'examen du cerveau les savants concluent que c'était un être intelligent. Le docteur Montal décide de recréer la race. Avec des décoctions de céréales, de la colchique du fluor et du courant électrique il fait passer un couple de singe de 85 cm à 1m 70. Il décide de les éduquer. Au bout de six mois, ils commencent à connaître les lettres et à obéir. Mais un matin, la cage est vide, les singes se sont enfuis.
Quel bon début de roman ferait ce petit texte se trouvant dans le recueil: "LES CERVEAUX CAMBRIOLES", chez Jean-Renard en 1943. Isma
Dernière modification par Ismaël II (19-12-2010 17:03:23)
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le prochain no de la revue ( qui changera par la meme occasion d'editeur et de présentation ) " le visage vert" devrait contenir un article (etude ?) sur le sujet de ce topic , avec illustration n&b a la clef , le tout par Mr Ducos le bien nommé
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"LE ROI DES SINGES" de A. (Achille) MELANDRI.
Le narrateur, à Gibraltar, se retrouve au milieu d'une colonie de singes. Singes intelligents et très intelligents même car leur organisation sociale n'a rien à envier à celles des humains. Mais notre héros se réveille à la fin de ce texte, petite nouvelle se trouvant à la suite du roman: "L'ALBATROS", édité en "livre de prix" par Gedalge entre 1910 et 1930. Isma
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