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Locus nous annonce le décès d'Harlan Ellison aujourd'hui 28 juin
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Ses recueils de nouvelles :
Gentleman Junkie (1961, Gentleman Junkie)
Ainsi sera-t-il (1965, Paingod and Other Delusions)
Du pays de la peur (1967, From the Land of Fear)
La Bête qui criait amour au coeur du monde (1969, The Beast That Shouted Love at the Heart of the World)
La Chanson du Zombie (1971, Partners in Wonder)
Hitler peignait des roses (1978, Strange Wine)
Dérapages (1997, Slippage)
La Machine aux yeux bleus (2001)
Sa novelisation d'après Asimov :
I, robot (1995, I, Robot: the Illustrated Screenplay)
Et n'oublions pas son anthologie-manifeste :
Dangereuses visions (Dangerous Visions, 1967)
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... Quelle mauvaise nouvelle. C'est "l'enfant terrible" de la S.F. (pour Speculative Fiction) qui nous quitte.
Quel lecteur des années 70 n'a pas été marqué par la découverte des deux tomes de "Dangereuses visions" ? Je me souviens encore très bien du jour et du lieu où j'avais acheté ces deux volumes (une échoppe qui n'existe plus non plus, d'ailleurs)...
Et quelle étrange coïncidence que j'aie justement choisi la journée d'hier pour me réintéresser à sa bibliographie...
Un grand auteur vient de nous quitter - et je ne parle pas de taille !
... Il va pouvoir continuer à se quicher la tête avec Asimov, là-haut !
"What I tell you three times is true."
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... Peut-être à cause des "préfaces" qu'il a rédigées pour présenter chacune d'entre elles ? Cela en fait en quelque sorte le "co-auteur" de toutes les composantes de cette anthologie. Mais pas celui des nouvelles proprement dites, bien entendu.
"What I tell you three times is true."
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