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Zut ! C'est l'un des mes écrivains de SF favoris.
Mais bon, je me console en pensant à tous les livres du monsieur qu'il me reste à lire...
Mon blog consacré à mes lectures SF, fantasy, fantastique et autres : http://sfemoi.canalblog.com/
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Zut ! C'est l'un des mes écrivains de SF favoris.
Idem pour moi, un excellent écrivain (que j'ai vu débuter, ce qui ne me rajeunit pas) et avec qui j'ai fait un bon bout de chemin tant dans la SF que le fantastique ou le polar et même le (presque) hors-genre avec son superbe "C'est ainsi que les hommes vivent".
Mais bon, je me console en pensant à tous les livres du monsieur qu'il me reste à lire...
Je n'ai pas cette chance car, mis à part quelques Dylan Stark, je dois avoir lu quasiment tout ce qu'il a publié (et merci au passage à Bragelonne-Milady pour avoir ressorti l'intégralité de ses oeuvres en numérique ces dernières années).
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On peut le comprendre quand on voit combien sortent de daubes lamentables pour un seul livre digne de ce nom !
Le problème étant que ces daubes se vendent souvent bien mieux que les bons livres
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J'en ai peu lu, l'occasion de me rattraper. J'aimerais bien lire une longue interview (plutôt que cet entrefilet) où il s'exprime sur le sujet. Et d'accord avec toi Christian sur les monceaux de daubes qui envahissent les rayonnages des libraires, quand ceux-ci existent n'ont pas encore mis la clé sous la porte...
Dernière modification par Mister Lag (23-04-2018 06:05:05)
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quand ceux-ci existent n'ont pas encore mis la clé sous la porte...
"quand ceux qui..." ?!
"What I tell you three times is true."
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J'en ai peu lu, l'occasion de me rattraper. J'aimerais bien lire une longue interview (plutôt que cet entrefilet) où il s'exprime sur le sujet. Et d'accord avec toi Christian sur les monceaux de daubes qui envahissent les rayonnages des libraires, quand ceux-ci existent n'ont pas encore mis la clé sous la porte...
Il en dit un peu plus sur Facebook. Il semblerait que des problèmes de santé s'ajoutent à son ras-le-bol...
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Triste nouvelle en effet !
Perso, il m'a marqué et impressionné sous son autre pseudo Pierre Suragne, à l'époque du Fleuve Noir ! Quel bonhomme !!!
Ceci dit, nous devrions éviter je crois de qualifier de daube les niaiseries douées d'ubiquité, car c'est non seulement manquer de respect envers la daube -- laquelle peut être très bonne -- mais c'est surtout faire trop de compliments à ces niaiseries à vocation exclusivement marchande et, surtout, dépourvues de tout intérêt qui s'étalent aujourd'hui urbi et orbi.
Et je trouve l'explication de l'auteur, telle que rapportée sur France Bleu, très claire :
"Les éditeurs que j'ai pu rencontrer au début, ils vous parlaient de livres, de littérature. Quand ils décidaient d'éditer quelque chose c'était un texte, quelque chose qu'ils aimaient bien, ils se battaient pour que cela existe. Aujourd'hui, on est devenu des marchands de produits", regrette l'auteur vosgien. "Ce n'est pas comme ça que je concevais d'écrire. Récemment, j'ai vu des projets éditoriaux refusés parce que les commerciaux avaient décidé qu'ils ne vendraient pas, c'est quand même dramatique"
Je m'associe à sa peine ! L'argent est un bon serviteur mais un mauvais maître, sage maxime que notre société semble hélas avoir oubliée...
Point n'ai/n'est besoin d'espérer pour entreprendre, ni de réussir pour persévérer.
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L'argent est un bon serviteur mais un mauvais maître
... un si bon serviteur qu'effectivement, il sert. De mètre étalon !
"What I tell you three times is true."
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Et voici donc le dernier roman de Pierre Pelot, hors-genre... ou presque, car le fantastique n'est jamais très loin avec lui
Chez Héloïse d'Ormesson :
Pierre Pelot : Braves gens du Purgatoire (2019)
À travers l'histoire intimement liée des hommes et de leur vallée, Braves gens du Purgatoire nous entraîne dans le sillage d'une enquête envoûtante sur plusieurs époques. Portrait brut et foisonnant d'une ruralité, ce roman fresque offre un tribut vibrant à ces petites histoires qui peuplent les régions loin du bruit et des lumières.
Balloté entre colère et compassion, le lecteur chancelant est comblé par ce voyage dans les mots d'un géant méconnu.
À Purgatoire, petit village au creux des sommets charnières entre Lorraine, Alsace, territoire de Belfort et Franche-Comté, Maxime Bansher et sa compagne sont retrouvés morts un matin. Si la thèse officielle est celle du suicide, les proches du couple peinent à y croire. Lorena, leur petite-fille, s'interroge et espère trouver des réponses auprès de celui qu'elle appelle " oncle Simon ". Ce dernier, un marginal vivant reclus dans une maison isolée, accepte de livrer à la jeune femme la mémoire de la famille. Elle embarque alors sur les chemins sinueux de la mémoire et les secrets enfouis du voisinage. Car à Purgatoire tout est affaire de colère et de vengeance. Mais encore faut-il en déterminer l'origine et dénouer les fils mêlés depuis des générations.
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