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119 L.Sprague de Camp, La Couronne de Lumière (Rogue Queen), texte français de Christine Renard, illustration de Forest, dépot légal 4ème trim 1963.
Sur la lointaine planète Niond, Iroedh, loyale « ouvrière » de la cité-fourmilière d'Elham, entre en contact avec les membres d'une expédition venue de la Terre.
Ceux-ci lui ressemblent physiquement mais leurs mœurs lui paraissent d'abord horrifiants, puis fascinants.
Lorsqu'à cause de son amitié anormale pour le « bourdon » Antis, l' « ouvrière » Iroedh doit fuir avec lui de la cité-fourmilière, tous deux se joignent aux Terriens. Et bientôt les circonstances contraignent Iroedh à enfreindre l'un des plus forts tabous de sa race.
D'étonnantes péripéties s'en suivent. Iroedh serait-elle " la reine des truands, le front ceint de lumière " qu'annonce l'Oracle de Ledhwid?
Pas lu.
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120 A. Et B. STRUGATZKI, Les Revenants des étoiles (Vozvrajenié), texte français de Pierre Mazel, illustration de Forest, dépot légal 4ème trim 1963.
Sur les écrans du Central Dispatching cosmique, une forme insolite apparaît. Celle d'une fusée périmée à réacteur nucléaire qui va s'abattre sur un cosmodrome désaffecté.
- Salut à vous tous, mes descendants! dit l'un de ses deux occupants blessés, avant de s'évanouir.
La fusée ZT 3 « Taymir » était partie en 2017. Mais au 434ème jour de son envol, elle avait brusquement disparu en tentant de franchir le « mur de la lumière ». Et la voilà revenue... plus de cent cinquante ans après!
Les deux revenants des étoiles, le pilote Kondriatev et Slavin, son compagnon, ont tout à réapprendre dans ce monde de l'an 2169 où ils se retrouvent sans avoir vieilli, avec ses routes automouvantes, ses D-cosmofusées, ses fermes de baleines ou d'éléphants et tant d'autres merveilles... Comme si des hommes n'ayant connu que la lampe à huile se trouvaient devant un tube d'éclairage au néon!
Pas lu.
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121 John TAINE, L'Etoile de fer (The Iron Star), texte français de Christine Renard, illustration de Forest, dépôt légal 4ème trim 1963.
La police de Chicago, apercevant une ombre énorme qui se balançait dans les arbres d'un parc public, a abattu un anthropoïde d'une taille impressionnante. Au lieu du fou dangereux qu'elle croyait.
Le docteur Colton intervient pour que le cadavre soit immédiatement détruit. Car il sait que, sous le pelage épais et les formes animales, l'autopsie la plus sommaire révèlerait un squelette humain. Celui d'un femme qui fut belle et qu'un vice ou un mal horrible a tranformée en bête!
Cet incroyable mystère qu'il est déterminé à résoudre, entraînera Colton loin dans les profondeurs des jungles du Congo. Et le premier indice qui le mettra sur la voie, sera une petite pointe d'un métal noir, redoutable. Du fer tombé d'une étoile!
Pas lu
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122-123 N.Ch. HENNEBERG, La Plaie, illustration de Forest, 1964.
An 3000.
Conquise par la « Plaie », une force noire qui l'assaille périodiquement, la Terre semble perdue, face aux Etoiles libres.
Mais ses meilleurs enfants s'unissent pour la délivrer.
Après un exode vertigineux, le choc des vaisseaux fous dans l'espace, la Terre en proie aux Ombres, les planètes hallucinantes de beauté ou d'épouvante...
De grands anges de flamme combattant des démons irresponsables, des possédés...
Et maintes aventures humaines dans l'effrayante mélée des mondes.
Le plus épique, le plus fabuleux « space opera » de Nathalie Ch.-Henneberg.
L'œuvre est trop complexe pour que je tente d'en parler en quelques mots.
Il faut absolument lire cette épopée, ainsi que sa suite "Le Dieu foudroyé".
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124 Françoise D'EAUBONNE, Rêve de feu, illustration de Forest, 1964.
Prométhée est-il coupable?
L'inventeur du feu qui a doté l'humanité de sa meilleure défense, l'a-t-il précipitée sur la pente fatale de la guerre atomique, puis de la guerre cosmique?..
En ce Paris d'après la 3ème G.M., Iris révait trop. Elle n'osait en parler, même à son « relaxateur ». Et, tombée dans un sommeil cataleptique, elle s'est réveillée, hors du temps et de l'espace, dans la cité de ses cauchemars...
Fresque haute en couleurs, roman à « suspense », voici le dernier « space opera » de Françoise d'Eaubonne.
Une fin lamentable pour cette collection qui nous a fait tellement rêver.
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S'il est vrai que l'existence de reéditions est un signe de qualité,
ou peut-être simplement d'intéret,
et en comptant uniquement le nombre d'éditeurs, ou de collections,
55 titres n'ont jamais été reédites,
26 l'ont été 1 fois,
19 ............ 2 fois,
10 ............ 3 fois,
. 8 ............ 4 fois,
. 1 l'a été ... 6 fois, il s'agit de "Fondation".
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124 Françoise D'EAUBONNE, Rêve de feu, illustration de Forest, 1964.
Une fin lamentable pour cette collection qui nous a fait tellement rêver.
A ce point là ?
Bon, apparemment tu es arrivé au bout de ta collection, bravo et merci pour les commentaires personnalisés.
Il ne reste donc plus qu'à retrouver les scans qui te manquent et les intégrer dans les pages (je peux m'en charger) et Gil aura une belle collection complète de plus à intégrer dans BDFI
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Salut,
et en comptant uniquement le nombre d'éditeurs, ou de collections,
. 1 l'a été ... 6 fois, il s'agit de "Fondation".
Ton OU est-il inclusif ou exclusif ? En ce qui me concerne :
1 - Hachette-Gallimard - Rayon Fantastique
2 - Opta - CLA
3 - Denoel - Présence du futur
4 - C.A.L. - Chefs d'oeuvre de la SF...
5 - France Loisir
6 - Galimard - Folio SF
7 - Denoël - Lune d'Encre
+ France Loisir dans Le déclin de Trantor et pour les fines bouches un extrait dans le Seghers
Il serait amusant de connaître les autres ouvrages de tes stats, histoire de s'amuser.
AB+ Laurent
AB+ Laurent
Lecture en cours : Souvenir - Philip K. Dick
La Marche funèbre des Marionnettes Adam-Troy CASTRO
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Hello!
Ce n'est pas aussi repris dans un volume Omnibus?
C'est vrai que ces statistiques sont amusantes! On aimerait en connaître d'autres...
Oncle Joe
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Hello!
Ce n'est pas aussi repris dans un volume Omnibus?
Oui, le même omnibus que France Loisirs.
Perso, avec les rééditions (5 connues chez Présence du Futur (i.e. avec couv' différente)) j'arrive à 15
C'est vrai que ces statistiques sont amusantes! On aimerait en connaître d'autres...
Oncle Joe
Oui, ça pourrait être rigolo de faire des paris là dessus. J'aurais tendance à penser que 2001 doit être dans le même ordre de grandeur.
Bon, comme je pense que ça va vous amuser, je vais créer un topic pour ça, histoire de pas pourrir celui de Dr Mabuse qui reste quand même et malgré nous dédié au Rayon Fantastique
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71 Albert HIGON, La Machine du pouvoir, illustration de Forest.
http://bdfi0.free.fr/forums/v_rf_0071.jpg
La machine du Pouvoir exerce l'autorité suprême sur les hommes enfin soulagés de la mission - dont ils s'étaient toujours si piètrement acquittés - de se gouverner.
Derrière la Machine et en son nom, une caste de super-technocrates régente une humanité que les techniques ont presque totalement coupée de Mère Nature.
Bien entendu, celle-ci conserve néammoins des partisans, un véritable maquis d'hommes, pas le moins du monde décidés à se laisser « mécaniser ». Cette résistance possède, comme toute opposition, des affidés au sein même de l'ennemi, parmi les desservants de la Machine. D'où toute une subtile et tortueuse partie d'échecs politico-technologiques, jusqu'au plus violent des réglements de comptes...Un brave jeune homme, sous-chef de base sur Neptune, se présente devant la Machine, qui après trois jours de tests lui annonce que son test est meilleur que celui du Président de la Fédération, il va donc lui succéder.
"Tharn songea aux trois cent mille cerveaux de la Machine, aux huit cent cerveaux directeurs dont le plus fameux était sans doute M265, le spécialiste de mathématiques".
Or M265, lui avoue, à voix basse pour pas que la Machine n'entende, qu'il a triché dans l'addition des points du test, comme la Machine ne sait pas compter, ...
Ils vont donc à eux deux refaire le Monde et délivrer la promise de Tharn...Et tout est du même niveau, et sans un soupçon d'humour, ...
Le pauvre "Albert Higon", nous a pondu là un sous-fleuve, fortement influencé par A.E Van Vogt.
Certes, ce n'est pas inoubliable mais c'est le premier Michel Jeury qui allait devenir, à partir de 1973, avec Le Temps Incertain, une des écrivains français de science-fiction les plus importants.
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Certes, ce n'est pas inoubliable mais c'est le premier Michel Jeury qui allait devenir, à partir de 1973, avec Le Temps Incertain, une des écrivains français de science-fiction les plus importants.
J'ai donné mon opinion sur un livre bien précis, ceci dit,
j'ai beaucoup aimé "Le temps incertain", " Les Singes du temps", "Soleil chaud poisson des profondeurs",
et tout ceux publiés au Fleuve par la suite: "Les Îles de la Lune", "La Sainte Espagne programmée", etc ...
et je tiens aussi Michel Jeury pour un grand acteur de la SF française.
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Page collection créée, http://www.bdfi.net/collections/pages/rayon.php
A vot'bon coeur ! (je me réserve - au moins - les 97, 113, 117, 119, 122 )
Nota : règle de nommage : rfxxx.jpg (vous pouvez ajouter directement via l'outil "site")
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Site: http://collectiondaventures.monsite.wanadoo.fr
Blog consacré aux fictions mettant en scène des peuples précolombiens: http://lespeuplesdusoleil.hautetfort.com/
Forum: http://litteraturepopulaire.winnerbb.net/portail.htm
Blog sur la SF ancienne: archeosf.blogspot.com
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Le scan présenté sur la page collection est tout moche. J'en poste un plus zoli
http://i41.servimg.com/u/f41/11/11/75/0 … iste10.jpg
Intégré, merci !
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le lien vers la collection ne marche pas ( plus ?) erreur 404 , et pas de rayon fantastique dans la section " collections" de la base bdfi : normal ?
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le lien vers la collection ne marche pas ( plus ?) erreur 404 , et pas de rayon fantastique dans la section " collections" de la base bdfi : normal ?
Ah ben oui, et non, ce n'est pas normal
Bon, reste plus qu'à attendre le retour de notre webmestre favori
Et je colle une balise pour qu'il pense à passer par ce post
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quelques compléments d'informations que je mettrais ici au fur et a mesure , histoire d'avoir tout sous la main
* page wikipédia https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Rayon_fantastique dont :
- concernant la création de la collection :
Cette collection a une double origine, la première commence chez Gallimard, le 22 novembre 1949 lorsque le journaliste/traducteur Michel Pilotin reçoit le feu vert pour la création d’une série de science-fiction au sein de cette maison. Entre 1950 et 1951, Michel Pilotin prépare sa collection en achetant les droits de traductions de livres américains et en sollicitant des auteurs francophones.
Du côté de Hachette, cette collection, déjà nommée Le Rayon Fantastique, eut pour origine un article paru en 1950 dans le Figaro, intitulé La science-fiction remplacera-t-elle le roman policier ? qui résultait de la rencontre d'un journaliste avec un fan, Georges H. Gallet. Cet article incita les éditions Hachette à confier à Gallet la direction d'une nouvelle collection consacrée à ce nouveau genre.
Pour éviter toute concurrence, les deux maisons conviennent d’une collection commune, d’autant plus que Gallimard est encore diffusée par le groupe Hachette qui gère également la fabrication et la vente des éditions en poche (jusqu’en 1970).
Sous cette direction bicéphale, Gallet pour Hachette et Pilotin (sous le nom de Stephen Spriel) pour Gallimard, la collection édite son premier titre en janvier 1951, Assassinat des États-Unis de Will Jenkins (mieux connu sous le pseudonyme de Murray Leinster).
- concernant les illustrateurs :
Les couvertures de la collection évoluent avec le temps. D'abord non illustrées, elles font ensuite alterner réalisme et stylisation, selon les artistes (Jean Delpech, Troy, René Caillé, Georges Pichard, Jean Latappy, Lucien Lepiez et beaucoup d'anonymes). Puis, avec l'arrivée de Jean-Claude Forest en 1958, qui assurera près de la moitié de toutes les illustrations de couverture, elles hésitent entre stylisation et abstraction totale. D'autre part se succèdent différentes maquettes de présentation : les séries “noire”, puis “marron” ou “rouge”, et enfin la plus caractéristique, associée aux illustrations de Forest, la série “blanche” (ou “crème”), selon la couleur du fond employé.
Les six premiers numéros ont une couverture identique, sans illustration : fond noir, ruban verdâtre serpentant de haut en bas, titre en lettres blanches sur un polygone irrégulier rouge.
N° 7-15 : illustrations anonymes, très “années 1950” (n° 13 : signature présente mais illisible).
N° 16-19 : couvertures de Jean Delpech, peintre, graveur et illustrateur.
N° 20, 23, 24 : couvertures de Troy.
N° 21, 22, 26-28, 31, 33, 46 : couvertures de René Caillé, dessinateur qui se spécialisera entre autres dans les pin-ups et les dessins d'humour gaulois.
N° 25, 29-30, 32, 34-39, 42-44, 52, 54-56, 58, 60, 61, 892 : couvertures anonymes (pas de signature visible).
N° 40, 41 : signatures illisibles, terminées par -o.
N° 45 : couverture de Mod' (?).
N° 53, 59, 73 : couvertures de Georges Pichard, auteur de bandes dessinées qui se spécialisera dans l'érotisme.
À partir du n° 57 (L'Adieu aux astres de Serge Martel, 1958), la quasi-totalité des illustrations est due à Jean-Claude Forest (voir les quelques exceptions ci-dessus ou ci-dessous).
N° 91, 95-96, 98, 101-102, 104, 106 : couvertures de Jean Latappy, illustrateur.
N° 93 : illustration de Lucien Lepiez, dont on retrouve la signature sur différentes couvertures de Fiction.
À partir du n° 118 (Métro pour l'enfer de Vladimir Volkoff, 1963), et jusqu'au terme de la collection (n° 124, Rêve de feu de Françoise d'Eaubonne, 1964), la présentation des illustrations de couverture adopte la forme d'un écran de cinéma ou de télévision (cadre noir, fond blanc).
* in " gallimard 1911-2011 lectures d'un catalogue " collectif - gallimard 2012 :
concernant la creation de la collection , elle est dû a l'impulsion de raymond queneau . Celui-ci est d'abord publié en 1932 par les éditions Gallimard , puis il y devient traducteur en 36 et enfin entre au comité de lecture en 38 ( et ce jusqu'en 1976 ) avant d'en devenir le chef en 41 ( ainsi que secretaire général des editions en 39)
note a gaston Gallimard . 1952-53 : " le cul et le meurtre ça plait aux gens tandis que les Martiens , ça n'a pas encore beaucoup d'effets sur leur système génital "
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Je reviens de la page "RF" de la base. Mon sang n'a fait qu'un tour : en lieu et place de la chatoyante galerie, je n'ai trouvé qu' un cimetière de "?". Est-ce grave ?
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Je reviens de la page "RF" de la base. Mon sang n'a fait qu'un tour : en lieu et place de la chatoyante galerie, je n'ai trouvé qu' un cimetière de "?". Est-ce grave ?
Gil a dit qu'il avait "créé" la page, pas qu'il l'avait "rempli", nuance
Plus sérieusement, ça doit faire partie de ces vieilles collections que nous étions sûrs d'avoir finies alors qu'on ne les avait pas commencées
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Gil a dit qu'il avait "créé" la page, pas qu'il l'avait "rempli", nuance
Plus sérieusement, ça doit faire partie de ces vieilles collections que nous étions sûrs d'avoir finies alors qu'on ne les avait pas commencées
Non, non! Les images ont bel et bien disparu.
Je me suis souvent recueilli (pieusement) sur cette page, qui brillait alors de ses mille feux.
Quelque chose s'est produit, crois moi.
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Christian a écrit :Gil a dit qu'il avait "créé" la page, pas qu'il l'avait "rempli", nuance
Plus sérieusement, ça doit faire partie de ces vieilles collections que nous étions sûrs d'avoir finies alors qu'on ne les avait pas commencées
Non, non! Les images ont bel et bien disparu.
Je me suis souvent recueilli (pieusement) sur cette page, qui brillait alors de ses mille feux.
Quelque chose s'est produit, crois moi.
Argh ! Dans ce cas je mets quelques signaux d'alerte pour le boss
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Jérôme Seriel est le pseudonyme de Jacques Vallée, mathématicien, astronome et ufologue. C'est lui, le "Lacombe" incarné par Truffaut dans "Rencontres du 3° type".
Mais où tu les trouves tous ces bandeaux ? Dis moi pas que tu les imprimes toi-même
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Mais où tu les trouves tous ces bandeaux ? Dis moi pas que tu les imprimes toi-même
Ah,ben non! Tout est réalisé sans trucage!
Mais je le dis sans ambages, la quête du bandeau exige une bonne dose d'abnégation . Et de la méthode
Un sacerdoce, quoi
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