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Robert George Mera dans la Collection Epouvante des "célèbres" éditions de la Corne d'Or [Célèbres parceque pour trouver aujourd'hui un de leur bouquin dans cette collection en bon état ... fô se lever de trés bonne heure ! Je ne sais pas pourquoi je n'ai jamais trouvé un de leur titre ou la couv. n'ait pas morflé !! Tirage économique sans doute !] De plus je ne résiste pas de poster le quatrième de couverture du bouzin, ils manquaient pas d'air à "La Corne d'Or" ! Ils ont publiés des romans de seconde zone et ose se targuer de n'offrir à leurs lecteurs que de la qualité littéraire !!! Ils comparent quasiment leurs auteurs (qui devaient faire ça pour bouffer !) à Edgard (sic) Poë ! Trop fort La Corne d'Or
Dernière modification par Belzébuth (19-01-2006 12:48:09)
Le danger de devenir idiots n'est pas de nature à effrayer les hommes, car, à tout prendre, ça ne les changera pas beaucoup. Jacques Spitz
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Rends le Gulf-Stream, vilain !
Auteur(s) : Toudouze, Georges Gustave (1877-1974)
Titre(s) : L'Homme qui volait le Gulf Stream, par Georges G.-Toudouze [Texte imprimé]
Publication : Paris : Gallimard, 1925
Description matérielle : In-16, 256 p., couv. ill. en coul.
Note(s) : Les Chefs-d'oeuvre du roman-feuilleton
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Un savant fou kidnappe des personnalités parisiennes :
Auteur(s) : Vautel, Clément (1875-1954)
La Fouchardière, Georges de
Titre(s) : Clément Vautel et Georges de La Fouchardière. La Grande rafle, roman [Texte imprimé]
Publication : Paris : A. Michel, 1929
Description matérielle : In-16, 317 p., couv. ill. en coul.
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Même motif que mon post précédent (ça a l'air d'un savant doux-dingue pas méchant):
Par contre l'hitoire est à pleurer.....Voir le "Bulletin"
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Dans mon souvenir texte vaguement conjectural, plutôt romance mièvre ou le bô Renato sauve sa bien-aimée des griffes d'un méchant toubib qui veut la rendre immortelle ou quelque chose comme ça, sans grand intèrêt. (Collection Parisienne -sans date).
Seule la couverture est pas mal ! alors je la post.
Le danger de devenir idiots n'est pas de nature à effrayer les hommes, car, à tout prendre, ça ne les changera pas beaucoup. Jacques Spitz
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Bizarre dans ce petit fascicule "Mon Roman d'Aventures" un des héros s'appelle aussi Rénato (Voir post précédent) et l'histoire semble être un démarquage partiel de "L'homme qui croit vaincre la mort". Une jeune femme doit faire l'objet d'une horrible expérience de greffe d'une tête momifiée ...
L'auteur Léo Gestelys; ça ressemble aussi à Marguerite Geestelink ... y'a t-il un lien entre ces deux auteurs ou est-ce le même qui recycle ses textes ? est-ce une pure coïncidence ? Vos avis ?? Année de parution du fascicule : 1949.
Dernière modification par Belzébuth (19-01-2006 08:48:32)
Le danger de devenir idiots n'est pas de nature à effrayer les hommes, car, à tout prendre, ça ne les changera pas beaucoup. Jacques Spitz
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Dans mon souvenir texte vaguement conjectural, plutôt romance mièvre ou le bô Renato sauve sa bien-aimée des griffes d'un méchant toubib qui veut la rendre immortelle ou quelque chose comme ça, sans grand intèrêt. (Collection Parisienne -sans date).
Seule la couverture est pas mal ! alors je la post.
Le titre indique clairement le faux ami : L'homme qui croit vaincre la mort. Ya pas tromperie sur la marchandise !
Sur une colline de Scandinavie, par un beau soir de l'an 2082, un homme marchait d'un pas rapide. Un vent léger soulevait son immense cape noire et agitait mollement ses longs cheveux d'un blanc soyeux. Cet étrange personnage était Warner Ohberg, un prestigieux savant dont le génie paraissait bien proche de la folie (L. Massiéra, Le voleur d'océans, 1955, Mon roman d'aventures 346)
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(...) dans la Collection Epouvante des "célèbres" éditions de la Corne d'Or [Célèbres parceque pour trouver aujourd'hui un de leur bouquin dans cette collection en bon état ... fô se lever de trés bonne heure ! Je ne sais pas pourquoi je n'ai jamais trouvé un de leur titre ou la couv. n'ait pas morflé !! Tirage économique sans doute !]
Parce que les couvertures sont vernies. Et que toi t'es pas verni !! Mes exemplaires sont quasi neufs, mais ils sont protégés dans une enveloppe en plastimousse, à l'abri des intempéries, et n'ont pas traîné aux puces ! Et je les ai pas payé 50 centimes non plus ! Ton exemplaire d'ailleurs n'est pas spécialement abîmé.
De plus je ne résiste pas de poster le quatrième de couverture du bouzin, ils manquaiant pas d'air à "La Corne d'Or" ! Ils ont publiés des romans de seconde zone et ose se targuer de n'offrir à leurs lecteurs que de la qualité littéraire !!! Ils comparent quasiment leurs auteurs (qui devaient faire ça pour bouffer !) à Edgard (sic) Poë !
Ils ont quand même publié (en réédition) Le monstre immortel de Kerruish, ce qui n'est pas rien, et peut se comparer à Poe, si l'on veut.
Sur une colline de Scandinavie, par un beau soir de l'an 2082, un homme marchait d'un pas rapide. Un vent léger soulevait son immense cape noire et agitait mollement ses longs cheveux d'un blanc soyeux. Cet étrange personnage était Warner Ohberg, un prestigieux savant dont le génie paraissait bien proche de la folie (L. Massiéra, Le voleur d'océans, 1955, Mon roman d'aventures 346)
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.... André Mad " Du sans Sur Les Nuages" Férenczi " ....
C'est à dire ? Qu'il n'y a rien dans les nuages ? "Du sans" ? je croyais, connaissant Mad, qu'il y avait tout de même un peu d'hémoglobine
Et pourquoi tu as toujours des images minuscules ???
Dernière modification par Belzébuth (19-01-2006 22:26:17)
Le danger de devenir idiots n'est pas de nature à effrayer les hommes, car, à tout prendre, ça ne les changera pas beaucoup. Jacques Spitz
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teddy verano a écrit :.... André Mad " Du sans Sur Les Nuages" Férenczi " ....
C'est à dire ? Qu'il n'y a rien dans les nuages ? "Du sans" ? je croyais, connaissant Mad, qu'il y avait tout de même un peu d'hémoglobine
Et pourquoi tu as toujours des images minuscules ???
C'est bon je viens de trouver!
Dernière modification par teddy verano (20-01-2006 06:35:57)
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Charles de Richter : "L'Homme qui voulut le Déluge" (éd. Gutenberg, Coll. "Les Nuits Blanches" - Lyon - 1945).
Dernière modification par Belzébuth (20-01-2006 21:48:17)
Le danger de devenir idiots n'est pas de nature à effrayer les hommes, car, à tout prendre, ça ne les changera pas beaucoup. Jacques Spitz
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Richter !
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Charles de Ritcher : "L'Homme qui voulut le Déluge" (éd. Gutenberg, Coll. "Les Nuits Blanches" - Lyon - 1945).
Ouaf!Ouaf!Ouaf!
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Ouaf!Ouaf!Ouaf!
Ouais, mais moi j'ai corrigé
Le danger de devenir idiots n'est pas de nature à effrayer les hommes, car, à tout prendre, ça ne les changera pas beaucoup. Jacques Spitz
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Et personne ne parle du "Mystérieux docteur Cornélius" (de Gustave Le Rouge), Cornélius Kramm, « le sculpteur de chair humaine » inventeur de la carnoplastie, une technique qui permet à une personne de prendre l'apparence d'une autre!
Site: http://collectiondaventures.monsite.wanadoo.fr
Blog consacré aux fictions mettant en scène des peuples précolombiens: http://lespeuplesdusoleil.hautetfort.com/
Forum: http://litteraturepopulaire.winnerbb.net/portail.htm
Blog sur la SF ancienne: archeosf.blogspot.com
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Et personne ne parle du "Mystérieux docteur Cornélius" (de Gustave Le Rouge), Cornélius Kramm, « le sculpteur de chair humaine » inventeur de la carnoplastie, une technique qui permet à une personne de prendre l'apparence d'une autre!
Peut-être parce que le thème du topic est avant tout le "savant fou", pas le savant criminel.
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Certes... :-(
Site: http://collectiondaventures.monsite.wanadoo.fr
Blog consacré aux fictions mettant en scène des peuples précolombiens: http://lespeuplesdusoleil.hautetfort.com/
Forum: http://litteraturepopulaire.winnerbb.net/portail.htm
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Avec un article sur le savant fou dans la SF ancienne...
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Un savant fou veut détruire le monde grâce au termites :
LA MENACE INVISIBLE de Charles DE RICHTER
Les Éditions de France, Paris, «A ne pas lire la nuit» n° 110, couv. ill. couleurs par Armand Rapeno, 240 pp., 1937.
Ce roman eut l’honneur – fort rare et pour une fois mérité – d’être traduit dans les pulps SF américains de l’entre-deux guerres : par Fletcher Pratt (par ailleurs auteur réputé) dans «Wonder Stories» de septembre à octobre 1934, sous le titre de The Fall of the Eiffel Tower, qui plus est illustré par… l’illustre Frank R. Paul.
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Première apparition du très dérangé Professeur Tornada.
Illustration d'André Devambez issue de la préo. D'une invasion de Macrobes d'André Couvreur in La Petite Illustration - 1909.
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Un must du cinéma muet expressionniste allemand : "Le Cabinet du Docteur Caligari", Le Roman Complet in Ciné-Collection. Illustré par les photos du film. Adapté par Georges Spitzmuller. 1922.
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Ils y'en a qui cherchent l'elixir de vie celui là trouve la potion qui pousse au suicide ! C'est la fin de l'instinct de conservation ... même les animaux domestiques y passent
Auteur(s) : Robert-Dumas, Charles (18..-1946)
Titre(s) : L'Elixir de suicide... [Texte imprimé]
Publication : Paris, A. Fayard, 1941. In-16, 287 p., couv. ill. 13 fr. [3098]
Description matérielle : 283 p. ; 19 cm
Note(s) : Le Roman policier. N ̊ 7
Le danger de devenir idiots n'est pas de nature à effrayer les hommes, car, à tout prendre, ça ne les changera pas beaucoup. Jacques Spitz
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Ils y'en a qui cherchent l'elixir de vie celui là trouve la potion qui pousse au suicide ! C'est la fin de l'instinct de conservation ... même les animaux domestiques y passent
Dans mon souvenir, le savant n'est pas fou. Juste imprudent. Non ?
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Dans mon souvenir, le savant n'est pas fou. Juste imprudent. Non ?
Il réalise bien les effets de la potion, il tentera de supprimer un prétendant génant qui plaisait à sa bien-aimé. Fatalitas c'est elle qui effectivement par imprudence respire le terrible poison ! Notre savant trouvera in-extremis l'antidote pour sauver sa dulcinée La police s'occupera du reste
Le danger de devenir idiots n'est pas de nature à effrayer les hommes, car, à tout prendre, ça ne les changera pas beaucoup. Jacques Spitz
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Savant criminel, alors ? Il n'est que fou "socialement parlant", si l'on peut dire.
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Savant criminel, alors ? Il n'est que fou "socialement parlant", si l'on peut dire.
Ouais plutôt savant criminel ... Comme toujours, t'as raison mon cher Dave
Le danger de devenir idiots n'est pas de nature à effrayer les hommes, car, à tout prendre, ça ne les changera pas beaucoup. Jacques Spitz
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L'article sur les savants fous paru dans "813" (voir plus haut) fait la distinction entre : savants frappadingues / criminels / inconscients.
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Un savant type Dr. Frankenstein crée une jeune fille dans laquelle il transférera son propre esprit. Le corps sans raison du savant errant dans les bois finira dans un asile d'aliénés en berçant son polochon et mumurant le nom de sa créature "Incarnata" !
Auteur(s) : Sauerwein, Christian
Titre(s) : Incarnata, histoire étrange
Publication : Paris, A. Michel (impr. de Busson), 1947. In-16 (185 x 120), 251 p. 120 fr.
Note(s) : Coll. "Les Romans d'aventures".
Le danger de devenir idiots n'est pas de nature à effrayer les hommes, car, à tout prendre, ça ne les changera pas beaucoup. Jacques Spitz
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Pas lu, je ne suis pas sûr qu'il sagisse réellement d'un savant fou ? Ca ressemble plutôt à un doux dingue...
René Lefèvre & Isidore L'Inventeur éd. Les Deux Sirènes - 1947.
Le danger de devenir idiots n'est pas de nature à effrayer les hommes, car, à tout prendre, ça ne les changera pas beaucoup. Jacques Spitz
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Là je dois avoir bon (pour une fois):
Le Bossu est dans la lune de M.A. Dazergues paru dans la collection Le Verrou (1953?) < j'ai retrouvé cette référence par hasard en travaillant sur autre chose.
"Le Bossu s'empare des plans d'un savant fou qui fabrique, tout seul, une fusée pour aller sur la Lune" (résumé de Michel Nathan)
Dernière modification par Fantomas (16-02-2006 09:38:21)
Site: http://collectiondaventures.monsite.wanadoo.fr
Blog consacré aux fictions mettant en scène des peuples précolombiens: http://lespeuplesdusoleil.hautetfort.com/
Forum: http://litteraturepopulaire.winnerbb.net/portail.htm
Blog sur la SF ancienne: archeosf.blogspot.com
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Dave o'Brien
Titan
Voulez-vous vendre votre livre :
PONCETTON, François (F)
L'Aventure des treize filles de Mademoiselle d'Oche
Dave a déjà répondu que ce qui entrait dans sa bibliothèque n'en sortait jamais plus ! Ca m'étonnerait donc qu'il vous vende quoi que soit
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