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34 – CAMERA 34 – CAMERA
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Nous allons tranquillement « éplucher » la revue « 34 », qui n'a ce nom que parce qu'elle comporte 32 pages plus la couverture. Cette revue a été feuilletée intégralement. Editée au début par Vaillant et au format poche le premier numéro sort le 15 avril 1949. Assez vite la numérotation passe à 64 pages et ce bimensuel devient mensuel à partir du numéro 102 de juillet 1953.
Cette revue change de nom à son numéro 78 et devient « CAMERA 34 » et encore plus simplement « CAMERA » tout court à son numéro 111 d'avril 1954. Après le n° 122 le format devient in-8° et le nombre des pages redescend à 32. Toujours après ce numéro 122 une nouvelle numérotation commence et dure au moins 7 mois.
A ces tout débuts « 34 » produit surtout des bandes dessinées sportives, puis des nouvelles d'aventures, de la science-fiction et des séries policières qui étoffent le contenu tout en continuant d'éditer des B. D. dans de nombreux domaines. Le sommaire en est agréable surtout si vous recherchez des documents sur les milieux du cyclisme. Les « documentaires » divers sont vraiment « passe-partout » et sont de ceux que l'on retrouve partout dans la presse populaire de l'époque. Les nouvelles dans l'ensemble, affichent une qualité médiocre. Le point fort de la revue reste les bandes dessinées, surtout celles du jeune FOREST alors débutant. Les débuts de la revue sont plutôt restreints pour la conjecture :
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n° 22 : 1er mars 1959 : Une B.D. de 18 pages timidement signée de Albert UDERZO : SUPERATOMIC « Z », il est précisé : « Une passionnante aventure dans le monde des laboratoires », le mot passionnante est un peu superlatif, mais il faut salué ici les débuts du père d'Astérix.
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n° 29 : 15 juin 1950 : Une B.D. « UNE ETRANGE HISTOIRE », qui ne s'avérera être qu'un rêve et anonyme
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n° 31 : 15 juillet 1950 : Une nouvelle fantastique « LA GROTTE DU CAUSSE MEJEAN », signée J. PERRIOD. Nouvelle totalement fantastique jusqu'au moment où notre héros se réveille. Illustrations
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n° 34 : 1er septembre 1950 : Un article anonyme de prospective et la couverture en couleurs tous les deux consacrés à : « L'HELICOPTERE PORTATIF EST NE ». Projet qui, au demeurant, n'a jamais été porté à réalisation à part dans l'imagination de son concepteur.
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n° 35 : 15 septembre 1950 : « NAVIRES SOUTERRAINS ! (20 000 Lieues sous les terres ». Projet d'engin souterrain se déplaçant aussi facilement que sous les eaux. Le véhicule est représenté par deux dessins et ressemble à un suppositoire.
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n° 37 : 15 octobre 1950 : Un article signé GALIANA et s'intitulant : « LES MONDES INHOSPITALIERS, perspective des voyages interplanétaires ». Gentil mais un peu à côté de la plaque
« LA FOUDRE EFFRAYEE, à la limite du possible ». Un texte qui n'est pas présenté comme une nouvelle mais comme un faux reportage scientifique alors qu'il s'agit bel et bien d'une nouvelle de science-fiction traduite de l'écrivain Russe OKHOTINKOV. Des savants arrivent presque à maîtriser la foudre et à mon avis seuls des spécialistes pourraient faire la part de la science et la part de la fiction dans cette nouvelle.
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n° 38 : 1er novembre 1950 : « LA BÊTE ROUGE », textes et dessins de Pierre CHIVOT. Petite bande dessinée Préhistorique de 16 pages nous narrant les aventures de Tonga, Nouka, Jaik et Zara et de quelques bêtes anachroniques pour l'époque.
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n° 39 : « VERS LA MACHINE ELECTRIQUE DE DEMAIN », un article de prospective comprenant une illustration. « USINES A FANTÔMES », article illustré sur les effets spéciaux du cinéma de l'époque.
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n° 41 : Un (très, très) court article sur jack LONDON ayant pour titre « DE CROC-BLANC AU TALON DE FER ». Et un article « scientifique » sur la chute de météores : « DES PLANÊTES GROSSES COMME DES VILLES… TOMBENT DU CIEL ».
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n° 42 : Un article de prospective qui ne vaut que par son illustration représentant un sous-marin hélicoptère : »LES VEDETTES-HELICOPTERES ».
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n° 45 :20 février 1951 : Une adaptation du « SCARABEE D'OR » de Edgar POE en une bande dessinée Noir et blanc de dix pages de bon aloi. L'esprit du grand auteur américain y est scrupuleusement respecté.
Un article de S. WALTER : « LE CINEMA EN RELIEF EXISTE-T-IL ? UN petit papier de 3 pages sur « LES CITES ENSEVELIES », mais comme se sont des cités réelles, la conjecture est nulle
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n° 47 : 20 mars 1951 : UN des points forts de cette revue, une B. D. de 20 pages : « TROIS HOMMES DANS LA LUNE », où un lecteur s'endort sur un ouvrage, à priori d'anticipation et rêve. B. D. relativement bien dessinée avec un petit scénario qui tient bien la route. Les « Luniens » sont particulièrement originaux.
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n° 48 : 5 avril 1951 : Un article anonyme de trois pages sur les comètes et autres météores.
Un dessin humoristique préhistorique sans le moindre soupçon d'intérêt.
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n° 50 : 5 mai 1951 : Un article : « GARE A LA PLANÊTE », où les auteurs nous signalent que la Terre vient d'éviter une collision avec une planète inconnue du système solaire.
« TERRES PERDUES », 2 pages sur des villes imaginaires enfouies et sur des continents perdus.
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n° 51 : 20 mai 1951 : Jean OLLIVIER signe un petit documentaire pédagogique : « DE MOWGLI, le petit d'homme, aux LOUPS-GAROUS de la légende ». Ceci avec une petite illustration.
« L'ENIGME DU METEORE SIBERIEN », où l'auteur anonyme se demande après plusieurs possibilités si le 30 juin 1908 un vaisseau intersidéral ne se serait pas écrasé dans la steppe de Sibérie.
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n° 53 : 20 juin 1951 : « LUNES ARTIFICIELLES » de Michel PAQUI, où l'auteur verrait bien un début d'habitation permanente de l'homme sur la Lune.
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n° 54 : 5 juillet 1951 : Un article de GEO-MOUSSERON, illustré par CEZARD, sur « LES BATEAUX-FANTÔMES », n'apportant pas grand-chose de nouveau sur le sujet.
Un texte de Michel PAQUI : « LES HOMMES DE LA PLANETE MARS », où l'auteur n'y connaissant rien (personne à l'époque d'ailleurs) réussit à pondre trois pages qui, vues de 2010, sont très optimistes. 3 illustrations
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n° 57 : 20 août 1951 : Un article de cryptozoologie de R. THIERRY : « MONSTRES INCOGNITOS, nous savons qu'ils existent mais….. »
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n° 61 : 20 octobre 1951 : Une bande dessinée de 13 pages de FOREST : « LE COULOIR DES TENEBRES », qui voit la première aventure d'un nouvel héros préhistorique : RAO. A noter une jolie petite femme préhistorique ancêtre de la future Barbarella et un nouvel anachronisme zoologique
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n° 64 : 5 décembre 1951 : Encore FOREST, et encore Rao, personne ne s'en plaindra, dans une nouvelle aventure préhistorique au titre poétique : « LA LUNE DE GLACE ». Aucune bête anachronique dans cette petite histoire mais un bateau à voile assez surprenant pour l'époque.
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n° 66 : 5 janvier 1952 : La première partie d'un article de Michel PAQUI : « LE MONDE – AN 2000 ? », texte de trois pages avec des illustrations
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n° 67 : 20 février 1952 (avec une erreur de date, ça c'est de l'anticipation » : Suite de l'enquête sur « LE MONDE –AN 2000 ? »
3ème aventure de Rao, toujours sous la plume de FOREST : « LA SEPTIEME CITE », signalons que ces aventures ne sont plus tellement préhistoriques mais sont quand même teintées de fantastique.
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n° 69 : 20 février 1952 : Un article « bouleversant » de Michel PAQUI : « L'HOMME DES NEIGES », Yéti ? Yétipas ? Amateurs de crytozoologie vous ne serez pas bouleversés.
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n° 74 : 5 mais 1952 : Toujours M. PAQUI avec un article de prospective S. F. : « L'ELECTRON SERA ROI EN L'AN 2000 ». Article illustré.
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n° 75 : 20 mai 1952 : Un petit papier de trois pages de Jean LELOUP : « MONSTRES ET MYSTERES – LE CINEMA QUI FAIT PEUR », petit article sympathique sur le cinéma d'horreur de l'époque, avec trois illustrations
Un dessin humoristique avec un fantôme pour thème.
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n° 76 : 5 juin 1952 : Une bande dessinée de FOREST : « L'AVENTURE EST SOUS LA PORTE », aventure, qui peut-être considérée comme une aventure fantastique. Le style baroque de l'auteur commence à s'affirmer
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n° 78 : 5 juillet 1952 : Une nouvelle de pure science-fiction de Michel PAQUI : « PARACHUTE SUR MARS ». Avec une grande illustration.
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n° 81 : 20 août 1952 : Encore Michel PAQUI, qui nous signe en cinq pages illustrées : « NUCLEOPOLIS, VILLE DE DEMAIN ».
Et encore une B. D. de FOREST : « LA BÊTE DU MOULIN-MORT », histoire de S. F. sans problème et très intéressante malgré le fait que certains dessins soient bâclés.
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n° 86 : 5novembre 1952 : Un dessin humoristique avec un fantôme pour thème
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n° 88 : 5 décembre 1952 : Un article de R. THIERRY sur « LES PÊCHES ETRANGES ». Le monstre du Loch-Ness est évoqué et même dessiné.
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n° 99 : 20 mai 1953 : C. de NEUBOURG : « DES NAVIRES FANTÔMES VOGUENT DEPUIS 40 ANS ». Article n'apportant rien de nouveau. Illustrations.
« L'AVENIR EST-IL A L'HYDRAVION ? », article anonyme d'extrapolation qui vaut surtout pour les trois illustrations d'hydravions futurs.
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n° 102 : 5 juillet 1953 : « POURQUOI LES GROSSES ESPECES DISPARAISSENT ? » de Michel PAQUI. Illustré de quelques bêbêtes préhistoriques
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n° 104 : 5 septembre 1953 : Michel PAQUI nous raconte en 5 pages illustrées : « après la victoire sur l'Everest L'HIMALAYA CACHE TOUJOURS LE SECRET DE L'HOMME DES NEIGES ». Encore un Yéti.
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n°107 : Décembre 1953 : Une super bande dessinée de FOREST se déroulant en 2237 : « L'INVASION », une invasion de bulles en 16 pages.
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n° 110 : Mars 1954 : Une bande dessinée de science-fiction de 13 pages : « UN HOMME QUITTA LA TERRE », aucune originalité pour cette B. D. anonyme, c'est dur d'atterrie après la B. D. de FOREST.
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n°113 : Juin 1954. Un film tchécoslovaque est présenté : « VOYA GE DANS L'AGE ANTIQUE ». Je n'ai jamais entendu parler de ce film et en tout cas, pas de problème, c'est au moins du fantastique vu les deux monstres préhistoriques présentés en photo.
Un très intéressant article de R. THIERRY illustré par FOREST : « VOICI PARIS IL Y A DOUZE MILLE ANNEES ».
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n°118 : Novembre 1954. Un article de Bob BERGUT sur le cinéma fantastique : « DES MONSTRES (DE CINEMA) QUI NE FONT PLUS PEUR ». Illustré de deux photographies
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n° 119 : Décembre 1954 : Anonyme : « ET VOILA LE CIGARE VOLANT ! », illustré d'un beau vaisseau spatial et de son plan en coupe. L'article est anonyme
Un petit article de Bob BERGUT sur « Lex BARKER : TARZAN DE CINEMA ».
Et un article de prospective très intéressant car assez réaliste : « LES MARTIENS PEUVENT-ILS EXISTER ? »
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n° 120 : Janvier 1955 : Un article offrant peu d'intérêt mais à signaler tout de même signé François THEBAUT : « LE FOOT DE L'AVENIR se jouera-t-il pieds nus sur une pelouse caoutchouc ? ». Après mûres réflexions en 2010, la réponse est non ! Le foot se jouera avec des chaussures de marques et sur des matelas de pognon.
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n° 122 : Un article sur les futures maison électroniques et un autres sur quelques inventions bizarres.
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n° 3 : Juin 1955 : « ICI LA LUNE ! LA TELEVISION VOUS RETRANSMET », un article de prospective de l'inusable Michel PAQUI. Illustrations
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n° 5 : Août 1955 : « LE VELO AERIEN EST-IL POUR DEMAIN ? » du même stakhanoviste de la prospective.
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n° 6 : Septembre 1955 : « LE TRAIN ATOMIQUE », (non blindé), prospective. Illustrations.
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n° 7 : Octobre 1955 : Pour finir en beauté une super couverture de S. F. (voir plus haut)
Un compte-rendu photographique du film : « LA CONQUÊTE DE L'ESPACE »
Une nouvelle signée Bernard AMYOT, de pure science-fiction : « LA PLANÊTE DES PLUIES », que vous trouverez ici même, en début d'année 2011.
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Voila, CAMERA, une revue qui hésitait entre digest sportif et la B. D. petit format. Le numéro 7 de Octobre 1955 est le dernier paru, sauf erreur de ma part. Sa disparition est probablement due à sa non-spécialisation précise et à l'apparition massive sur le marché des B. D. petits formats. En fait pour l'amateur de S. F. seuls une petite douzaine de numéros sont intéressants. Mais les amateurs de nouvelles policières, d'aventures, de récits sportifs, y trouveront leur compte, ainsi que les fans des B. D. y redécouvriront Pierre DUPUIS, Gérald FORTON, CEZARD, et Louis FORTON, et bien d'autres choses encore. Isma
Dernière modification par Ismaël II (31-12-2010 13:50:47)
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tres sympa ; une revue que je ne connaissais pas du tout ; belle couv " bleu espace"
je me demandais : la section " revue-magazine" du forum est-elle consacrée juste à ceux "uniquement " SFF , ou peut-elle contenir des revues générales " avec de vrais morceaux de SFF dedans " , comme " caméra 34 " ? ( je comptais mettre " N comme Nouvelles" , qui sur une 15zaines de nouvelles en contient toujours de sff )
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tres sympa ; une revue que je ne connaissais pas du tout ; belle couv " bleu espace"
je me demandais : la section " revue-magazine" du forum est-elle consacrée juste à ceux "uniquement " SFF , ou peut-elle contenir des revues générales " avec de vrais morceaux de SFF dedans " , comme " caméra 34 " ? ( je comptais mettre " N comme Nouvelles" , qui sur une 15zaines de nouvelles en contient toujours de sff )
A mon avis, on peut élargir aux revues généralistes ayant publié régulièrement de la SF ou du Fantastique, donc si "N comme Nouvelles" a publié de la SF dans chaque numéro c'est OK.
En revanche, si j'en crois Ismael (que je remercie au passage pour ses multiples contributions ) Caméra 34 n'a publié de la SF que dans une douzaine de n°, donc sa place actuelle en "Autres supports de l'Imaginaire" me semble la meilleure.
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Bravo, joli !
Quelques questions pour référencer les nouvelles :
--> n° 37 : Okhotinkov : plutôt Okhotnikov je suppose, sauf si erreur dans la revue elle-même ?
Y-a-t-il le prénom (serait Vadim Dmitrievitch) ?
Y-a-t-il un titre original indiqué ? (ce pourrait être : "Napougannaïa molnia") et un traducteur ?
--> Pour le n° 81 , le texte de Michel PAQUI est une nouvelle ?
Sauf erreur, quatre nouvelles à référencer (n° 31, 37, 78, 7) donc, dont trois auteurs (qui me sont) totalement inconnus (perriod, paqui, amyot), en tout cas bien moins connus que les dessinateurs.
PS : je me suis permis de recadrer & "dé-perspectiver" quelques couvertures.
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Pour le n° 37 l'orthographe est telle que dans la revue, il n'y a aucun prénom et aucun titre original de signalé, la revue parle de " l'auteur Russe Okhotinkov", mais je pense qu'il s'agit en réalité de l'auteur dont tu parle, la rédaction de l'époque ne devant pas être un un petit détail près.
Le texte de PAQUI est tellement extrapolé que je peux affirmer qu'il s'agit d'une nouvelle.
Je reproduirait intégralement la nouvelle de AMYOT du dernier numéro dans les jours qui viennent à la suite de ce post. Merci à toi pour avoir recadré les illustrations, certaine fois je bâcle un peu le boulot. Isma
Dernière modification par Ismaël II (31-12-2010 16:53:47)
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Pour le n° 37 l'orthographe est telle que dans la revue, il n'y a aucun prénom et aucun titre original de signalé, la revue parle de " l'auteur Russe Okhotinkov", mais je pense qu'il s'agit en réalité de l'auteur dont tu parle, la rédaction de l'époque ne devant pas être un un petit détail près.
Avec une forte proba, il s'agit donc du texte dont voilà la traduction automatique : http://translate.google.fr/translate?js … vadim.html (pour ceux qui lisent le russe dans le texte - Patriiice ! - voir la page non traduite http://knigosite.ru/read/31261-napugann … vadim.html)
Merci à toi pour avoir recadré les illustrations, certaine fois je bâcle un peu le boulot. Isma
Ce n'est pas un reproche, ce n'est pas obligatoire ! (et moi j'aime bien )
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LA PLANETE DE LA PLUIE, nouvelle de Bernard AMYOT.
Extraite du numéro 7 d'octobre 1955 de la revue « CAMERA »
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Un rideau de pluie s'interposait entre eux et le monde inconnu et inquiétant que depuis une quarantaine d'heure, le visage collé aux hublots de la fusée XB29, ils essayaient de deviner.
Le colonel Clarkbook sentit une nausée le submerger. Il ferma les yeux, dans le vague espoir qu'il rêvait et qu'il allait, en les rouvrant, s'éveiller de se cauchemar. Mais il ne rêvait pas : quand il souleva ses paupières, le décor spectral noyé dans la brume s'étendait toujours devant lui.
-Ce n'est pas possible, marmonna-t-il, il faut faire quelque chose…
Faire quelque chose. Mais quoi. Trente fusées interplanétaires avaient quitté, huit jours auparavant, la base lunaire de Fort Spring, sous le commandement du général Mac Avoy. Les experts et les savants qui pendant des années avaient médité l'expédition, dans les silences des bureaux de l'Hexagone, le siège du grand Etat-Major, avaient tout prévu : direction Mars et installation d'une base militaire ; liaison constante avec la Terre par radio… Enfin de quoi occuper les quinze cents hommes de l'expédition. Ils avaient tout prévu, sauf que les fusées se perdraient en route.
Clarkbook étouffa un juron :
« Les imbéciles »
Mac Avoy et les autres avaient disparu dans l'espace. Lui, se retrouvait seul, avec ses cinquante hommes, dans un coin impossible de la planète Mars, sans espoir d'en repartir jamais. La fusée était hors d'usage ; la radio ne fonctionnait plus ; ils avaient un mois de vivre. Après… Après, ce serait la mort sans phrases. ET cette pluie qui ne cessait pas ! Dire que les gens de l'Hexagone prétendaient que Mars, après tout, c'était presque pareil à la terre ! Il est vrai qu'ils avaient besoin de volontaires !
« Au fond, songea Clarkbook, rien ne me prouve que nous nous trouvons sur Mars. Peut-être avons-nous atterri sur un astéroïde voisin ? Qui sait ? »
Le lieutenant Bland pénétra dans l'étroite cabine qui servait de poste de commandement au colonel. Il était trempé comme un vieux linge oublié dans une lessiveuse.
- La patrouille est rentrée, annonça-t-il brièvement. Rien à signaler. A une heure de marche, vers le Sud, nous avons seulement découvert une sorte de forêt… Infect… des arbres, ou plutôt des sortes de laitues géantes, avec des feuilles molles et visqueuses qui collent à la peau. Rétrospectivement, il frissonna.
-Vous n'avez pas relevé de traces de pas ? s'enquit vivement Clarkbook.
- Rien. A mon avis, nous avons été victimes d'hallucinations. Il n'y a personne sur cette damnée planète.
-Pas de nouvelles de la patrouille numéro deux ?
-Pas encore. Ils ne vont pas tarder à rentrer. Vos ordres colonel ?
-Reposez-vous. Vous en avez besoin.
Le colonel soupira et ajouta :
-Si seulement nous trouvions un endroit un peu ferme, nous pourrions essayer de planter nos tentes, peut-être même de faire un peu de feu. A force de rester dans ce cigare en aluminium, nous allons tous devenir fous…
Le lieutenant Bland haussa les épaules avec lassitude.
-De toute façon, il faudra en finir par là… Quant à trouver un sol un peu ferme dans la région autant y chercher un milk-bar. C'est partout comme une vulgaire éponge.
L'officier se retira. Le colonel chercha désespérément à s'employer. Machinalement, il feuilleta pour la énième fois son journal de bord et en relut quelques passages :
« Atterrissons… Il pleut. Sommes dans une sorte de désert liquide… Avons entrevu, durant l'espace de jour glauque qui correspond à la nuit terrestre sur cette planète, de ombres qui rôdaient autour de la fusée…. Il pleut…. J'envoie des patrouilles… Il pleut… Les hommes ont mauvais moral »
Les mêmes mots toujours. Il ne se passait rien. Ils étaient seuls et la pluie tombait.
La pâle lueur qui éclairait ce paysage de désolation s'estompa. Tout devint gris alentour. C'était l'étrange nuit de ce monde. Le colonel consulta son bracelet-montre. La patrouille numéro deux aurait du rentrer depuis longtemps. Il sortit de sa cabine. Dans les différents compartiments de la fusée régnait un silence total. Les hommes enroulés dans leurs couvertures essayaient de trouver le sommeil. Quelques-uns se levèrent en l'apercevant. L'un d'eux s'enhardit à demander :
-Alors, mon colonel, quand vont-ils rentrer les copains ? Je suis volontaire pour aller les chercher !
-Tout le monde s'agita. Ce n'était pas normal. Pourquoi les gars de la patrouille n° 2 ne rentraient pas ?
Soudain le caporal Bronx, qui veillait à un hublot s'écria d'une voix étranglée :
-Alerte ! « Ils » sont là ! « Ils » rodent autour de nous !
On se précipita aux hublots. Quarante paires d'yeux scrutèrent l'obscurité glauque.
Là, sur la gauche, disait Bronx. Ca bouge n'est-ce pas ?
Les avis étaient partagés. Les uns étaient d'accord avec le caporal. Les autres prétendaient qu'il avait des visions.
-Je vais arroser ce coin avec ma mitraillette, hurla Bronx qui perdait son sang-froid. Je suis sûr qu'ils ont fait un mauvais coup. C'est pour cela que les copains ne rentrent pas !
Le lieutenant Bland dut s'interposer. Clarkbook rappela qu'il avait formellement interdit de tirer, à moins d'être attaqué.
-N'oubliez pas les ordres, garçons, précisa-t-il. Faites des prisonniers, c'est plus précieux. Il s'agit de savoir à qui nous avons affaire.
Bert, un sergent, se prit la tête à deux mains, en gémissant :
-« Ils » nous tueront tous, j'en ai presque vu un, « ils » sont horribles.
Tout le monde regarda. Mais « ils » avaient disparu- A quoi ça ressemble, Bert ?
Le sergent, un grand rouquin qui tremblait de tous ses membres bégaya :
-C'est petit, m'a-t-il semblé. Petit et luisant. Je ne peux pas en dire plus. « Ils » se déplacent trop vite.
Et, comme les autres hochaient la tête avec commisération, il hurla :
-Je vous assure. Je ne suis pas fou. Je ne saurais pas dire comment « ils » sont mais je les ai vus.
Le colonel fit signe à Bland de le suivre et regagna sa cabine.
6Ca va mal, dit-il. Dès demain, nos allons envoyer des patrouilles dans toutes les directions. Je ne suis pas inquiet sur le sort de la patrouille numéro deux, mais il faut occuper les hommes. Ils commencent à perdre le contrôle de leurs nerfs.
Quelques heures plus tard, sept petites patrouilles comptant cinq hommes chacune quittaient la fusée laissée à la garde d'un petit groupe. Le colonel dirigeait une des formations. IL choisit la direction de l'Ouest. Le sol était d'un gris vert sombre et on y enfonçait jusqu'aux genoux à chaque pas. Pourtant les hommes en marchant, ne laissaient derrière eux aucune empreinte : la terre était étonnamment spongieuse.
La pluie tombait toujours, régulière, inlassable. Le colonel et ses compagnons avaient parcouru une dizaine de milles, quand, à leur grande surprise, le sol parut s'affermir sous leurs pas. Leurs pieds cessèrent de s'enfoncer profondément. Ils marchaient sur une sorte de tapis de caoutchouc mousse qui aurait eu la faculté d'absorber indéfiniment les tonnes et les tonnes d'eau qui tombaient du ciel. Brusquement, un des soldats poussa un cri : à quelques pas devant eux se trouvait une mitraillette. Fébrilement ils cherchèrent alentour et découvrirent un piquet de tente et une pipe. La pipe appartenait –les soldats en étaient sûr- au caporal Templin qui faisait partie de la patrouille disparue. Non loin de là, le sol était jonché de douilles vides.
Clarkbook essuya son visage ruisselant de pluie.
-Templin et ses compagnons ont été attaqués, dit-il avec excitation. Ils avaient dû installer leur camp ici. Ils se sont défendus… Enfin, maintenant nous savons à quoi nous en tenir, ajouta-t-il.
La pensée d'avoir à entreprendre une opération militaire le revigorait. Déjà, il bâtissait dans son esprit un plan de campagne. L'ennemi n'était pas loin. Bientôt il trouverait certainement le contact.
Pour Clarkbook, la victoire ne faisait aucun doute. Il lui restait quarante hommes, supérieurement armés et entraînés. Ils arracheraient aux gens qui peuplaient l'astéroïde le secret de la vie sur la planète de la pluie… Ensuite, ils pourraient attendre aussi longtemps que cela serait nécessaire que l'Hexagone les ait retrouvés, un jour il rentreraient dans leur pays…
-En route, inutile de s'attarder, s'écria-t-il. Rejoignons la fusée, les autres patrouilles doivent déjà être rentrées.
Ils prirent le chemin du retour.
L'obscurité glauque commençait à tomber quand ils arrivèrent à portée de voix de la fusée. L'appareil semblait désert et silencieux. Ils appelèrent. Personne ne se montra. Inquiets, ils se mirent à courir. La fusée était déserte. Rien apparemment n'avait été touché. Mais les hommes de garde avaient disparu. Nulle trace de pas n'indiquaient dans quelles directions ils s'étaient éloignés, ou si on les avait attaqués. Le sol spongieux ne se laissait pas déchiffrer.
Le colonel et les quatre soldats qui l'accompagnaient s'entre-regardèrent, les mots étaient inutiles. Clarkbook donna l'ordre de verrouiller soigneusement la porte et de monter la garde de façon à ouvrir à la première patrouille qui rentrerait.
La nuit passa, puis une journée, puis une autre nuit. La pluie tombait toujours. Le lieutenant Bland et les autres avaient définitivement disparu.
Le troisième jour, tandis que leurs camarades reposaient, deux des soldats s'enfuirent. Ils étaient décidés à tenter leur chance. Ils ne savaient pas laquelle. Ils étaient devenus fous. Le cinquième jour les deux autres hommes de Clarkbook disparurent à leur tour. Malgré les ordres, puis les supplications du colonel, ils n'avaient pu résister à la tentation d'aller voir dans les environs s'ils ne retrouvaient pas quelques-uns de leurs camarades. Le colonel resta seul. Il fit l'inventaire des vivres qui lui restaient. Le ravitaillement prévu pour cinquante hommes pendant un mois pouvait lui permettre de tenir seul pendant quatre ans. Quatre ans de vie, à condition qu' « ils » le laissent en paix. Mais, déjà, « ils » rodaient, dès que la vague clarté qui éclairait le désert liquide et gris s'estompait, tout autour de la fusée. Il « les » entendaient frôler la longue carcasse d'aluminium et gratter le métal avec ce qui devait leur servir de mains. Il s'installa près d'un hublot et scruta la pénombre dans l'espoir insensé de « les » voir enfin. A ce moment, une larme coula sur son visage rude. Il venait de comprendre que le sursit de quatre ans qu'il s'accordait était illusoire. Il ne pourrait pas attendre. Un jour, peut-être demain, il quitterait son abri, comme les autres. Alors, il s'en irait en s'enfonçant dans le sol spongieux vers « eux » qui, tapis dans le brouillard, l'attendaient.
Presque sans combat la planète de la pluie avait vaincu la fusée des hommes les mieux préparés à la guerre. Clarkbook avouait l'amère défaite. Inutile d'attendre plus longtemps… A son tour il s'avança dans la grisaille. C'était fini.
Mais tandis qu'il marchait lentement d'étranges idées se mirent à tourner dans sa tête. D'où venait-elles ces idées bizarres ? Il ne les reconnaissait pas. Jamais sur la Terre, elles ne l'avaient effleuré. Même sur cette planète inquiétante il avait pensé avant tout à son but : exécuter quand même les ordres, installer sur Mars une base militaire, réduire par la force toute chose ou tout être se trouvant sur sa route.
Mais maintenant, dépouillé de toute puissance, marchant dans la nuit grise, il écoutait en lui cette voix nouvelle.
Il pensait – quelle étrange chose !- à une autre fusée qui viendrait un jour avec d'autres hommes. Des hommes sans mitraillette au poing pour qui l'angoissante planète saurait se faire accueillante. Bernard AMYOT
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Salut,
Vadim Dmitrievitch Okhotnikov (1905-1964). A fait l'école d'ingénieur du cinéma parlant de Leningrad, puis a travaillé comme ingénieur. Totalement oublié de nos jours.
A écrit des petits récits à caractère scientifique de 1946 à sa mort. Bizarrement, ce texte-là est absent des bases que je connais...
Sinon, c'est de la SF à la Nemtsov: "J'ai inventé l'allumette atomique, c'est super, l'humanité en sortira grandie, hourrah!"
A+
Patrice
Pensez bleu, comptez deux.
http://www.lingva.fr
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Bah, Simak avait bien inventé l'ampoule inusable pour faire pousser l'humanité sur d'autres planètes accessibles par toupie
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Salut,
Oui, mais lui n'a pas écrit 36 fois la même histoire.
A+
Patrice
Pensez bleu, comptez deux.
http://www.lingva.fr
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Salut,
Ayé, j'ai récupéré ce fameux numéro 37. Eh bien misère, quelle traduction! Il est bien marqué "adaptation", d'ailleurs et c'est tant mieux. Nous posterons ça un de ces jours sur Russakaya Fantastika.
A+
Patrice
Pensez bleu, comptez deux.
http://www.lingva.fr
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Salut,
Et voilà, la probable date de parution originelle de la nouvelle d'Okhotinkov, et le scan du texte français:
http://russkayafantastika.hautetfort.co … rayee.html
Je précise par ailleurs que cet auteur, bien que russophone, s'il était vivant de nos jours, serait ukrainien.
Merci à tous!
A+
Patrice
Pensez bleu, comptez deux.
http://www.lingva.fr
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grâce au forum PIMPF :
caméra 34 : http://www.forumpimpf.net/viewtopic.php?f=105&t=21219
caméra : http://www.forumpimpf.net/viewtopic.php?f=105&t=28108
on peut rajouter
- la couverture pour le n° 48 : 5 avril 1951
- le N° 8 du 05/11/55 avec :
Film raconté : "20 000 lieues sous les mers" sur des photos extraites du film.
Rédactionnel "Pendant l'entracte" (brèves autour du film) par Bob Bergut.
Rédactionnel "Le nautilus de Jules Vernes est encore une anticipation" par Marc Soriano
- recueil no 1 ( et unique ) : invendus des huit premiers numéros (à l'exception du Spécial Tour) , reliure cartonnée présentant une couverture inédite se nommant " Aventures" .La série précédente dont les reliures s'intitulaient" 2000 images" a peut etre aussi des couvertures conjecturales ?
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