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Bonjour! Thyde MONNIER (Mathilde MONNIER) 1887 -1967, auteur, entre autre, de la saga en 7 volumes: "LES DESMICHELS": Grand -Cap, 1937, Le pain des pauvres, 1938, Nans le berger, 1942, La demoiselle, 1944, Travaux, 1945? Le figuier stérile, 1947, et "LES FORCES VIVES", en 1948, dernier volume de la saga et surtout livre de science-fiction.
Edition Originale chez Julliard en 1948 dans la collection "Sequana", sous forme d'un broché in-12° de 316 p. couverture non illustrée
Edition chez Fayard en 1958, dans la collection "Le Livre de Demain", sous forme d'un petit broché in-8° de 288 pages sous jaquette illustrée.
Cette série a du sortir chez "J'ai Lu" en poche et je n'ai pas pu mettre la main sur ce volume alors que les six autres sont partout. En poche le livre se trouve chez Presse Pocket et même France-Loisirs a réédité ce livre en cartonnage in-8° sous une jaquette plutôt laide.
Ajout CJ
Julliard Sequana, 1948 [D.L. 9598] 316 pages
Fayard Le Livre de demain. 84-85, 1958 [D.L. 69-59] 287 pages
Presses pocket n° 1437, 1977 - ISBN 2-266-00292-9 281 pages
France loisirs, Bibliothèque des succès 1982 vol.7 - ISBN 2-7242-1380-7
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"LES FORCES VIVES", ceci est l'histoire d'une famille: Les Desmichels. Depuis plusieurs siècles ils se marient entre eux et quand une jeune fille change de nom par son mariage sa elle épouse un cousin et redevient une Desmichels.
Fleurie pense à tous ses cousins et parents car elle a entrepris de faire l'arbre généalogique de la totalité de la famille. Aimée, la femme de son frère Sylve arrive du ciel en ailette. L'ailette est un engin qui s'accroche comme un sac à dos, il contient des fragments de Rollite, sorte de radium découvert par l'anglais Rolle, qui permettent de maintenir le corps dans les airs et de l'y diriger à son gré, bref l'ailette fonctionne grâce à l'anti-gravité.
Aimée a obtenu une licence de biologie végétale et a découvert qu'avec des pétales de lys on peut faire de la toile très résistante. Il suffit de les réduire en pâte compacte que l'on passe dans un alambic puis on verse la substance obtenue dans des moules à la taille des vêtements désirés. Avec cette méthode on obtient des habits doux et soyeux. Quand ils sont sales on les repassent à l'alambic et on peut ainsi leur donner la forme que l'on veut. Cela évite la lessive et les énormes trousseaux d'avant-guerre. Aimée à aussi inventé un bracelet irradiant qui réchauffe tout le corps et remplace avantageusement un châle.
Arnaud, l'autre frère de Fleurie arrive à son tour en ailette, il vient chercher sa soeur pour s'occuper de sa femme, Geneviève, qui est gravement malade. Il doit partir pour New-York et Calcutta en ailette pour aller rencontrer de grands médecins pour la guérir.
Fleurie et Aimée vont soigner la malade qui est dans le coma. Elles l'installent sur un lit de sangles au-dessus de la baignoire et font bouillir des fleurs et des feuilles dont elles enduisent entièrement la malade de cette purée chaude. Aimée prend sa température en plaçant une fleur mauve à cinq branches contre ses lèvres. Elle a plus de 41°. Aimée obligée d'assister à un congrès agricole à Oslo part en ailette et recommande à Fleurie de renouveler le cataplasme de la malade avant qu'il ne sèche ou refroidisse. Fleurie repense à la découverte d'Alda Graziani, au bord du lac Majeur, de l'anémone sauvage à cinq branches qui remplace maintenant le thermomètre: quand tous les pétales sont crispés c'est une température de plus de 41°, 4 indiquent 39°, 3, 38° et 2, 37°. Quand la fleur reste intacte la températures est de moins de 37°.
Malgré tous les soins l'état de la malade ne s'améliore pas et Fleurie lui appuie sa main sur le plexus solaire pour lui insuffler sa force. Au matin Geneviève est guérie mais Fleurie est à bout de force. Heureusement Aimée revient avec Alda Graziani qui, en lui imposant les mains, la remet d'aplomb. Pour la remercier Aimée lui fait gouter sa confiture d'étamines de Cattleya dont les pouvoirs nutritifs sont dix fois supérieurs aux préparations les plus concentrées.
C'est le printemps Arnaux et son oncle Florentin contemplent les cerisiers. Quand ils seront murs les fruits seront ramassés à la cueilleuses électrique. Aussitôt détachés ils seront rangés automatiquement dans des caisses préparées à l'arrière de la machine. Ces caisses frigorifiées partiront immédiatement par ailettes dirigés par radar dans les pays nordiques où elles arriveront aussi fraîches que si elles venaient d'être cueillies.
Fleurie compare les temps d'aujourd'hui à ceux d'autrefois, les ouvriers agricoles étaient si fatigués qu'ils se jetaient sur leur lit sans prendre la peine de ses décrasser. Maintenant il y a la douche continue sous l'auvent, le séchoir, la frictionneuse et la masseuse électrique et tout le monde va se coucher propre et en forme, et puis grâce au Russe Pitoff, l'eau renforcée de Pittofirine, repose le corps de sa pureté.
Quelques années après la guerre, alors que le monde recommençait de s'agiter, le bonheur est venu grâce à la "Voix". Une voix anonyme qui ordonnait sur toutes les chaînes de radio de détruire toutes les armes et toutes les usines d'armement. Ceux qui n'obtempérèrent pas voyaient un mystérieux rayon violet, le rayon "Pax", qui anéantissait tout.
Les ouvriers au chômage pillèrent les campagnes, mais au bout de deux ans le calme revint et les ouvriers cultivèrent la terre. Les savants et ingénieurs inventèrent les moyens pour accélérer les récoltes et le blé donna " récoltes par ans. L'oranger poussa dans les Ardennes. Avec le progrès une maison est bâtie en 5 jours, séchée le sixième et habitée le septième.
Aimée réussit à éliminer les doryphores et à supprimer les pépins des groseilles, des fraises et des framboises, qui ainsi peuvent être consommés même par des personnes ayant des problèmes rénaux. Fleurie qui ait l'historique de sa famille s'étonne de voir comme les femmes étaient dépendantes des hommes, maintenant elles sont libres, mais n'ont le droit de procréer que si leur partenaire offre toutes les garanties sanitaires. A sa naissance l'enfant est noté après examen complet. S'il a 10 sur 10 on le conserve sans autre contrôle. A 8 ou 9 il est mis sous surveillance périodique. Jusqu'à 3 on met tout en oeuvre pour l'améliorer. En-dessous on l'élimine impitoyablement.
Faustin, un cousin de la mère de Fleurie revient après une très longue disparition, trouvant que le progrès n'a pas que du bon et a peur que l'homme ne finisse par être détruit par ses propres découvertes. Fleurie qui a 20 ans tombe amoureuse de lui qui en a une cinquantaine.
Geneviève accouche d'un petit garçon. L'accouchement se déroule parfaitement et sans douleurs grâce aux radiations 'Mater Indolorosa", sorte de péridurale avant l'heure. Fleurie pour ses 20 ans organise un grand repas familial et traditionnel. Un grand repas à l'ancienne, préparé uniquement avec des produits de la propriété. Ceci amusant Aimée, pensant que les pilules "Nutria" auraient parfaitement ait l'affaire et surtout auraient demandé moins de travail.
Faustin doit partir. Fleurie essaie de le retenir et il lui avoue qu'il est la "Voix". Il doit retourner dans son laboratoire creusé sous l'océan Pacifique, car des savants étrangers ont trouvé le moyen de neutraliser les radiations Pax. Il doit donc trouver autre chose sinon les usines pourront refabriquer des armes et les guerres recommenceront.
Thyde MONNIER a d'autres texte conjecturaux à son actif, nous allons en reparler. Isma
Dernière modification par Ismaël II (06-10-2010 10:33:53)
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Incroyable!!!
Je n'aurais jamais pensé à ouvrir un Thyde Monnier...
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Une petite nouvelle: "LE MONSTRE BLEU", éditée dans "Les Oeuvres Libres" en 1945, nouvelle série n° 6 (n° 232 en réalité) est à rajouter à l'actif conjectural de Thyde MONNIER:
Sur fond policier le texte nous raconte comment un médecin félon détourne un héritage à son profit. Cet héritage consiste en un traitement secret mais miraculeux de rhumatisme infectieux qui sans le traitement entraînent à plus ou moins long terme une paralysie suivie de mort irrémédiable.
Ce sérum miracle créé réellement par le père de l'héroïne, héroïne qui est maintenant l'assistante de son remplaçant, remplaçant qui a découvert le sérum et l'exploite pour son propre compte sans dire à son assistante que c'est elle qui devrait pécuniairement en profiter (Est-ce clair?). Mais par déduction et perspicacité la jeune fille va tout découvrir et fera profiter l'humanité souffrante du sérum qui ne sera plus réservé à quelques riches privilégiés.
En fait de produit ou remède miracle, le traitement s'avère des plus simple: faire piquer le patient atteint, par une araignée énorme et bleue, n'existant que dans certains coins du désert Australien. "Dès qu'elle se croit menacée, elle se jette sur l'ennemi et croche sur lui une patte-mâchoire pleine de venin, elle égale le serpent-minute dans sa rapidité à donner la mort". Mais voila, un malade mordu par cette araignée, non seulement ne meurt pas mais retrouve une pêche d'enfer en quelques semaines. Inutile de préciser que cette araignée n'existe que dans cette nouvelle. et à première vue pas dans la réalité.
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Le recueil: "IL N'Y A PLUS D'HARMONICAS", aux éditions des 4 Vents en 1946, contient une nouvelle fantastique: "L'HOMME QUI A CHANGE D'ÂME":
Ce texte nous raconte comment un esprit décédé dans des circonstances dramatiques il y a plus de deux siècles se réincarne dans un humain fraichement et véritablement mort. Et ce qui s'en suit.
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Et pour finir (pour le moment) avec Thyde MONNIER un petit roman fantastique écrit en 1947 aux éditions des Deux-Rives: "KI KI T'SAN FETICHE", volume broché in-12° de 220 pages:
Dans un restaurant ou il prend ses repas, le narrateur assiste à une curieuse scène: le serveur chinois, que tout le monde appelle Chinese, se traîne aux genoux d'une jeune femme en la suppliant de lui donner un baiser en l'appelant "Ma Petite Elle". Le compagnon de la jeune femme, exaspéré par son insistance attrape Chinese et le propulse au travers de la porte de la cuisine. Avant que personne n'ai compris il se produit une explosion et une torche vivante traverse la salle. Le narrateur a le réflexe d'enrouler le brûlé dans un rideau. Avant que l'ambulance ne l'emmène Chinese demande au narrateur de prendre et lire un cahier qui se trouve dans la poche de sa veste. En voici le récit:
Je suis le fils du Dieu Pang-Phon et j'en suis à ma troisième vie.
Mon père désirai un fils mais ne pouvais en avoir d'une déesse, celles-ci devant rester vierges. Il fit un enfant à une jeune fille pendant son sommeil, puis il remonta au ciel. Lasse d'attendre le père, ma mère se noya avec moi quand j'étais tout bébé. Quand je me présentai devant Pang-Phon, il refusa de me garder car je n'avais pas accompli un cycle humain complet et il me renvoya sur Terre.
La seconde fois je naquis chez un couple de nobles. A 20 ans je quittai ma famille pour me réfugier au temple du "bienfait affectueux" dont les règles sont très dures afin de devenir un homme parfait pour rejoindre mon père. Le jardinier du couvent avait une très jolie femme et une nuit ou son mari était absent j'ai essayer de la violer, mais elle se transforma en singe. La déesse Si Wang Mou qui a une queue de panthère et des dents de tigre passa visiter le couvent. Elle était très belle et arriva escortée par des génies montés sur des dragons, des tigres, des licornes et des grues blanches. Elle descendis d'un char et je sentis que je l'aimais et que je ne pourrais plus la quitter.
Lors de son départ je m'accrochais à la queue d'un tigre et après un long voyage mouvementé j'atterris sur la montagne de jade. Mais dans son temple Si Wang Mou, à mon grand désespoir, repris son immobilité de statue sur son piédestal. Une nuit, je l'ai descendue de son socle et j'ai voulu m'enfuir avec elle et les bonzes accoururent et se lancèrent à ma poursuite, je trébuchai et la déesse de pierre me tombant sur le dos, m'écrasa.
Je me retrouvai devant mon père qui pour me punir du sacrilège me condamna à recommencer. Pour ma troisième vie, je tombai dans une famille pauvre. Las de travailler dur, je m'enfuis avec la fille d'un riche marchand, que son père voulait marier de force. Comme nous n'avions pas d'argent ma compagne A Mao entra comme courtisane dans une maison de plaisirs, et moi, passant passant pour son frère, je fut embauché comme cuisinier. Au début je supportais bien les amants de ma compagne, mais un vieux prince se mit en tête de l'épouser. La jalousie entra dans mon coeur et j'occis A Mao et son prince. Arrêté et décapité je remontai aux pieds de Pang-Phon. Celui-ci, déçu de mes différentes conduites décida de me renvoyer sur Terre en me privant du goût, du toucher et du mouvement. Il ne me restait que la vue et l'odorat. -"Tu retrouveras ton intégrité quand une femme de la Terre t'aimera assez pour te souhaiter vivant, mais tu vivras éternellement dans ta défroque humaine jusqu'à ce que cette même femme te donne un baiser pour te permettre de me rejoindre au Nirvana".
Là-dessus, Pang-Phon me précipita vers la terre avec un magistral coup de pied au cul. Sous forme de bulle j'atterris en Helvétie chez un sculpteur sur bois. Je rentrais dans un bloc de chêne. Un jour, las de sculpter des vierges et des ours, il décida de faire un Chinois du bloc dans lequel j'étais. N'ayant jamais vu de Chinois il me fit un peu informe et me trouvant laid il me jeta dans un panier avec d'autres objets de rebut. Combien de temps y-suis-je resté? je l'ignore. Un jour un descendant du vieux sculpteur décida d'aller au marché de Zurich vendre les statuettes du panier.
Je fus acheté par une grosse fille qui m'habilla d'un kimono jaune et violet, m'enferma dans une boîte et m'emmena à Paris. Une fois déballé elle me mit en vitrine avec l'étiquette de "Porte-bonheur". Puis les jours passèrent à nouveau et enfin vint "Petite Elle", qui me trouva drôle et m'acheta comme fétiche. Elle me baptisa Ki Ki T'san. Elle vivait avec son amant le "Grand Lui". Ils étaient heureux et aimaient s'amuser avec moi. Puis il l'a trahit et l'abandonna. Elle reporta son affection sur moi et un jour elle me dit: -"J'aimerais que tu soit vivant".
Je ne sait pas ce qui se passa, mais je me retrouvait grelotant assis sur un trottoir, il neigeait et j'étais redevenu un homme. Je fini par retrouver une place d'homme à tout faire dans ce restaurant. Puis un jour elle est rentrée dans le restaurant.....
Le narrateur termine l'histoire. Il amène "Petite Elle" à l'hôpital et là, émue par la ressemblance de cet homme avec son ancien fétiche elle l'embrasse et KI Ki T'san meurt enfin heureux car il va rejoindre son père.
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A signaler pour les amateurs de polars "LA VEUVE AUX YEUX VERTS", aux édition Gutemberg. Isma
Dernière modification par Ismaël II (19-10-2010 15:43:14)
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[...] et "LES FORCES VIVES", en 1948, dernier volume de la saga et surtout livre de science-fiction.
Cette série a du sortir chez "J'ai Lu" en poche et je n'ai pas pu mettre la main sur ce volume alors que les six autres sont partout.
Et pour une bonne raison, je suis sûre à 99,9999999 % que cette édition J'ai Lu n'existe pas! M'est avis que c'était trop pour le sélectionneur de cette partie des éditions J'ai Lu
(Déjà, dans l'édition Pocket* de 1977, les signes distinctifs de SF sont discrets sur la couverture (une petite fusée en arrière-plan et des lunettes de vol qui n'ont rien de bien futuriste. Quant à l'introduction, elle parle de récit d'anticipation et d'utopie, mais certainement pas de science-fiction.)
* C'est assez surprenant, mais cela fait plusieurs fois que tu cites un titre et que dans les quinze jours on le trouve. Je vais finir par croire à la providence ou aux lourdes destinées
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Hello! Pas très surprenant, si tu passe devant un titre et que tu ne sait pas que c'est de la S. F. tu ne vas pas y faire attention et quand tu vas savoir ce que le livre cache, surtout si ce n'est pas un livre rare, tu vas le voir partout. Aurais-tu l'idée de ramasser le livre de Victor MARGUERITTE: "LE COUPLE", et bien ramasse-le et tu auras entre les main un véritable ouvrage de science-fiction qui n'est pas rare du tout. Même Henri LAVEDAN à écrit de la S. F., je passe sur Simone de Beauvoir et Elsa Triolet et toute une tripotée d'autres auteurs "conformistes" qui ont écrit de la S. F. de Guy des Cars à Ménie Grégoire. Isma
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C'est vrai pour le Thyde Monnier* mais pour le Jolinon, j'ai anticipé l'acquisition puisque j'ai ramassé ce titre curieux le 5 septembre sans savoir de quoi il s'agissait et tu en parles le 7! http://forums.bdfi.net/viewtopic.php?pid=34146#p34146
C'est tout comme un Dazergues rigolo dont tu parlais et que simultanément je cherchais à acquérir sur un site de ventes aux enchères (et que j'ai obtenu le surlendemain )
Amusant toujours, mes soupirs d'envie devant les Groc et non seulement en six semaines j'ai quadruplé mes pauvres possessions mais en plus j'ai trois versions de La Cité des Ténèbres, en préo au Petit Inventeur, en Tallandier bleu et en Grandes aventures saucissonnées.
La Baccarat! ou l'imposition du clavier? ... pour Ménie Grégoire, je demande à voir
* qui était une sacrée drôle de bonne femme bizarre n'empêche.
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Ménie GREGOIRE: "TOURNELUNE", édition Flammarion, 1983, pour la première édition et J'ai Lu, 1984 pour l'édition poche, réédition J'ai lu en 1999.
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Ce roman nous conte comment dans un château d'Auvergne des savants ayant découverts le secret de la vie, font revivre une femme qui s'était noyée cent ans auparavant. Il n'y aura pas que la ressuscitée qui ira de surprises en surprises. Il se greffe sur cette histoire une petite romance qui n'est pas malvenue. Les thèses scientifiques de la résurrection sont très crédibles (du moins dans ce roman) et pour un non-spécialiste des choses biologiques. Isma
Dernière modification par Ismaël II (20-10-2010 11:08:40)
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