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Les éditions de l´oeil du Sphinx ont le plaisir de vous annoncer la sortie de :
Echos de Cimmérie
Un recueil dirigé par Fabrice Tortey
Un gros ouvrage d´hommage à Robert Erwin Howard (1906-1936), le père de Conan le Barbare, Solomon Kanne, Krull, Bran Mak Morn.. De nombreuses études, des textes inédits en français et une bibliographie exhaustive. Le tout illustré par Franck Frazetta, Philippe Druillet, Jean-Michel Nicollet et Christian Broutin.
Un livre de 318 pages au format « Gazette ».
(35 EUR + 3, 92 EUR de frais de port)
ISBN : 2-914405-51-0
On le commande à l´oeil du Sphinx
36.42 rue de la Villette
75019 Paris
Ou, à partir de la semaine prochaine à
PhM
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si qq'un l'a , quid de la comparaison avec ce qui est sorti chez moutons electriques ? si achat a faire entre les 2 ...
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On dit du bien du précédent dans la section "Moutons électriques"... quoique certains soient impliqués. )
sur le site de l'ami Ferocias, on en a parlé aussi. Attendons la lecture de ce nouveau livre pour avoir une opinion...
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A mon avis, quelqu'un d'assez haut placé sur ce forum (et de pas impliqué du tout) aura bientôt un avis...
Oncle Joe
Dernière modification par Nick Talopp (01-07-2009 16:58:27)
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A mon avis, quelqu'un d'assez haut placé sur ce forum (et de pas impliqué du tout) aura bientôt un avis...
Oncle Joe
Oh,oh
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C'est moi qui suis sur l'escabeau-Ho-haut!
Ne comptez pas sur moi pour une critique exhaustive d'abord parce que je n'aime pas les critiques au point par point et parce que je l'ai reçu ce midi. Juste une mise en bouche, enthousiaste, vous êtes prévenus...
C'est un très beau livre dès l'abord avec une superbe couverture de Frazetta, papier blanc et cahier central de reproductions en couleurs des illustrations françaises en pleine page. La mise en page est sobre et aérée, en deux colonnes avec une police de caractères nette. De nombreuses reproductions photographiques d'époque (en noir et blanc...) illustrent avec émotion la biographie de Robert "Bob" Howard.
J'avais d'abord l'intention de parcourir l'ouvrage, sautant d'un article à l'autre, découvrant des extraits pour y revenir plus tard mais, on n'est pas toujours maître de sa lecture. La responsable de cet égarement est la biographie réalisée par Fabrice Tortey, tout simplement attachante.
C'est avec une complicité très pudique, sans grands effets, parfois au jour le jour, parfois de semaine en semaine que toute la vie de Howard se découvre depuis bien avant sa naissance jusqu'à peu après sa mort. Une affirmation qui vous surprend mais caractérise pourtant la démarche de Fabrice Tortey. Notre biographe cerne d'abord les origines familiales, économiques et sociales, pour mieux situer ce fils unique né au début du XXe siècle dans un état plutôt réputé pour sa rudesse frustre, tout juste sorti des désordres de la guerre de Sécession et des violences du Wild wild west. Il le suit au travers des photos d'époques vivantes encore sur le papier (si-si, et je ne dirai rien de plus!), des témoignages directs, des fréquentations scolaires, des déménagements fréquents jusqu'à Cross Plains où son père médecin finit par s'installer et bien sûr de sa mère trop aimée, des amitiés adolescentes, des premiers écrits, des passions sportives, des premiers fanzines, des publications enfin et du courrier retrouvé. Et lorsque 30 ans plus tard, Howard se suicide, c'est un écrivain et un homme qui meurt.
Je n'ai pas encore eu le temps de vraiment lire les autres articles mais déjà, ce tiers du volume est indispensable pour l'amateur qui n'avait qu'une idée partielle de l'écrivain, image superficielle véhiculée par la biographie des De Camp. De toute façon, rien n'existait encore en français et il me semble bien, que pour avoir attendu, le fan devrait être comblé par cette somme de documents si bien exposée, qui tente de reconstruire avec succès plus qu'un cheminement mais tout le milieu qui a donné naissance à un auteur capable d'écrire des aventures brutales et pourtant évocatrices de sentiments hautement civilisés et de beauté.
Et ne doutez pas des deux autres tiers dont les quelques inédits traduits pour l'occasion. J'ai déjà noté des incursions passionnantes sur Howard et la boxe, le recentrage justement vu sur la crise de 29, et bien sûr des analyses de ses héros Solomon Kane, Kull, de ses récits fantastiques, de la connivence épistolaire avec Lovecraft, etc. y compris un petit historique de sa découverte française par un certain Bergier
J'y reviendrez lorsque j'aurai lu pour de vrai!
Pour répondre rapidement à ceux qui se posaient la question bien inutilement, ce serait ridicule de comparer pour choisir LE meilleur titre entre Echos de Cimmérie et Les Nombreuses vies de Conan des Moutons Electriques pour la bonne raison qu'ils n'ont rien de commun mis à part l'écrivain et l'un de ses héros. Je rappelle que le volume de la Bibliothèque Rouge propose une vision détaillée du héros Conan depuis sa création par Robert Howard en passant par tous ceux qui se le sont appropriés dans les romans, les BDs, les films, les jeux, etc. jusqu'à nos jours. Simon Sanahujas, l'auteur, responsable d'ailleurs d'une biographie circonstanciée du Barbare aux Moutons remontant à bien avant la naissance de Bob Howard, signe un article de fond et une bibliographie très précise de toutes les oeuvres de Robert Howard parues en France pour Echos de Cimmérie.
Tant pis pour vous, je ne vous offre que le choix de Salomon, j'espère que vos finances vous permettront d'y échapper
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De rien, cher Hedrock
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yeap!
thanks pour ces interessantes precisions .
je ne suis fan ni de H ni de C mais par curiosité litteraturohistorique , je me taperais les 2 des que je tombe dessus pas trop cher
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Après le superbe n°10 de la Bibliothèque d'Abdul Alhazred, Échos de Cimmérie, un hommage à Robert Howard dirigé par Fabrice Tortey, la collection présente un onzième volume dirigé par Joseph Altairac et consacré à... A. E. van Vogt, bien sûr!
A. E. van Vogt, passeur cosmique sous la direction de Joseph Altairac
Collection Adbul Alhazred n° 11, Éditions de l'Œil du Sphinx, mars 2010
ISBN 2-914405-62-6 - Prix 35,00 euros
Ce titre est tout aussi attractif que le précédent : belle couverture, papier agréable et cahier central d'illustrations en couleurs, le livre est fort est de 329 pages, sans compter les pages du programme de publication des éditions, et de nombreuses reproductions de documents, photos et couvertures.
Une trentaine d'essais écrits depuis 1942 à 2009 ont été réunis ici dont sept inédits ou publiés pour la première fois en français et pour la plupart, difficilement accessibles à l'amateur d'aujourd'hui. Joseph Altairac, en bon compositeur, nous fait la joie de produire les arrangements facétieux mais toujours rigoureux dont il a le secret, probablement avec l'aide du traducteur qui l'assiste, Tassilo von Tôpliz.
Au sommaire de cette anthologie critique, on pourra lire les signatures de Robert Silverberg, Arthur J. Cox, Gérard Klein, Jacques Goimard, les Panshin, Pierre Giuliani, George W. Barlow, etc. (Joseph Altairac aussi). Et de Leslie A. Croutch, un canadien, que je viens de découvrir et qui, modestement, fut le premier rédacteur d'un article consacré à van Vogt, dans son fanzine "Light" en 1942. Cet article mérite amplement sa présence en première place car c'est ici que commence la saga van Vogtienne.
Bientôt disponible en commande ici : http://www.oeildusphinx.com/accueil.htm
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critiqué ici http://ghor.hautetfort.com/index-1.html
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critiqué ici http://ghor.hautetfort.com/index-1.html
Toi tu veux gacher le retour de vacances de Cirroco...
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jeandive a écrit :critiqué ici http://ghor.hautetfort.com/index-1.html
Toi tu veux gacher le retour de vacances de Cirroco...
En tout les cas tout le monde en prend pour son grade, Versins et Van Herp bille en tête......J'aime bien le terme "Eurocentrisme" et c'est curieux de voir ce manque d'objectivé évidente à l'égard de cette "proto sf", car je ne pense pas que l'intention de Van Herp était d'affirmer que le genre était certifié d'origine Française, mais qu'il existait en France des précurseurs qui contribuèrent à son édification et qu'il était temps de remettre les choses à leur juste place. Même après 40 ans ces ouvrages ont toujours autant de valeurs, ne serait-ce que pour l'amateur débutant qui voudrait explorer tout une zone de notre littérature dont il reste encore beaucoup à découvrir.Mais cela doit être lié à mon coté très vieux jeu !
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j'esperes que la sorciere passe de bonnes vacances
bah , un coup de balai en arrivant et ça passera
perso , meme s'il est parfois parti pris, j'aime assez les critiques de gohr , elles sont plutot ettayées
excessives pour l'ouvrage de van herp , cela etant il a raison : son ouvrage censé parler de la sf ( en général) parle plus de la proto et du début de la sf ( et il est excellent sur ces points là ) , ne parle quasi pas de la sf de son époque et de l'anglo-saxonne , et il a beaucoup vieilli dans l'ensemble ( ne parlons pas de la réedition lefranc , interessante surtout pour l'index , qui faisait default precedement : il n'a pas jugé necessaire d'actualiser l'ouvrage , car ( je schématise sa preface ) rien n'ayant changé en SF ...depuis 75 ....hum hum ....)
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En lisant les deux précédents messages,
ceux de teddy verano et jeandive,
j'ai eu l'impression qu'ils n'avaient pas lu la chronique de GHOR concernant le livre
"A. E. van Vogt, passeur cosmique sous la direction de Joseph Altairac",
celle-ci est en effet située tout en bas de la page (électronique) du blog de Ghor,
elle ne parle absolument pas de Versins ni de proto-SF.
En effet, la dite page électronique comprend,
la chronique de "_The pattern of expectation 1644-2001_",
"Passeport pour les étoiles : Guide de lecture : Francis VALERY"
"Parietal games : Critical writings by and on M. John Harrison : Mark BOULD & Michelle REID",
"Panorama de la science-fiction : Les thèmes, les genres, les écoles, les problèmes : Jacques VAN HERP "
et enfin,
"A. E. Van Vogt : Passeur cosmique : Joseph ALTAIRAC".
Ceci juste pour causer, le but d'un forum bien compris.
J'ai donc ajouté l'ouvrage dirigé par l'Oncle,
dans le Wiki .
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ben c'etait pourtant simple moi j'ai mis le lien pour la critique concernant bien sur l'ouvrage de l'oncle joe , et teddy l'ayant lu a continué la page ( j'espere bien qu'un bdfiién qui tombe sur la dite page ne va pas se contenter de n'en lire qu'une partie....) , et parle donc du contenu de celle-ci en général , de ce qui le touche en particulier a savoir la proto et les debut de la sf
" tout le monde en prend pour son grade " = altairac et les autres versins and co
y faut tout leur dire
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Je n'ai pas de problèmes de vision, j'ai bien lu l'article concernant l'ouvrage d'oncle joe, mais comme (honte à moi) je ne l'ai pas encore consulté, il m'était assez difficile d"émettre un avis, bien que j'ai une entièrement confiance sur la qualité de l'ouvrage proposé.
Pour en revenir à l'ouvrage de Van herp...encore une fois et c'est la dernière, il est évident qu'il souffre de certaines lacunes, mais il reste dans le cadre de la "proto sf" à la Française, un ouvrage de référence. Certes très général, mais c'est là tout le problème du travail des pionniers en la matière: la voie est ouverte, ne reste plus qu'à poursuivre l'ascension!
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Hello!
Je crois que Ghor n'aime pas la vieille SF (qu'il ne considère pas comme de la vraie SF) et qu'il n'a pas grand chose à apprendre sur van Vogt, vu qu'il consulte les sources anglo-saxonnes...
Je confirme que mon ouvrage est très intéressant!
Oncle Joe
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d'ailleurs toi non plus tu ne consideres pas la vieille sf comme de la sf , puisque tu date celle-ci a 1926 -gernsback and co , et que donc ce qui vient avant n'est pas de la sf ...hé hé hé , je taquinne tout ça , ce ne sont que des mots
je crois que gohr nuance un peu plus , non ? ( faudrait que je le relise , et je crois qu'on avait deja abordé le sujet sur bdfi)
perso je fais un distingo ( purement subjectif ) entre proto et vieille sf : mettre cyrano et rosny dans le meme sac , ce n'est pas du tout ma démarche
versins , van herp , altairac : indispensable dans toute biblio de passionné de sf
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d'ailleurs toi non plus tu ne consideres pas la vieille sf comme de la sf , puisque tu date celle-ci a 1926 -gernsback and co , et que donc ce qui vient avant n'est pas de la sf ...hé hé hé , je taquinne tout ça , ce ne sont que des mots
je crois que gohr nuance un peu plus , non ? ( faudrait que je le relise , et je crois qu'on avait deja abordé le sujet sur bdfi)
perso je fais un distingo ( purement subjectif ) entre proto et vieille sf : mettre cyrano et rosny dans le meme sac , ce n'est pas du tout ma démarche
versins , van herp , altairac : indispensable dans toute biblio de passionné de sf
Hé hé! C'est exact, je ne considère pas la proto SF et la vieille SF (on peut tenter le distingo) comme de la vraie SF, celle à "étiquette"... seulement, à l'inverse de notre camarade, j'adore AUSSI la proto SF et la vieille SF!
Oncle Joe
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Toujours l'éternel problème qui à fait quoi, qui était avant, la poule ou l'œuf? C'est de la sf ou pas , mais c'est quoi le sf au juste, elle est Américaine ou Française?
Les spécialistes qui se "penchent" sur le problème ne manquent pas, ce débat me fait penser à celui que l'on peut rencontrer actuellement sur certains sites, à propos du Steampunk. On essaye de définir et de délimiter un genre dont les origines sont un peu floues et si cela se trouve, il existe des textes d'auteurs Péruviens, Javanais ou Vietnamiens que l'on ne connait pas encore.
Mais vouloir ignorer certains textes fondateurs du genre et faire la moue lorsque l'on évoque Versins, Van herp, Bridenne ou...Altairac, je ne comprends pas très bien.
La "vieille sf" aura toujours des détracteurs, on la regarde d'une manière générale d'un sale œil, comme une sorte d'épine dans le pieds dont on ne peut se défaire. A trop vouloir se prendre au sérieux on termine par oublier l'essentiel qu'est censé nous procurer la lecture: Le plaisir!
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La "vieille sf" aura toujours des détracteurs, on la regarde d'une manière générale d'un sale œil, comme une sorte d'épine dans le pieds dont on ne peut se défaire. A trop vouloir se prendre au sérieux on termine par oublier l'essentiel qu'est censé nous procurer la lecture: Le plaisir!
Tu as parfois (beaucoup plus souvent que je ne me l'imaginais, et de la part de gens inattendus) une attitude inverse, que l'on rencontre assez souvent chez certains commentateurs "intellectuels" US (et pas seulement US, lind de là ): la SF "étiquetée" en tant que telle (à partir de Gernsback) est vue comme une sorte d'"infantilisation", d'encouragement à la médiocrité sans qualité littéraire, et a empêché la "vraie" littérature de s'emparer de la SF... L'aspect littérature industrielle de la SF étiquetée est très mal vu chez certains de ceux qui rêvent d'une "reconnaissance" littéraire de la SF...
La période "proto" et "vieille SF" est alors vue comme une sorte d'âge des potentialités littéraires, que l'on regarde avec sympathie, alors que la période "étiquette" aurait empêché ces potentialités d'art véritable de s'épanouir...
Devine ce que j'en pense? C'est facile... Mais je me retrouve parfois en porte-à-faux à cause de cela, obligé d'insister sur le caractère fondamental et unique de la SF américaine à partir de Gernsback, i.e. la SF à étiquette, car je ne supporte pas la tendance "élitiste" anti-étiquette.
Oncle Joe
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Tout le monde sait que la SF est née en Suisse en 1884 avec la parution de la nouvelle L'Autopsie du Docteur Z*** d'Edouard Rod.
D'ailleurs l'étiquette SF vient de là: Suisse Francophone (comme SF).
Ils ont aussi inventé le théâtre les Suisses.
Un Suisse qui parle tout seul c'est un monologue,
Deux Suisses qui parlent ensemble c'est un dialogue,
Trois Suisses qui parlent ensemble c'est un catalogue.
C'était ma contribution du dimanche à l'avancée du débat.
Sinon, mon attachement à la SF ancienne, proto-Sf tout ce que l'on veut vient aussi de mon penchant pour la littérature populaire et de toutes ces collections (Tallandier "Bleus", Collection d'Aventures,...). Gernsback n'y est pour rien.
Site: http://collectiondaventures.monsite.wanadoo.fr
Blog consacré aux fictions mettant en scène des peuples précolombiens: http://lespeuplesdusoleil.hautetfort.com/
Forum: http://litteraturepopulaire.winnerbb.net/portail.htm
Blog sur la SF ancienne: archeosf.blogspot.com
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Sinon, mon attachement à la SF ancienne, proto-Sf tout ce que l'on veut vient aussi de mon penchant pour la littérature populaire et de toutes ces collections (Tallandier "Bleus", Collection d'Aventures,...). Gernsback n'y est pour rien.
C'est aussi ce que j'ai remarqué: il y a les amateurs de SF ancienne qui viennent du populaire et n'éprouvent pas nécessairement de fascination pour la "vraie" SF (américaine et gernsbackienne), qui généralement s'intéressent peu aux développements modernes de la SF, ceux qui ont été traumatisés (au bon sens du terme) par la "vraie" SF (les van Vogt, Asimov et autres chez J'ai Lu) et se sont ENSUITE aperçu avec ravissement de l'existence d'une "vieille SF" française populaire (moi, par exemple).
Et ceux qui se sont aperçu de l'existence de cette vieille SF, mais sans guère de ravissement (Ghor, par exemple).
Cela montre que la jonction entre "vieille SF" et "vraie" SF ou SF moderne avec sont étiquette, qui n'est évidemment pas niable, n'est cependant pas si naturelle et évidente.
Ajoutons à cela ceux qui veulent bien des auteurs vieille SF "littéraires" (qui accepteront Jacques Spitz, par exemple, ou diront qu'Alfred Jarry, est un auteur majeur de SF), seront intarissables sur Dick et Ballard, mais grimaceront sur E.E. "Doc" Smith. Je peux comprendre ce dernier point de vue lorsqu'il est justifié par des considérations de goût, mais pas quand il est soutenu par des considérations liées à une prétendue recherche de "reconnaissance".
Ce n'est pas simple, et derrière les positions des uns et des autres, il y a le fait que proposer une histoire de la SF, c'est adopter une position idéologique (ouvertement ou sans s'en rendre compte, là n'est pas le problème...)
Et idéologie, ce n'est pas un gros mot.
Oncle Joe
Dernière modification par Nick Talopp (18-07-2010 10:57:31)
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Ma passion pour la sf ancienne n"a jamais été pour ma part dictée par l'influence Américaine, sans vouloir faire preuve de chauvinisme béat, je suis assez admiratif du potentiel de nos anciens auteurs et même si je m'intéresse à tous les genres , je reste ouvert à tout ( à tous et à toutes...) ma préférence se port tout naturellement sur la littérature dite "populaire" dans le sens large du terme et ce jusqu'à mon dernier souffle.
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Ma passion pour la sf ancienne n"a jamais été pour ma part dictée par l'influence Américaine, sans vouloir faire preuve de chauvinisme béat, je suis assez admiratif du potentiel de nos anciens auteurs et même si je m'intéresse à tous les genres , je reste ouvert à tout ( à tous et à toutes...) ma préférence se port tout naturellement sur la littérature dite "populaire" dans le sens large du terme et ce jusqu'à mon dernier souffle.
Tu es un beau cas d'amateur de populaire... Ne capitule jamais!
Oncle Joe
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tiens oncle joe , connaissais-tu les correspondances de van vogt avec goorden ( et le reste sur la page ) ? http://www.idesetautres.be/?p=ides&mod=downloads&f=cdet
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Je ne connaissais pas la correspondance...
Par contre, je connais le speech à l'eurocon qui m'a toujours étonné, car van Vogt parle à plusieurs reprises d'"expérience scientologique". Or, si van Vogt s'est férocement investi dans la dianétique, il n'a jamais adhéré à la scientologie... il y a là pour moi un petit mystère, et il me semble que "scientologie" devrait être remplacé partout pas "dianétique". Est-ce que van Vogt, dans son discours, parlait de "scientologie"? ça me suprendrait tout de même, il faudrait d'autres témoignages...
Oncle Joe
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Vient de paraître à l'ODS :
Jean-Pierre Laigle .. Planètes pilleuses et autres thématiques de la Science-Fiction
Les Editions de l’Œil du Sphinx ont le plaisir de vous annoncer la sortie de Planètes Pilleuses de Jean-Pierre Laigle.
La littérature de science-fiction est, par essence, la littérature de tous les possibles. Et, depuis plus d’un siècle et demi, les auteurs ne se sont pas privés de donner libre cours à leur imagination, donnant naissance à des romans qui peuvent être regroupés selon leurs thématiques, nous offrant ainsi une vision des différentes manières dont un même sujet peut être traité et, souvent, nous présenter une image de la société qui les lisait.
Les cinq essais présentés dans cet ouvrage abordent des thèmes fort différents les uns des autres mais tous passionnants dans leur originalité. Celui sur « Les planètes pilleuses » concerne ces civilisations extraterrestres qui, sans vergogne, exploitent les ressources naturelles de notre Terre pour régénérer leurs propres planètes. Puis nous partons sur « Les traces du voyageur temporel de H.G. Wells » car celui-ci a connu de nombreux destins suite à son voyage initial immortalisé par le grand auteur anglais. Le futur de notre vieille Europe, une fois notre civilisation actuelle effondrée, a suscité moult inquiétudes, toutes explorées dans « L’Europe sauvage ou les colonies orphelines ». « Les autres lunes de la Terre » nous fait découvrir la variété de nos satellites inconnus. Et, de temps en temps, un accident cosmique survient qui produit « Des enclaves météoriques » au sein de notre planète.
Grâce à une étude détaillée de la littérature mondiale, l’auteur, avec érudition et humour, nous convie à un voyage vertigineux dans les profondeurs de l’imaginaire qui ravira tout autant l’amateur exigeant de science-fiction que le lecteur occasionnel.
Jean-Luc Rivera
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