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Jar City, (Mýrin),film islandais 2008, genre : thriller.
Réalisé par Baltasar Kormakur, avec Ingvar Eggert Sigurðsson, Ágústa Eva Erlendsdóttir, etc ...
Une petite fille de 5 ans meurt à l'hôpital d'une maladie génétique orpheline.
Un marginal est assassiné chez lui, la police recherche les membres du trio auquel il appartenait, il y a 30 ans.
Au mur de la chambre de la victime, la photo de la tombe d'une petite fille morte à l'age de 4 ans.
Mike Resnik, dans une préface à "Sous d'autres soleils", intitulée "Pourquoi l'Afrique ?" explique qu'il est assez aisé de faire de la SF en décrivant des civilisations que nous ne connaissons pas.
Ainsi, il a été séduit par l'Afrique, et a donc basé son œuvre sur ce continent. L'Asie aurait tout aussi bien pu faire l'affaire.
Ceci pour dire que l'Islande, ce petit pays situé près du cercle polaire, dont la température moyenne est 0°C, , offre les mêmes caractéristiques.
Quels sont les hommes qui vivent à Reykjavik, l'inspecteur Erlendur qui mange sa tête de mouton toute grise, Sigurdur Oli qui demande des légumes alors que tout est désertique alentour, Elínborg, le détenu halluciné.
Drôle de pays où, la société "DeCode Genetics" a constitué un fichage génétique et médical de 95% des islandais depuis 1703, ce qui fait en tout 700 000 individus,
où les anomalies sont classées à Jar City, surprenante collection de bocaux renfermant des organes comme la collection d'un savant fou..
Drôle de soleil qui ne donne pas de couleurs aux choses, ni aux paysages, ni aux habitants.
Ceci dit, c'est un thriller, on est intrigué, on a parfois peur, on ne voit rien venir, on découvre tout à la dernière image.
Le film a obtenu la statuette du Meilleur Film.aux Edda Awards
Voir l'Islande sur Wykipédia et allociné, principalement les "critiques spectateurs"
Un remake américain doit être tourné, je crains le pire.
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Course à la mort (Death Race) film américain 2008, genre SF, jeux
de Paul W.S. Anderson, avec Jason Statham, Tyrese Gibson, Joan Allen, Ian McShane, Natalie Martinez, Frederick Koehler, etc ...
2012, Ultimate est une prison de haute sécurité construite en pleine mer et reliée à la terre par un pont de 2 kilomètres.
Hennessey, la directrice a eu l'idée d'organiser des courses de voitures à l'intérieur des murs, les règles sont simples : il n'y a pas de règles.
Les pilotes qui gagnent cinq courses sont libérés. Frankenstein a déja gagné quatre courses, il est le préféré du public, car le jeu est télévisé et est beaucoup plus regardé que toutes les autres courses automobiles.
Mais Frankenstein est mort. Le doigt de Dieu amène en prison Jensen Ames, pilote chevronné mais, accusé du meurtre de sa femme. Hennessey lui propose de remplacer Frankenstein dont le visage était masqué à cause de ses innombrables blessures.
Il accepte et courra donc les trois épreuves qui composent la course.
Dès le générique, nous savons que c'est un remake de "La Course à la mort de l'an 2000" (Death Race 2000) film culte de 1975, produit par Roger Corman, réalisé par Paul Bartel, avec David Carradine, Sylvester Stallone.
Joan Allen en directrice de prison manipulatrice et obsédée par l'audimat est très crédible dans son tailleur strict. Toutes les cascades sont faites "à l'ancienne", il n'y a pas de trucages ou d'effets spéciaux.
Jason Statham et Tyrese Gibson sont réellement au volant de leurs voitures, ce qui a peut-être fait des sueurs froides au réalisateur, mais est un plaisir incomparable pour le spectateur.
L'ambiance est celle de New-York 1997, de Mad Max (réactualisé), la voiture de Jensen Ames est une Ford Mustang 87, customisée certes, mais bien reconnaissable, voilà encore un symbole.
Vous aurez compris le plaisir que j'ai pris à voir ce film en VO évidemment, les bandes-annonces en français sont désastreuses.
Bref, courrez-y.
Voir aussi allocine
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Ca donne envie... mais je n'aurais sûrement pas le temps d'y aller.
C'est le genre de film "bourrin" (employé dans le bon sens du terme, à la Mad Movies) que j'aime bien voir l'été...
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Ta critique est utile, car ayant vu les calamiteuses bandes annonces, j'en avais conclu que c'était une daube immonde, et en plus remake d'un petit film sympa et drôle que j'aime bien (je l'ai vu quand il est sorti à l'époque...).
Donc, pas aussi nul qu'on pourrait le penser...
Oncle Joe
Dernière modification par Nick Talopp (14-10-2008 12:23:45)
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Blindness Film canadien, brésilien, japonais,.2008, genre fantastique.
de Fernando Meirelles, avec Julianne Moore, Mark Ruffalo, Alice Braga, Gael Garcia Bernal, Danny Glover, Yusuke Iseya, Yoshino Kimura, etc ...
scénario de Don McKellar, d'après "L'aveuglement" de José Saramago.
Certains humains sont frappés de cécité, enfin d'une forme particulière puisqu'ils voient "blanc". D'abord, on peut croire que le mal est contagieux puisqu'il frappe ceux qui ont été en contact avec "le premier aveugle", ils sont donc pris en main par l'armée qui les parque dans un ancien sanatorium. Comme tout groupe laissé à l'abandon, les pires instincts de l'homme font rapidement surface et la vie devient vite désespérée. Toutefois "la femme du docteur" a conservé la vue et arrive peu ou prou à guider l'ensemble du groupe.
Hélas, l'ensemble de l'humanité est rapidement frappée par le "mal blanc".
Voilà bien un film basé sur un thème qui appartient au genre.
Cependant, l'histoire ne fait qu'examiner les réactions des différents personnages, jamais nommés, toujours désignés par une de leurs caractéristiques.
Ce qui rend le film un peu archétypal et sans grande surprise.
La caméra sur l'épaule et le petit budget, ce qui n'est d'ailleurs même pas sûr, ne suffit pas pour faire un film culte.
Donc à voir seulement si vous voulez voir tous les films du genre, comme moi, sinon attendez la télé.
Enfin regardez quand même la bande annonce, pour le plaisir, elle donne envie.
José de Sousa Saramago est un écrivain et journaliste portugais lauréat du prix Nobel de littérature en 1988, né le 16 novembre 1922 à Azinhaga (Portugal).
Il a écrit plusieurs romans nous intéressant :
* Le Radeau de pierre, (A jangada de pedra, 1986) trad. par Claude Fages, Le Seuil, Paris, 1990, 312 p. (ISBN 2-02-011541-7)
* L'Aveuglement, (Ensaio sobre a cegueira, 1995) trad. par Geneviève Leibrich, Le Seuil, 1997, 302 p. (ISBN 2-02-028952-0)
Les romans de Saramago présentent souvent des scénarios fantastiques : dans Le Radeau de pierre (A jangada de pedra, 1986), la péninsule ibérique se sépare de l'Europe et dérive sur l'Atlantique
Dernière modification par Dr Mabuse (25-10-2008 23:43:35)
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Hellboy!
I can't smile without you,
I can't sing without you,
lala lala lalala...
Je dirais rien, vous n'avez qu'à aller le voir, I can't smile lalala la...
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Hellboy II les légions d'or maudites, film américain (2008), genre : adaption BD
réalisé par Guillermo Del Toro, avec Ron Perlman, Selma Blai, Doug Jones, Luke Goss, Anna Walton, John Hurt, etc
Dans des temps très anciens, quand les hommes, les bêtes et les créatures fantastiques vivaient tous ensemble sur la Terre, eurent lieu de nombreuses batailles, après avoir perdu une de celles-ci, le roi Balor décida, poussé par son fils, le prince Nuada,de faire construire 70 [70x70]guerriers d'or indestructibles. Frappé par le manque de conscience de cette armée, il décida de les enfermer dans un endroit secret et de partager la couronne qui permettait de les commander en trois morceaux, deux pour les créatures fantastiques et un pour les hommes, ainsi la guerre entre les deux espèces serait évitée. [Fin des cinq très grosses premières minutes du film]
Hélas, aujourd'hui, le prince profite de la résurgence du morceau dévolu aux hommes pour s'en emparer.
Heureusement, le Bureau de Recherche et de Défense Paranormal (B.P.R.D.) veille avec Hellboy, Abe Sapien, Liz Sherman, auxquels est adjoint un allemand Johann Krauss qui doit commander le groupe.
Ils doivent sauver le monde et [SPOIL IN] Abe en profite pour tomber amoureux de la princesse Nuala [SPOIL OUT] qui possède un morceau de la couronne.
Je savais que c'était drôle, mais j'ai eu du mal à rire pendant le premier tiers. L'arrivée et l'apparence de l'allemand est déjà un bon moment, mais le meilleur est [SPOIL IN] la cuite que Hellboy et Abe prennent, pour oublier que les femmes sont quand même une source de problèmes extraordinaires, d'incompréhensions fatales et de joies incompréhensibles. [SPOIL OUT]
Le marché des trolls est évidemment une pâle resucée de la Guerre des Etoiles, mais les bonnes scènes se succèdent ensuite.
Le prince est un méchant plus ou moins convaincant, il a même une notion de l'équilibre du monde intéressante, [SPOIL IN] mais il doit sa méchanceté à ses gênes, il ne peut pas s'en empêcher. [SPOIL OUT]
Quand à l'armée des soixante dix guerriers d'or, ils sont au moins dix mille mais peu importe.
Un grand merci à Cirroco, sans laquelle j'aurais écarté ce film en pensant que c'était de la fantasy, alors que c'était un bon divertissement et
"I can't smile without you".
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Hey, tu spoiles à donf', doc'!
Innocent visiteur, si vous avez lu ci-dessus, et que vous n'avez pas vu le film, vous êtes eu!
Y'a plein d'hommages (ou de resucées, suivant l'état d'âme du critique) dans ce film. Mais servis par une photographie splendide et de très beaux effets spéciaux, avec de la baston percutante où on a envie de faire Crak! Paf! Oumpf! comme dans une bulle.
Il faut ajouter que Hellboy est un comics louvoyant entre les genres SF, fantasy, fantastique, mais résolument humour noir, un peu trash, très dramatique et burlesque.
Pour le marché des trolls, je pense qu'on y retrouve plus Harry pot'pot' façon underground que Star Wars et, loin d'une pâle resucée, c'est une plutôt une perversion rigolarde. Miyasaki, Jackson et Tolkien, ou l'Elric de Moorcock, John Woo (plus dur pour les non-fans) etc. Visiblement, Del Toro les aime tous, et en vrai mexicain nous fait une sauce du tonnerre.
Un très bon film de monstres avec Ron Perlman meilleur que jamais (cet acteur est une légende).
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Je n'avais pas l'impression de spoiler,
je ne fais que raconter l'histoire contée au début ...
soit 5 minutes du film.
Je n'ai pas vu beaucoup d'hommages, ni de clins d'œil, mais j'étais peut-être fatigué.
Maintenant, il est vrai que la chorégraphie des combats peut faire penser à John Woo,
simplement, je ne l'ai pas ressenti sur le moment.
Non, innocent visiteur, tu trouveras le plaisir que tu attends malgré mes opinions partiales
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Je n'avais pas l'impression de spoiler,
je ne fais que raconter l'histoire contée au début ...
soit 5 minutes du film.
5 minutes?!.... mais tu n'as pas vu le temps passer tellement c'était bon
J'ai mis des parenthèses SPOIL et je t'assure que tu avais déjà bien vu 1/3 du de film (sans compter la cuite)!
Ah oui, ce n'est pas 70 guerriers, mais 70 x 70, c'est moins ridicule pour les humains qui se font aplatir comme des crêpes
Je n'ai pas vu beaucoup d'hommages, ni de clins d'œil, mais j'étais peut-être fatigué.
Maintenant, il est vrai que la chorégraphie des combats peut faire penser à John Woo,
simplement, je ne l'ai pas ressenti sur le moment.
Voui, les chorégraphies font penser dans beaucoup de films à celles de John Woo qui les a en bonne partie révélées au monde occidental (pas qui les a inventées) mais je parle d'un hommage très appuyé et particulier à A toute épreuve.
Les (véritables) cinq premières minutes de film sont quasiment un court d'animation très joli et inspiré probablement de Strings (Le Fil de la vie), le film danois.
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J'ai mis des parenthèses SPOIL ...
Tu aurais pu supprimer les passages incriminés sans que cela me gène outre-mesure.
Je suis d'accord avec le fait qu'il faut préserver le plaisir de l'éventuel spectateur. ;D
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La Cité de l'ombre (City of Ember), film anglais, américain (2008), genre : science-fiction
de Gil Kenan, avec Bill Murray, Saoirse Ronan, Harry Treadaway, Tim Robbins, Martin Landau, etc ...
Le dernier jour de la Terre, les batisseurs de la Cité d'Ember, remettent à la Maire de la ville une boite qui doit assurer le compte à rebours et indiquer aux habitants de la vile souterainne le chemin de la sortie, et ceci dans 200 ans.
Hélas, le secret se perd et la boite échoue, ignorée, au fond d'un placard.
La cité continue de tourner, mais de plus en plus mal, les coupures de courant sont de plus en plus fréquentes, et les vivres de plus en plus rares.
Le "jour du choix", le maire fait tirer au sort, par les enfants, devenus adolescents, leur affection future.
Lina doit donc être messagère et Doon sera affecté aux galeries, sous les ordres de Sul.
L'histoire, elle-même est un thème connu, celui du savoir perdu, de la corruption qui maintient le statu quo, des héros qui doivent délivrer le monde.
Elle est ici, abordée sous un angle très symbolique, ciblée exclusivement sur les enfants, d'ailleurs, seule une toute petite salle le diffuse en VO, et encore, aux heures les plus tardives.
Pour cela tout est très caricaturé, les politiques sont des profiteurs, la police est aux ordres de ces prévaricateurs, les travailleurs sont honnêtes et obstinés.
Les enfants sont vraiment les héros, ils oseront faire ce qui a fait rêver leurs parents.
De plus ils sont tellement malins et courageux, que chaque spectateur peut aisément s'identifier à l'un d'eux.
La musique, un peu sirupeuse, est l'élément le plus regrettable de l'ensemble, sinon, les décors sont bien ceux d'une cité perdue, les costumes faits de haillons propres sont bien classiques.
Les adultes, Bill Murray dans le rôle du maire, Tim Robbins, l'inventeur excentrique, père du héros et Martin Landau, le contremaitre des galeries, permettent aux enfants d'exprimer l'enthousiasme et la fougue de leur jeunesse.
Encore une fois, le bon public que je suis, recommande ce film à tous les enfants que nous sommes restés.
voir allocine
Dernière modification par Dr Mabuse (30-12-2008 00:16:36)
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Au moment de rédiger cette fiche, je me suis rendu compte que je n'étais pas capable de raconter l'histoire correctement,
n'ayant pas lu la BD je ne voulais pas trop en dire, or l'histoire du héros n'apparait que progressivement et a l'occasion de nombreux flashbacks,
Alors j'ai décidé d'user de mon forfait pour m'offrir une seconde projection.
Ce fut un plaisir..
The Spirit, film américain (2008), genre : adaption BD
de Frank Miller avec Gabriel Macht, Samuel L. Jackson, Scarlett Johansson, Eva Mendes, Sarah Paulson, Dan Lauria, Jaime King, Paz Vega, etc ...
Le Spirit, est revenu de la Mort, symbolisée par une femme, Lorelei.
De son logement, dans un cimetière, il apprend qu'il va y avoir du grabuge dans les marais.
Il s'y rend donc, non sans sauver en passant une pauvre jeune fille agressée par des voyous dans une rue sombre de Central City.
Dans les marais a lieu la livraison de deux coffres, l'un pour Octopus, savant fou mais dynamique, l'autre pour Sand Saref, magnifique et sensuelle démone.
Octopus profite de sa rencontre avec le Spirit pour se battre avec lui durant toute la nuit, c'est une de ses distractions favorite.
Le héros n'est pas le gentil absolu alors que le méchant est vraiment méchant, ce qui en fait deux personnages très attachants.
L'histoire, en elle-même est assez décousue, toutes ces femmes évoquent des épisodes passés de la vie du Spirit qui parfois ne sont qu'évoqués.
Elles sont toutes remarquables, aussi bien par leur beauté archétypale imaginable seulement dans les BD, que par leur caractères bien trempés.
Tous les poncifs de la série B sont présents, le chapeau qui retombe après le personnage, le duel comme dans les westerns, le coffre qui contient une merveille,
les toits de la ville où se découpe l'ombre du héros, le nazi et le dentiste.
Voir aussi allocine, particulierement les "secrets de tournages",l
et spécialement pour les héroines worstpreviews
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Parfois, les circuits de distributions des films sont impénétrables...
Outlander, par exemple, est sorti directement en DVD alors que... (bon, je dirai rien, mais regardez les programmes et vous verrez une montagne de navets à l'horizon).
Bien sûr, rien de suprêmement original dans ce film de space opera inversé, ou plus spécifiquement au planet opera pour les méticuleux.
Un homme de l'espace, humain, crashe son appareil dans un lac dans le nord de l'Europe au temps des Vikings. Dans ses cales, il a ramené un prédateur extraterrestre qui survit également et s'empresse d'aller décimer un village non loin de là. Chez les vikings déjà en proie à des luttes politiques intestines, c'est une nouvelle catastrophe qui ne va pas arranger les rapports avec cette tribu dont les hommes étaient partis en expédition. Ils tentent de trouver le coupable avant leur retour mais ne capture que notre visiteur spatial qu'ils traitent sans ménagement.
Un peu de Predator et Alien, une grosse pincée du 13e guerrier, et hop, cela aurait effectivement pu faire un big monster à consommer goulument mais... c'est bien mieux que cela!
Un scénario bien écrit, circonstancié : si les cadavres du village décimé ont disparu, c'est qu'il s'agit sûrement de marchands d'esclaves, dit l'un. Trop de sang, répond l'autre. C'est à de petits détails soignés que le film suspend toute incrédulité avec efficacité pour le plus grand plaisir du fan SF qui y découvre également les canons du genre respectés.
On retrouve ces vikings, ces fous d'explorateurs déjà bien aimés par les auteurs de SF, innocents et subtils, brutaux et sentimentaux, loyaux mais soupçonneux qui volent la vedette au héros, plus lisse et civilisé.
Ajouter à cela un casting sympathique, comprenant John Hurt et Ron Perlman, un plaisir, qui joue avec conviction, d'ailleurs, même le doublage est très honorable. Et surtout, une photo très belle (en extérieur comme en intérieur, en nocture comme en plein jour : paysages nordiques ou extraterrestres, salle de banquet, esplanade du village, coins de forêt,etc.), une bestiole superbe, quelques détails trash bienvenus au bon moment, des variantes astucieuses de scénario, ...
... mais pourquoi donc ce n'est pas sorti au ciné?!
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Et les Watchmen ?
Et Prédictions ?
Vous en pensez quoi si vous les avez vus ?
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Et les Watchmen ?
Et Prédictions ?
Vous en pensez quoi si vous les avez vus ?
Watchmen, je l'ai vu et j'ai trouvé bien, je fais une fiche dès que possible.
Prédictions, je le vois demain ou après-demain?
( A Suivre ...)
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Watchmen - j'ai bien aimé - surtout LA FILLE, ça c'est de la super-hérote !!! Presque aussi bien que la Mystique des X-Men.
Prédictions - pas mal. C'est un de mes étudiants - exposé sujet libre - qui m'a convaincu d'aller le voir !
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Les Gardiens (Watchmen), film américain (2009) genre : adaptation de bande dessinée, super-héros.
de Zack Snyder, avec Jackie Earle Haley, Patrick Wilson
Les Watchmen ont été mis en place pour veiller sur la sécurité des Etats-Unis, quand la police, la justice ou l'armée étaient impuissants.
Leur mission est donc de lutter contre les menaces extérieures, les communistes, intérieures, les voyous et les gangs, extraterrestres, les ET et autres monstres.
Hélas leur rôle est devenu moins indispensable, du fait de l'amélioration constante des pouvoirs publics et de la mise en place de la Grande Horloge de l'Apocalypse,
que l'ONU et le Dr Manhantan ont calé sur "moins cinq".
Alors, ils ont mystérieusement disparus, des accidents ou des meurtres, les derniers se sont cachés et vivent anonymement.
"Le Comédien", vient justement d'être assassiné.
Rorschach, lui, sent une menace, peut-être, le Dr Manhantan les as-t-il trahi; il rappelle les derniers survivants pour sauver, une fois de plus, l'Amérique et la Terre.
Le roman graphique dont est tiré le film n'est pas très connu en France, il est difficile d'émettre une opinion sur la qualité de l'adaptation.
Mais cette Amérique alternative, où Nixon entame son troisième mandat ressort bien du monde des super-héros,
le Dr Manhathan, créature reconstituée et maintenue solidaire dans ses éléments par sa connaissance des lois physiques en est l'archétype.
Rorschach, dont l'origine nous est révélée peu à peu est le personnage ambigu qui utilise le Mal pour faire le Bien,
il justifie bien la formule : " Qui doit garder les Gardiens ?" .
Le Hibou et Le Spectre découvriront l'amour, autant pour les jeunes filles entrainées au cinéma par leur mecs.
Tous ont des costumes fabuleux.
De très bonnes images de synthèse, des décors intéressants, aussi bien par leur modernisme comme on l'imaginait en 1985,
que par la misère et la violence des quartiers défavorisés (comme on dit aujourd'hui).
Le parti pris de scènes uniquement urbaines et nocturnes rend une atmosphère désabusée, sans futur.
A voir absolument par tous les amateurs de ce forum, et par tous les autre aussi.
consulter aussi allocine
Dernière modification par Dr Mabuse (19-04-2009 22:41:18)
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Je n'ai pas aimé la fin, énervante mais fidèle à la BD dans le délire neurasthénique. C'est même monté comme les cases originales d'ailleurs.
Ceux qui sont encore fans reconnaitront Xena, toujours aussi sculpturale et impressionnante.
Predictions, pas du tout envie de le voir, je suis pas maso
Par contre, si vous ne savez pas quoi faire ces jours-ci avec vos enfants, faites-vous la toile de Miyasaki, un délice humaniste, comme d'hab' chez le vieux maître.
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Prédictions (Knowing), film américain (2009), genre : science-fiction
de Alex Proyas, avec Nicolas Cage, Rose Byrne, etc ...
1959, Lucinda, une petite fille dans une école américaine, a l'idée de faire parvenir au Futur une capsule temporelle contenant des dessins d'enfants représentants la vision qu'ils ont de l'avenir.
Cette idée est agrée par l'établissement scolaire. Mais au lieu de faire un dessin comme les autres, elle remplit sa page de chiffres.
2009, la capsule est ouverte et chaque enfant rapporte chez lui avec un dessin, Cabel se voit attribuer la feuille de Lucinda..Son père chercheur et enseignant au M.I.T découvre qu'il s'agit d'une liste de catastrophes.
Les trois dernières sont encore à venir ...
C'est une histoire, mais elle pose bien le problème du déterministe.
L'avenir est-il écrit ou est-il composé d'enchainements d'évènements entièrement dus au hasard ?
Combien faut-il de coïncidences pour que l'on cesse de parler de hasard ?
Le hasard est-il ce que l'on ne peut pas encore expliquer ?
Nicolas Cage trouve un rôle difficile dans ce père désespéré, alcoolique mais tellement attaché à son fils.
Rose Byrne n'est pas une inconnue, nous l'avions déjà vue dans "28 semaines après"
Pas de scènes de violences malgré les catastrophes vécues en direct.
Beethoven et sa symphonie N° 7, [celle de Barry Lindon], donne au film un côté carré et un peu rassurant.
C'est, ou plutôt, ce sont de vieux thèmes mais traités par leur côté Science-Fiction et non point fantastique.
Les scènes du métro, à elles seules m'auraient fait apprécier le film,
mais l'ensemble se laisse voir avec plaisir.
Voir aussi allocine
édit : évidemment ignorer l'allusion à Barry Lindon
Dernière modification par Dr Mabuse (21-04-2009 13:07:54)
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Meric Docteur!
Mais:
"Le roman graphique dont est tiré le film n'est pas très connu en France, il est difficile d'émettre une opinion sur la qualité de l'adaptation."
J'aurais dit exactment le contraire: c'est un des romans graphiques les plus connus, et bénéficiant d'une grande réputation! Même moi, qui suis coupé des comics depuis longtemps, je l'avais lu! Et il a connu deux traductions françaises, dont la première, par Manchette (!) serait la meilleure (c'est celle que j'ai lue, il y a un bon moment...)
Il y a la 7e de Beethoven dans Barry Lindon? Je n'en ai aucun souvenir, alors que j'adore ce film. Il faut donc que je le revoie... Par contre, elle est dans le cultissime "Zardoz"...
Tout cela pour dire qu'il y en a qui suivent, même s'ils ne fichent rien d'utile sur le forum...
Oncle Joe
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J'ai donc fait une recherche sur "Barry Lindon" et trouvé une belle analyse : http://analysefilmique.free.fr/analyse/b/barry.php
qui te donne raison, pas de 7ème de Beethoven dans Barry Lindon :
L'IMPORTANCE DE LA MUSIQUE
La musique a toujours été importante dans les films de Kubrick (2001 et Le beau Danube bleu de Strauss, A Clockwork Orange et Beethoven ...). Stanley Kubrick a toujours insisté sur la musique non seulement comme accompagnement de l'image mais comme mode de communication. Kubrick vise un cinéma qui fonctionne au niveau de l'affectivité.
Kubrick a fait appel au compositeur américain Léonard Rosenman pour arranger les thèmes classiques qu'utilise le film : Sarabande de Haendel, Barbier de Séville de Paisiello, Hohenfriedburger de Frédéric le Grand, Trio avec piano, Opus 100 de Schubert, Concerto en ut mineur, BWV 1060 de Bach.
Dans Barry Lyndon on trouve deux types de musique :
- Musique diégétique qui appartient à l'action du film (marches militaires, musiques de concerts, musique de danse).
- Musique commentaire ou expressive par laquelle le réalisateur souhaite faire passer un climat poétique, une émotion.Barry Lyndon est l'un des rares films où la musique joue un rôle aussi important pour la narration et le climat de l’œuvre.
alors je présente toutes mes excuses au mélomanes,
mes souvenirs me jouent des tours,
j'ai confondu Beethoven : http://www.deezer.com/fr#music/result/all/Beethoven
avec Haendel : http://www.deezer.com/fr#music/result/a … 0sarabande
Honte sur moi !
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Star Trek film américain (2009), genre : SF
De J.J. Abrams, avec Chris Pine, Zachary Quinto, Eric Bana, Simon Pegg, Winona Ryder, Karl Urban, John Cho, Zoe Saldana, etc ...
Loin de la flotte des Klingons, le USS Kelvin est attaqué par un vaisseau des Romuliens, dont le chef, le capitaine Nero demande à voir l'ambassadeur Spock, inconnu à cette date.
Sur la planète Vulcain, le jeune Spock, dont le père est vulcain, mais la mère est terrienne, est en butte aux autres enfants qui lui montrent qu'il n'est pas insensible aux sentiments.
Pourtant il poursuit des études remarquables et pourrait intégrer l'assemblée des sages, mais il préfère suivre l'enseignement de Starfleet.
Dans l'Iowa, un certain James Tiberius Kirk rencontre la belle Uhura, tente de la séduire, ce qui provoque une bagarre générale, à la suite de laquelle, il est recruté par le capitaine.
Un médecin, un peu parano, Léonard Mc Koy, rejoint la promotion.
Voila donc un bel équipage, enrichi de Hikaru Sulu et Pavel Checkov constitué pour le test de simulation de combat réputé impossible et conçu par le commander Spock,
Kirk le réussit, mais il a implanté un programme pirate dans le simulateur, il a triché.
Lorsque le conseil se réunit pour statuer sur son cas, la planète Vulcain est attaqué par un vaisseau Romulien, porteur d'une énorme perforatrice, capable de percer la planète, mais dans quel but.
Les personnages sont présentés, l'aventure peut commencer ....
Les dialogues sont parfois décourageants,
du genre : "impact dans 5 secondes !"
le capitaine prend alors la décision: "alerte rouge !"
ou "procédure numéro 13 !", ce qui se traduit prosaïquement par " évacuation générale",
tout le monde court dans tous les sens.
Comme Alain Delon qui conduit la jeep dans "Les Centurions", le capitaine Pike pilote lui-même la navette spatiale et décompte à haute voix avant de larguer le commando avec toute la précision désirée
pour arriver depuis 20 000 mètres sur une plateforme de 50 m de diamètre..
Ces quelques critiques établies, le reste est un plaisir pour les yeux et pour l'esprit, l'humour n'est jamais absent, les références sont subtiles.
L'histoire est ce quelle est, qu'importe si parfois elle devient "paradoxale", voire difficilement compréhensible.
Les images sont belles et les effets spéciaux signés ILM sont à la hauteur,
même si l'on peut regretter la téléportation originale tellement simple, celle avec un méchant spot lumineux et une pauvre pincée de poudre d'aluminium.
Les décors sont grandioses, et si la tuyauterie à l'intérieur de l'USS Enterprise semble bien un peu imposante, voire comique, pourquoi pas !
La musique suit l'action avec l'intensité voulue, il n'y a pas de thème, mais cela ne manque pas..
Tous les comédiens finissent par être convaincants, le début est difficile, mais tous endossent bien leur rôle,
la présence de Léonard Nimoy est un bel hommage, celle de Wynona Ryder, un plaisir.
Je ne suis pas un grand spécialiste de la série télé,
d'ailleurs je n'ai jamais vu que la série originale,
mais j'ai pris beaucoup de plaisir durant ces deux heures.
Lire aussi canoé
Dernière modification par Dr Mabuse (11-05-2009 00:16:33)
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Star Trek est sympa, mais bon, Kirk est devenu un peu bête, il a perdu pas mal de culture et sa maîtrise du commandement se transforme en instinct bizarre peu conforme. Encore un qui a perdu l'image d'un père glorieux, la mère n'a servi à rien, heureusement, le second de papa qu'est presqu'un erzatz calibré arrive et sauve le rebelle james deanien surdoué et heureusement, parce que niveau scolarité, c'est un âne.
C'était un très mauvais début digne d'Abrams, le roi de la série pathos, ça a toujours donné du boulot à Nimoy qu'on retrouve d'ailleurs en guest star plein de clin d'oeil dans la série Fringe, toujours d'Abrams. Une série très chère pleine de beaux effets spéciaux mais dont je sens qu'aucune fin n'est prévue, pourvu que je me trompe, je croise les doigts.
Mais j'étais venue parler d'un autre film, Man from Earth, une surprise de taille, sorti en 2007 et en DVD uniquement aux USA. Sur un scénario écrit par Jerome Bixby et achevé sur son lit de mort en 1998, c'est un très beau testament SF mis en bobine grâce à la passion de quelques indépendants. Un film qui a réussi à percer grâce au "piratage", le producteur a d'ailleurs remercié les pirates d'avoir fait connaître le film, classé aujourd'hui comme l'un des cinquante meilleurs films de SF de tous les temps!
Aucun effet spéciaux, pas de déguisements, juste un homme, un universitaire nommé John Oldman, qui après 10 ans dans une fac a démissionné sans raison apparente et tente de partir discrètement. Ses amis, tous enseignants, surviennent alors qu'il charge son véhicule, apportant des victuailles et curieux de connaître les raisons de cette "fuite". John se dérobe d'abord puis finalement se décide à révéler sa vérité, il pense être un homme de Cromagnon et a plus de 14 000 ans... D'abord sceptiques, blessés aussi, les invités décident de jouer le jeu. S'ensuit un huis-clos à huit personnages carrément passionnant qui parlent de l'espèce humaine, et en filigrane, de l'amour de Bixby pour la science-fiction.
Quel pied mes amis! Si vous ne l'avez pas encore vu, essayez juste pour voir
Le téléchargement par tous les moyens est totalement "pas illégal", et pour vous sentir heureux, faites un don direct (n'oubliez pas le taux de change et la commission chipée).
http://manfromearth.com/
Le lien Wikipédia est pas mal mais il dévoile beaucoup du film, à vos risques et périls.
http://fr.wikipedia.org/wiki/The_Man_from_Earth
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Le téléchargement par tous les moyens est totalement "pas illégal", et pour vous sentir heureux, faites un don direct (n'oubliez pas le taux de change et la commission chipée).
http://manfromearth.com/
Je ne parviens absolument pas à le télécharger, je suis très triste.
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Rhaaaa, et pourtant on le trouve un peu partout, pour une fois qu'il est conseillé de faire le mal pour faire le bien
Essaie ici par exemple :
http://www.katzforums.com/showthread.php?t=59220
http://www.opensubtitles.org/fr/search/ … ovie-29269
mais il doit y avoir d'autres modes exotiques pour tous les goûts.
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BLOOD THE LAST VAMPIRE , Film français, japonais, argentin, hong-kongais (production 2007, mais première projection 2009), genre : adaptation de manga,
de Chris Nahon avec Gianna Jun, Allison Miller, Masiela Lusha
En 1966, au Japon, dernier épisode de la guerre contre les vampires, Saya, à l'apparence d'une jeune fille, mais vieille de centaines d'années, elle est aidée par un mystérieux "Conseil",pour attirer le dernier grand vampire, Onigen, et l'abattre.
Elle est donc infiltrée, comme collégienne, dans une base américaine, où de nombreux comparses buveurs de sang commettent de nombreuses prédations.
La fille du général se lie avec elle, et les deux filles font équipe pour sauver l'humanité.
Il y a de tout dans ce film, du "Salaire de la peur" à "Nikita" en passant par "Kill Bill" et "Blade", ou "Tigre et Dragons" avec un zeste de "Guerre des Etoiles"
Il y eu bien des westerns italiens, dont certains très bons, la nationalité de cette série plus que B nous laisse envisager le pire.
Alors que les scènes de combats sont bonnes et l'action ne faiblit jamais, ce qui masque peut-être la faiblesse et surtout le convenu de l'histoire.
Chris Nahon, réalisateur français, n'est pas un inconnu, il avait réalisé l'excellent "Le Baiser mortel du dragon" en 2001.
Pour aficionados comme moi seulement.
voir allo-ciné
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Rhaaaa, et pourtant on le trouve un peu partout, pour une fois qu'il est conseillé de faire le mal pour faire le bien
Essaie ici par exemple :
http://www.katzforums.com/showthread.php?t=59220
http://www.opensubtitles.org/fr/search/ … ovie-29269mais il doit y avoir d'autres modes exotiques pour tous les goûts.
Rien ne marche, en plus le deuxième lien ne concerne que les sous-titres
J'ai fait une recherche de fichier torrent sans succès (sur mininova, pirate bay et trackersurfer .... )
Le danger de devenir idiots n'est pas de nature à effrayer les hommes, car, à tout prendre, ça ne les changera pas beaucoup. Jacques Spitz
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Diable! tu connais mal ton royaume!
Si-si, mon lien fonctionne, j'ai essayé hier avant de le transmettre, et je viens d'essayer de nouveau, il est toujours actif. Par contre, ce n'est pas super pratique, rapidshare est "free" très surveillé : un download à la fois et une quantité limitée sur la journée.
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Marche pas non plus chez moi (Man from earth).
Je ne vois pas où il faut télécharger et sur la page il y a le message : L'accès au fichier a été refusé, bla bla bla...
(Je suis sous Vista, ça joue ?)
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Il faut copier les liens qui sont dans "Code" et le coller dans votre barre de navigation : http://rapidshare.com/files/71855221/Th … part01.rar, par exemple, qui est le premier fichier compressé, passer au second quand le premier est enfin chargé, etc.
Ensuite cliquer sur le bouton free user (à moins que vous ayez un compte payant), attendre un peu plus d'une minute puis appuyer sur le bouton de download. Si vous avez un gestionnaire de téléchargement style Free Download Manager, il se lancera automatiquement, sinon il y a la fenêtre classique de l'explorateur internet avec enregistrer sous...
Et ne pas oublier le mot de passe au moment de décompresser.
Sinon, j'ai trouvé une version en streaming sur Daily motion, la qualité est moins bonne mais ça marche tout seul :
http://www.dailymotion.com/video/x4lyca … shortfilms
http://www.dailymotion.com/video/x4lz6j … shortfilms
http://www.dailymotion.com/video/x4lzny … shortfilms
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Il faut copier les liens qui sont dans "Code" et le coller dans votre barre de navigation : http://rapidshare.com/files/71855221/Th … 7-BWBP-www.free-offline.com.part01.rar, par exemple, qui est le premier fichier compressé, passer au second, etc.
Ensuite cliquer sur le bouton free user (à moins que vous ayez un compte payant), attendre un peu plus d'une minute puis appuyer sur le bouton de download. Si vous avez un gestionnaire de téléchargement style Free Download Manager, il se lancera automatiquement, sinon il y a la fenêtre classique de l'explorateur internet avec enregistrer sous...
Et si vous êtes chez Orange, remplacer Free par Wanadoo dans le texte ci-dessus
Chuis content, je ne suis pas le seul boulet
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C'est nul. Les torrents Pirate Bay, Trackersurfer, Mininova et consorts sont bien plus faciles d'utilisation ! Comme la Loi Hadopi est mal en point on va continuer à se régaler à télécharger Enjoy
Le danger de devenir idiots n'est pas de nature à effrayer les hommes, car, à tout prendre, ça ne les changera pas beaucoup. Jacques Spitz
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C'est nul. Les torrents Pirate Bay, Trackersurfer, Mininova et consorts sont bien plus faciles d'utilisation ! Comme la Loi Hadopi est mal en point on va continuer à se régaler à télécharger Enjoy
Zavez bientôt finis vos appels au piratage, bande de petits voyous ?
Vous voulez qu'on ait des problèmes, nous autres les administrateurs ?
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Belzébuth a écrit :C'est nul. Les torrents Pirate Bay, Trackersurfer, Mininova et consorts sont bien plus faciles d'utilisation ! Comme la Loi Hadopi est mal en point on va continuer à se régaler à télécharger Enjoy
Zavez bientôt finis vos appels au piratage, bande de petits voyous ?
Vous voulez qu'on ait des problèmes, nous autres les administrateurs ?
C'est vrai qu'avec la mère Albanulle et le père fouettard Sarkoflip on fait dans notre froc ! ... Attendez les mails d'avertissements d'Hadopi avant de flipper
Le danger de devenir idiots n'est pas de nature à effrayer les hommes, car, à tout prendre, ça ne les changera pas beaucoup. Jacques Spitz
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Comme tout est parfaitement légal (yeah!), y'a du torrent mais je n'y connais rien :
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Et justement par rapport au manga ca vaut quoi ?
C'était pas mal mis en espace dans le manga.
J'avais bien aimé.
La peste soit des gens qui par désinvolture
Conservent les bouquins qu'ils nous ont empruntés
J'ai perdu tous les miens en pareille aventure
Il ne me reste plus que ceux qu'on m'a prêtés.
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Et justement par rapport au manga ca vaut quoi ?
C'était pas mal mis en espace dans le manga.J'avais bien aimé.
Je ne peux pas dire, n'ayant jamais lu le manga,
mais je suppose que si tu as aimé le manga, tu aimeras le film.
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En fait, pour faire dans le purisme (et si je ne me plante pas), Blood the last vampire est initialement un roman japonais de Mamoru Oshii (plus connu comme scénariste de japanimes comme Pat Labor) écrit à la fin des années 1990. Il en a produit une adaptation en anime en 2000 qui a révolutionné les technologies d'animation. C'était un court, 30 minutes je crois, et je me souviens que ça nous avait semblé époustouflant à l'époque. Par contre, niveau scénario, c'était un peu indigent. Après, il y a effectivement eu un manga dessiné par chaipaki (et des jeux vidéo) puis une série animée moins sensationnelle mais plutôt pas mal et donc, aujourd'hui, un film "live".
Je ne sais pas du tout si les romans d'Oshii ont été traduits en France, il pourrait, si cela s'est fait, avoir sa place dans la base.
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Et merci Cirroco pour "The man from earth".
C'est en effet à voir absolument, je le conseille immédiatement autour de moi.
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ATTENTION, MESSAGE A SPOILLLLL! (edit CJ)
Ai visionné Man From The Earth.
Intéressant, mais de là à le classer dans le top des meilleurs films SF, il y a un pas que je n'ose franchir. C'est, selon moi, une adaptation d'une bonne petite nouvelle sf qui relève d'ailleurs plus du théâtre filmé que de la mise en scène sur grand écran.
Beaucoup (trop ?) de dialogue, un peu verbeux, et quelques incohérences. La plus grande me semble être le fait que cet homme soit encore en vie ? Il le précise bien au cours de son exposé, il n'est pas immortel ! Or comment est-il possible d'échapper à une mort accidentelle au travers des âges ? Il aurait du à mimina : prendre un coup de gourdin fatal durant la période de Cromagnon, un coup de massue, d'épée, de lance ... etc dans les périodes moyennageuses ... Il a échappé à toutes les guerres, tous les bombardements, tous les génocides, les tremblements de terre et autres catastrophes naturelles, sans soucis !! Il est vraiment chanceux. Statistiquement, au XXI ème siècle il ne doit plus sortir de chez lui au risque de se prendre un pot de fleur fatal sur la tête ou un bus/camion/train (au choix) en pleine tronche.
Par ailleurs, je trouve un peu facile et "déjà vu" la rencontre final avec son fils, devenu un vieil homme, qui meurt d'une crise cardiaque à la compréhension de cette nouvelle et à l'évocation du chien-chien "Woofie" (LoL) de son enfance ... c'est à la limite du ridicule (ou alors il y a là du second degré qui m'a échappé).
Les références à Boudha, Jésus (spoiler : c'était lui !) sont intéressantes sur le plan historique et critique assez bien la formation des croyances et de la religion, mais la "révélation" me parait, là encore, un peu "grosse" ... je préfère "Voici l'homme" de Moorcock. J'aurai plein d'autres "critiques" à formuler mais il est encore tôt ce matin et je n'ai pas le courage de tout écrire !
Vos avis ?
Dernière modification par Cirroco Jones (23-06-2009 09:49:30)
Le danger de devenir idiots n'est pas de nature à effrayer les hommes, car, à tout prendre, ça ne les changera pas beaucoup. Jacques Spitz
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ATTENTION, MESSAGE A SPOILLLLL!
Je crois que tu le vois très négativement en oubliant l'amateur de la 4e dimension et tu cherches un livre là où est un film sans juger de la qualité de l'interprétation et de fait, tu oublies certaines subtilités, probablement tu en attendais trop.
Du coup, tu interprètes aussi d'ailleurs, avec l'histoire de sa mortalité en oubliant les prémices de ce qu'il n'affirme justement pas. Tout comme tu cherches le "point historique confirmé" défaillant au lieu de voir le discours sous-jacent, Bixby est subtil s'il n'est pas l'un des universitaires qu'il met en scène (et dont tu endosses le profil, soit dit en passant ).
Je réfute complètement le côté théâtral. Je sais bien qu'on est à l'époque du Statham hypertendu, mais c'est un huis-clos qui serait effectivement facile de transposer au théâtre, avec une scène tournante quand même si tu ne veux pas perdre la tension.
Voui, c'est un sacré second degré la fin, tu sais que c'est un film d'après un scénario de Bixby?! Et même, à y bien songer, c'est une excellente fin très surprenante avec un tas de degrés différents, plus que je n'en avais imaginé sans ta réflexion
Pour moi, et je me répète, c'est un testament d'écrivain de SF en plus d'une bonne histoire mais comme j'ai lu récemment ailleurs (n'est-ce pas Oncle Joe?) que les écrivains du genre pouvaient se rhabiller vu la réalité scientifique mille fois plus affolantes (sic) d'aujourd'hui, je dois être rétro et doucettement glisser sur la pente douce de l'âge
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"Statham hypertendu":)
Je te vais te répondre, mais ça c'est quoi ?
Le danger de devenir idiots n'est pas de nature à effrayer les hommes, car, à tout prendre, ça ne les changera pas beaucoup. Jacques Spitz
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ATTENTION, MESSAGE A SPOILLLLL! (edit CJ)
Cirroco Jones a écrit :ATTENTION, MESSAGE A SPOILLLLL!
Je crois que tu le vois très négativement en oubliant l'amateur de la 4e dimension et tu cherches un livre là où est un film sans juger de la qualité de l'interprétation et de fait, tu oublies certaines subtilités, probablement tu en attendais trop.
Du coup, tu interprètes aussi d'ailleurs, avec l'histoire de sa mortalité en oubliant les prémices de ce qu'il n'affirme justement pas. Tout comme tu cherches le "point historique confirmé" défaillant au lieu de voir le discours sous-jacent, Bixby est subtil s'il n'est pas l'un des universitaires qu'il met en scène (et dont tu endosses le profil, soit dit en passant ).
Je réfute complètement le côté théâtral. Je sais bien qu'on est à l'époque du Statham hypertendu, mais c'est un huis-clos qui serait effectivement facile de transposer au théâtre, avec une scène tournante quand même si tu ne veux pas perdre la tension.
Voui, c'est un sacré second degré la fin, tu sais que c'est un film d'après un scénario de Bixby?! Et même, à y bien songer, c'est une excellente fin très surprenante avec un tas de degrés différents, plus que je n'en avais imaginé sans ta réflexion
Pour moi, et je me répète, c'est un testament d'écrivain de SF en plus d'une bonne histoire mais comme j'ai lu récemment ailleurs (n'est-ce pas Oncle Joe?) que les écrivains du genre pouvaient se rhabiller vu la réalité scientifique mille fois plus affolantes (sic) d'aujourd'hui, je dois être rétro et doucettement glisser sur la pente douce de l'âge
1 - Je ne cherche pas un livre mais je juge un film, quant à la qualité de l'interprétation elle n'a rien de transcendant,
2 - De quels "prémices" parles-tu ?
3 - Je ne cherche pas "le point historique confirmé défaillant" mais je juge de la cohérence de la structure même du scénario qui me permettrait de "suspendre mon incrédulité" et avec cette faille scénaristique que de la non-immortalité du personnage central je n'y arrive pas (à suspendre mon incrédulité),
4 - Je n'ai pas dit que c'était "théâtral" mais que c'était du théâtre filmé, le film n'apporte rien de plus, la mise en scène cinématographique est très cheap (par manque de moyens peut-être ? )
5 - On voit bien, notamment, le second degré entre Bixby père et fils mais, de mon point de vue, c'est trop facile.
6 - Je ne trouve pas la fin "très surprenante"; elle me semble même assez convenue : celle qui l'aime part tout de même avec le héros en sachant qu'elle ne lui survivra pas mais ils auront certainement beaucoup d'enfants ...etc, etc. qu'il verra aussi mourir dans ses bras dans le futur ...
Oui, ça pourrait être une bonne histoire de sf, intimiste et humaine, mais elle a des faiblesses et son adaptation cinématographique est aussi assez faiblarde. Je ne connais pas le réalisateur, ni ce qu'il a fait avant.
Dernière modification par Cirroco Jones (24-06-2009 00:04:15)
Le danger de devenir idiots n'est pas de nature à effrayer les hommes, car, à tout prendre, ça ne les changera pas beaucoup. Jacques Spitz
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Juste pour dire que je venais de commencer le téléchargement, Cirocco merci, ça marche.
Un fichier par jour apparement, ça va prendre du temps.
Et dire aussi que pendant mes essais pour télécharger j'ai vu que Hu-man de Laperrousaz était disponible, en téléchargement itou.
Je ne sais pas si M. Laperrousaz est pour ou contre le téléchargement mais en je crois que son film est introuvable autrement, et depuis le temps que j'ai envie de le revoir....
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ATTENTION, MESSAGE A SPOILLLLL! (edit CJ)
Cirroco Jones a écrit :"Statham hypertendu":)
Je te vais te répondre, mais ça c'est quoi ?
Hyper Tension 1 et 2 avec Statham
1 - Je ne cherche pas un livre mais je juge un film, quant à la qualité de l'interprétation elle n'a rien de transcendant,
2 - De quels "prémices" parles-tu ?
3 - Je ne cherche pas "le point historique confirmé défaillant" mais je juge de la cohérence de la structure même du scénario qui me permettrait de "suspendre mon incrédulité" et avec cette faille scénaristique que de la non-immortalité du personnage central je n'y arrive pas (à suspendre mon incrédulité),
4 - Je n'ai pas dit que c'était "théâtral" mais que c'était du théâtre filmé, le film n'apporte rien de plus, la mise en scène cinématographique est très cheap (par manque de moyens peut-être ? )
5 - On voit bien, notamment, le second degré entre Bixby père et fils mais, de mon point de vue, c'est trop facile.
6 - Je ne trouve pas la fin "très surprenante"; elle me semble même assez convenue : celle qui l'aime part tout de même avec le héros en sachant qu'elle ne lui survivra pas mais ils auront certainement beaucoup d'enfants ...etc, etc. qu'il verra aussi mourir dans ses bras dans le futur ...Oui, ça pourrait être une bonne histoire de sf, intimiste et humaine, mais elle a des faiblesses et son adaptation cinématographique est aussi assez faiblarde. Je ne connais pas le réalisateur, ni ce qu'il a fait avant.
1 2 3 4 5 et 6! bon ben, le point à point, je ne suis pas douée, je réfute!
Le film aurait pu s'appeler le "père de l'homme". Tu n'as pas à suspendre ton incrédulité au porte-manteau, justement. La fin est surprenante (pour moi) car elle est modeste et pleine de clins d'oeil. Le film a effectivement été réalisé avec peu de moyens mais les acteurs sont tous des pro issus de ce qu'on appelle les seconds rôles pas assez cleans pour l'hollywood way.
Je ne sais pas s'il a les compétences et les atouts pour entrer dans le panthéon des 50 meilleurs films de SF de tous les temps, il n'a que deux ans (et j'aurais bien du mal n'étant pas critique ciné d'en faire un moi-même (de panthéon) qui soit absolument "objectif"), il profite donc d'un certain engouement. Par contre cet engouement ne doit rien à la publicité ni à la valeur monétaire de la production, ni au désir de caresser le public dans le sens du poil, ni à que dalle d'ailleurs, donc je pense honnêtement (hors mes sentiments positifs déjà exposés) qu'il a plus qu'un scénario faiblard, une interprétation sans intérêt et des moyens médiocres.
Dernière modification par Cirroco Jones (24-06-2009 00:04:03)
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ATTENTION, MESSAGE A SPOILLLLL! (edit CJ)
1 2 3 4 5 et 6! bon ben, le point à point, je ne suis pas douée, je réfute!
Le film aurait pu s'appeler le "père de l'homme". Tu n'as pas à suspendre ton incrédulité au porte-manteau, justement. La fin est surprenante (pour moi) car elle est modeste et pleine de clins d'oeil. Le film a effectivement été réalisé avec peu de moyens mais les acteurs sont tous des pro issus de ce qu'on appelle les seconds rôles pas assez cleans pour l'hollywood way.
Je ne sais pas s'il a les compétences et les atouts pour entrer dans le panthéon des 50 meilleurs films de SF de tous les temps, il n'a que deux ans (et j'aurais bien du mal n'étant pas critique ciné d'en faire un moi-même (de panthéon) qui soit absolument "objectif"), il profite donc d'un certain engouement. Par contre cet engouement ne doit rien à la publicité ni à la valeur monétaire de la production, ni au désir de caresser le public dans le sens du poil, ni à que dalle d'ailleurs, donc je pense honnêtement (hors mes sentiments positifs déjà exposés) qu'il a plus qu'un scénario faiblard, une interprétation sans intérêt et des moyens médiocres.
Tu es un peu à court d'arguments
C'est bien de penser "honnêtement" moi j'ai du mal avec toutes ces âmes damnées à gérer au quotidien ...
Bon ok, rompons là ... le scénario n'est pas si faiblard que ça mais il est un peu "court" de mon point de vue ... peut mieux faire !
Les acteurs sont aussi d'honnêtes artisans, sans plus, j'en conviens. Les moyens sont à la hauteur du résultat, un bon téléfilm.
Je me faisais un peu l'avocat du Diable ... vous savez pourquoi
Bon film, enjoy !
Les autres n'ont pas d'avis ?
Dernière modification par Cirroco Jones (24-06-2009 00:04:42)
Le danger de devenir idiots n'est pas de nature à effrayer les hommes, car, à tout prendre, ça ne les changera pas beaucoup. Jacques Spitz
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Les autres n'ont pas d'avis ?
Pas encore vu et je me retiens pour ne pas lire vos débats en entier, la curiosité est très forte. Il me tarde de le voir.
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ATTENTION, MESSAGE A SPOILLLLL! (edit CJ)
Bon, je m'y colle.
Il faut d'abord bien distinguer le fond de la forme.
La forme :
Elle est volontairement dépouillée à l'extrême.
C'est un parti pris.
Il aurait été facile d'inclure des bandes d'actualité, des tableaux, des dessins afin de nous illustrer le propos,
de nous montrer le Bouddha, espèce de pouilleux écroulé au pied d'un arbre,
un Jésus avec juste des pieds dans des sandales, comme dans Ben Hur,
un rassemblement de Cro-Magnons dans le soir, avec l'un d'eux s'éloignant tristement, le dos courbé,
etc ...
Non, si presque tout se déroule dans une pièce, au coin du feu, c'est volontaire, et pas seulement à cause du budget.
Le fond :
Un homme a survécu 14 000 ans, pourquoi pas, et pourquoi pas plusieurs, d'ailleurs, le héros en a rencontré d'autres.
Il n'y a aucune raison que d'autres n'aient pas survécu depuis plus longtemps, d'autres moins longtemps.
Il a survécu sans trop d'accidents, mais nous aussi, nous avons survécu à tous les dangers, trains, voitures, maladies, guerres, génocides, etc ... il en faut,
simplement nous avons survécu moins longtemps, notre corps se régénère moins parfaitement,
il se régénère comme il peut, mais nous cicatrisons, notre foie repousse,
si nous faisons un peu de muscu, notre apparence se modifie, ...
La mémoire, la notre, est bien une chose incertaine, comparée à celle d'une machine,
nous reconstruisons sans arrêt notre passé, non seulement car il nous échappe,
mais aussi car nous l'éclairons de notre propre expérience, de l'évolution du monde et des idées présentes dans l'air du temps. ...
La présence des différents spécialistes permet d'examiner l'hypothèse sous tous les angles désirés.
Celui qui ne professe pas une science mais s'intéresse à l'homme et à la réalité perçue est le plus dangereux,
d'ailleurs, à chacune de ses interventions, John n'oppose que peu d'arguments.
Maintenant que le héros parte avec la femme qui l'aimera pour dix ans, c'est déjà bien dix ans.
Que le film soit un film de SF, de conjecture, aucun doute,
j'avais posé la question à propos de La Peste, de Camus,
d'une façon encore plus simple, n'oublions jamais l'histoire de Brown :
"Le dernier homme sur la Terre était assis à sa table, lorsque l'on frappât à la porte" (c'est l'esprit, ce n'est pas la lettre).
Je ne lui donnerais pas un rang au Panthéon des films de SF, en effet je veux bien ranger, classifier, répertorier mais pas porter un jugement de valeur.
Dernière modification par Cirroco Jones (24-06-2009 00:05:11)
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ATTENTION, MESSAGE A SPOILLLLL! (edit CJ)
J'essayais d'en dire le moins possible pour éviter de s'poiler mais puisque tout le monde s'y met, je vais être plus claire pour mon "ressenti" sinon Belzé va croire que je tends la joue gauche
Pour ce qui est de la partie cinématographique pure, acteurs, décors, mise en scène, musique, montage, etc. Rien ne m'a gênée, ce n'est évidemment pas 2001 de Kubrick mais un bon film intimiste bien géré, bien joué, l'accent est mis sur ce qui se dit, l'ambiance est impeccable. Un groupe de quinquagénaires pas idiots, de bonne humeur, des petits tocs, des petites rebellions soigneusement entretenues, un certain fatalisme mais toujours de la curiosité prête à l'éveil, des désirs inassouvis. Létudiante est plus jeune, plus naïve mais aussi plus prompte, du type décidée à absorber le savoir, une testeuse d'adultes. Le plus âgé aborde la mort, et rien, même pas sa profession, ne l'y a préparé, il est tourmenté et c'est bien lui qui doit être protégé finalement. A la fin du film, tu as l'impression de les avoir connus un jour.
Absolument aucun rapport avec un téléfilm ou alors je me réabonne au câble!
L'important dans le développement du film n'est pas tant la vérité historique des récits religieux ou mythiques mais, et je rejoins le Doc', la complexe et délicate machinerie qu'est l'homme, ses pauvres tentatives pour s'améliorer, sa frayeur et son émerveillement devant le monde, la difficulté de vivre ensemble, de communiquer, d'aimer et pourtant de ne jamais se lasser de vivre si l'on en croit notre homme préhistorique qui a le privilège de ne pas vieillir.
Sa mémoire qui retient et oublie, son intelligence qui ne peut se mesurer qu'à l'aune du savoir de ses semblables, sa vie affective subornée à des pulsions primordiales, tout cela n'en fait ni un dieu, ni un héros mais un homme. Et la fin, qui peut sembler si puérile, rappelle que Oldman est ce qu'il est, un père de l'humanité, modestement, craignant de ne pas avoir toujours agi comme il le fallait, espérant faire mieux. Et aussi cette fin, c'est modestement, une histoire de SF écrite par Bixby après une longue vie consacrée à cette idole cruelle.
Donc on s'en fiche de savoir si on doit croire à ses origines préhistoriques ou non, c'est de la pure spéculation "et si" racontée par un auteur sincère. J'ai marché à fond et j'ai beaucoup aimé.
Si j'avais un seul point à éclaircir, ce ne serait pas ses théories mythiques et religieuses, je tolère bien celles des croyants qui ont le bon goût de laisser les autres choisir leur enfer, mais plutôt s'il existe un seul terrien qui ne lui soit pas apparenté
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