Vous n'êtes pas identifié(e).
Le dernier point est particulièrement interessant, car c'est bien un archétype du roman d'initiation destiné à la jeunesse.
D'ailleurs il est peut-être déja présent dans les aventures précedentes.Bref, le film n'était pas très prenant pour que je trouve le temps d'élaborer toute cette psychologie de bazar.
Hum, hum, décortiquer la psychologie de l'auteur d'un bouquin à partir d'un film qui en est plus ou moins tiré, est-ce bien déontologique ?
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Ma déontologie m'interdit de leur demander de l'argent pour un service aussi minable.
Je lis dans allo-ciné :
"Scénariste Michael Goldenberg
D'après l'oeuvre de J.K. Rowling"
Pourtant l'un des deux devrait payer,
en tout cas, pas la sécu
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FIDO
Film canadien réalisé par Andrew Currie
Avec Carrie-Anne Moss, Billy Connolly, Dylan Baker, Tim Blake Nelson , Sonja Bennett, etc ...
Le film commence avec un documentaire expliquant que la terre ayant traversé un nuage interstellaire, les morts sont sortis de leur tombes, assoifés de chair humaine, vivante. Nous voici donc, vers 1950, au lendemain de "La Nuit des Morts-Vivants". Ce qui a provoqué la "guerre des Zombies".
Pour achever les zombies, il fallait leur couper la tête et la séparer définitivement du reste du corps.
Ainsi voit-on apparaitre des obsèques où seule la tête est enterrée dans un cerceuil inviolable.
Un savant met au point un collier, qui permet, entre autre, de télécommander les zombies grâce à un manette de jeu; le bon fonctionnement du collier est attesté par les voyants rouges disposés de chaque côté; si les voyants s'éteignent, alors il faut immédiatement abattre le zombie d'une balle dans la tête.
Les vieux étaient particulièrement à craindre, ils faisaient des crises cardiaques et se relevaient comme zombies, aussi devait-on lesu passer le collier immédiatement avant qu'ils ne se relèvent.
La compagnie ZomCon livre des zombies, les entretient et met en place des sécurités autour des villes, les autres zones étant déclarées perdues.
Nous voici donc dans un charmante ville de province, où les zombies effectuent les tâches domestiques et où les écoliers suivent des cours de tirs à la carabine ...
C'est une série Z, bon teint, ou est-ce un pastiche ?
Dépéchez-vous, pour une sortie du 1er aout, nous étions 23 dans la salle .
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_g … 18946.html
http://www.imdb.com/title/tt0457572/
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Planète terreur - un film Grindhouse (Grindhouse: Planet Terror) 2007
de Robert Rodriguez, avec Rose McGowan, Freddy Rodriguez, Josh Brolin, Marley Shelton, Michael Biehn, Tom Savini, Quentin Tarantino, Bruce Willis, etc ...
Le fond :
A la suite de, on ne sait pas trop quoi, mais cela n'a aucune importance,
des humains infectés deviennent des zombies et mangent les personnes non-infectées vivantes.
Evidemment, un groupe de fugitifs essaie d'échaper à cet enfer.
Parmi eux, les archétypes obligés, la go-go girl et son copain dépanneur, le shérif et son adjoint, l'infirmière sexy,
entre-autres.
Ils doivent affronter également une section de militaires perdus.
Le tout dans un ville de ploucs, la nuit, loin de tout ...
L'histoire débute et se termine dans le gore le plus complet.
La forme :
Filmé sur de la pellicule rayée à souhait,
avec une musique endiablée à fond les manettes,
le grand film est précédé de la bande-annonce du prochain spectacle,
tout aussi déjanté.
Consultez vos critiques favoris,
et ne manquez pas ce grand film de série Z,
évadé du Brady de la Grande Epoque.
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En farfouillant sur A*m*z*n british, j'ai trouvé ça :
Avez-vous entendu parler de ce film qui serait tiré de la nouvelle de Kuttner et Moore "Mimsy were the borogoves" (Tout smouales étaient les borogoves en français dans le texte) ?
En français, ça s'appele : Mimzy le messager du futur et ça serait sorti en avril 2007 si j'en crois :
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_g … 26521.html
Ca pourra servir à l'ami Jeam quand il reprendra son vaste projet de recensement de la SF filmée
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En farfouillant sur A*m*z*n british, j'ai trouvé ça :
http://www.bdfi.info/img/vign/t/v_thelastmimzy.jpg
Avez-vous entendu parler de ce film qui serait tiré de la nouvelle de Kuttner et Moore "Mimsy were the borogoves" (Tout smouales étaient les borogoves en français dans le texte) ?
En français, ça s'appele : Mimzy le messager du futur et ça serait sorti en avril 2007 si j'en crois ça : http://www.allocine.fr/film/fichefilm_g … 26521.html
Ca pourra servir à l'ami Jeam quand il reprendra son vaste projet de recensement de la SF filmée
Oui, ça fait longtemps que c'est sorti et Jeam doit sûrement être au courant.
Notons que la nouvelle avait déjà été adaptée quelques décennies avant à la télévision française.
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Dave O'Brien a écrit :Oui, ça fait longtemps que c'est sorti.
Ben apparemment, ce n'est pas arrivé dans ma campagne. Jamais entendu parler avant ce soir...
C'est resté quelques deux semaines a Paris, dans très peu de salles.
Je crois qu'on en a parlé sur actu-sf.
Dernière modification par Dr Mabuse (09-09-2007 01:02:05)
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L'Age des ténèbres Film canadien. 2007.
Réalisé par Denys Arcand, Avec Marc Labreche, Diane Kruger, Sylvie Léonard, Macha Grenon, Emma de Caunes, Rosalie Julien, ...
A quel moment, sommes-nous dans la science-fiction?
Voici un Québec où le conducteur du train de banlieue descend tous les jours de son train pour taper sur le boogie de sa motrice afin de rétablir le contact, où le vendeur d'une maison doit signaler à l'acheteur les suicides, ou les agressions dont elle a été le théatre, ce qui engendre une décote, où il est interdit de fumer en plein air et une brigade avec chien veille au respect de cette loi, etc ...
Jean-Marc Leblanc travaille dans un stade dont les tribunes ont été reconverties en bureaux.
Il reçoit des cas difficiles, un piéton pris dans un accident de moto, qui y a perdu ses deux jambes, et a qui la ville de Montréal demande de rembourser la moitié du lampadaire détruit à cette occasion, une femme dont la police a arrété sans raison son mari, cuisinier arabe, et dont elle est sans nouvelles, etc ...
Il leur explique que c'est la loi, "que c'est comme ça que ça marche".
Alors il réve sa vie, il est une personalité, acteur, écrivain, politicien, il est entouré de femmes splendides et aimantes.
On entend bien Kafka ou Spinrad, ou Ballard, ou Dick ...
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Désirant voir "28 semaines plus tard", je me devais de voir le premier opus :
28 jours plus tard Film britannique de Science fiction (2003).
Réalisé par Danny Boyle, avec Cillian Murphy, Naomie Harris, Christopher Eccleston, ...
Trois parties dans ce film :
Un prologue où des militants "écologiques" s'introduisent dans un laboratoire pour libérer des singes, sujets d'expériences. Les animaux sitôt libérés mordent les membres du commando, les transformant ainsi en zombies.
Vingt huit jours plus tard, Jim, victime d'un banal accident de la circulation, se réveille d'un profond coma, dans un hopital pour constater que Londres a été evacué. Dans cette ville déserte subsistent quelques zombies qui remplissent leur rôle de propagateurs du virus.
Trois survivants, Jim et deux femmes, trouvent refuge auprès d'une petite unité militaire.
Seulement le but de ces militaires est de repeupler l'Angleterre, ...
C'est un film à petit budget, donc l'action et le message, sont épurés et cette simplicité est la force de l'histoire.
Dernière modification par Dr Mabuse (30-09-2007 19:09:00)
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28 semaines plus tard film britannique de science-fiction (2007)
De Juan Carlos Fresnadillo, avec Robert Carlyle, Rose Byrne, ...
Le film précédent n'est utile que pour situer le cadre dans lequel va se dérouler ce nouvel épisode.
De nouveaux personnages échappent aux attaques des zombies.
Après six semaines de "quarantaine", l'armée américaine débarque en Angleterre, avec de gros moyens, pour procéder à la Reconstruction. Un ilôt sécurisé est créé au coeur de Londres.
Il est bien évident que le virus réapparait. Les militaires tentent bien d'encadrer les nouveaux zombies, mais finalement débordés doivent déclencher le "Plan Rouge", exterminer tous les civils.
Voilà un film à très gros budget. Après un démarrage un peu trop gore, le message est clair :
l'armée est peut-être indispable dans certains cas, hélas, elle ne peux pas agir avec finesse.
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C'est quoi la différence de budget, entre le premier film où il y a des zombies qui courent partout, et le second où il y a des zombies qui courent partout ?
(Tiens, d'ailleurs, j'ai vu récemment le pionnier des films de zombies qui courent partout : "L'Avion de l'apocalypse" d'Umberto Lenzi. C'est nullissime.)
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Une grosse différence de budget:
dans le premier il y a 10 acteurs et 30 zombies,
peu de scènes dans Londres,
beaucoup de campagne déserte
9 semaines de tournage.
Dans le 2ème, il ya 100 personnages et autant de zombies,
beaucoup de scènes aériennes dans Londres,
beaucoup de matériel militaire,
des hélicoptères,
des effets spéciaux,
des vedettes connues,
1 an d'écriture du scénario
etc, ...
Au début, je me suis cru dans un film américain, c'est dire ...
Le premier a du gagner beaucoup d'argent pour une mise réduite,
Le deuxième a capitalisé sur l'image.
Essaie de regarder les bandes-annonces.
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Resident Evil: Extinction, film américain (2007),
réalisé par Russell Mulcahy, avec Milla Jovovich, Mike Epps, Ali Larter, Oded Fehr, Iain Glen, Spencer Locke ...
Alice Prospero, échappée des expériences menées par les laboratoires Umbrella,
est douée de télékinésie, et d'autres qualités utiles.
Elle rejoint la caravane de camions des rescapés de la fin du monde due au virus T.
Ils doivent trouver de l'essence et se rendent à Las Végas complètement ensablé,
où ils sont attaqués par des zombies déposés par le professeur Isaacs.
Toutefois les survivants suivent le professeur dans son repaire ...
Je n'ai pas vu les deux premiers épisodes, mais cela n'est pas génant.
Ce n'est pas un film de zombies qui courent partout.
C'est plutôt dans la veine de "I am Legend" de Matheson.
Seul le sang d'Alice peut permettre de fabriquer le vaccin.
Les références sont nombreuses avec,
entre autres les corbeaux qui ont mangés la chair infectée,
et les costumes à la Mad Max.
J'ai trouvé le film que j'étais venu voir.
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Les références sont nombreuses avec,
entre autres les corbeaux qui ont mangés la chair infectée,
et les costumes à la Mad Max.
Il n'y a pas que les costumes, vu le résumé. Suffit de remplacer la horde d'Humungus par les zombies...
J'ai trouvé le film que j'étais venu voir.
Il est vrai qu'il est toujours gênant de se tromper de salle.
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Grâce à vos encouragements, je ne me suis trompé ni de salle, ni de film
Chrysalis film français 2007
Réalisé par Julien Leclercq, avec Albert Dupontel, Marie Guillard, Marthe Keller, Mélanie Thierry, Estelle Lefebure, Alain Figlarz, etc ...
Dans un futur proche, un flic européen peu orthodoxe, tombe sur un trafic surprenant.
En effet un prototype de machine à enregistrer la mémoire a été dérobé et fait l'objet de convoitises,
de la part de différents services de police, et de médecins plus ou moins louches.
Le flic lui-même fait l'expérience de la machine.
C'est un film de genre, il fait donc appel à tous les poncifs de la SF et du polar,
ce qui ne l'empêche pas, à mon avis d'être un bon film.
Les décors ont cette désespérance que l'on prête, maintenant au futur,
avec des éclairages un peu sombres, tout se passe la nuit ou en local clos.
La musique résonne comme dans un film d'action.
Les interprètes font oublier que ce sont des acteurs, Dupontel est un bon flic, muet et déjanté,
Marie Guillard, est son équipière jeune et un peu naïve qui apprend au fur et à mesure.
Marthe Keller en mère éplorée et en chirurgien sans éthique équilibre bien ces deux faces.
Alain Figlarz est un méchant très convainquant.
ses bagarres avec Dupontel sont chorégraphiées par lui-même, c'est son métier.
La machine à décerveler ressemble à celle de Orange Mécanique, et alors, comme cela on sait à quoi s'en tenir.
L'histoire est bien bâtie, le héros d'abord très fort, tombe dans le 36ème dessous, et comme c'est un héros,
il s'en sort.
Pourquoi les critiques sont-elles mauvaises?
Il n'y a peut-être rien de nouveau, et alors !
http://www.mad-movies.com/mad/actualite … ISAGE.html
lisez aussi ce que dit le metteur en scène :
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Ben moi j'ai commencé à voir "Ivan Vasilevich menyaet professiyu", fim russe de Leonid Gaidai datant de 1973.
Le scénario est adapté d'un texte de Mikhail A. Bulgakov.
http://www.imdb.com/title/tt0070233/
Un scientifique farfelu y invente une machine à voyager dans le temps, qui envoie deux moscovites en plein 16e siècle, alors qu'Ivan le terrible arrive en revanche en U.R.S.S.
Bizarrement, ce titre est rarement cité dans les listes de films SF russes.
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Stardust, le mystère de l'étoile film américain, 2006
Réalisé par Matthew Vaughn, avec Charlie Cox, Claire Danes, Robert De Niro, Michelle Pfeiffer, Rupert Everett, Peter O'Toole , etc ...
Le village de Wall est bordé par un mur qui le sépare du pays mystérieux, la brèche dans ce mur est gardée jour et nuit pour empêcher quiconque de la franchir. Dunstan Thorn trompe la vigilance du vieillard préposé et s'égaie à la foire des gens de l'autre coté.
Il achète un perce-neige porte-bonheur contre un baiser à une belle colporteuse avec laquelle il passe la nuit.
Ainsi nait Tristan Thorn, déposé du côté humain dans un panier.
Ce dernier grandit, est amoureux de la belle Victoria, et lui promet d'aller chercher l'étoile qu'ils ont vu tomber de l'autre côté du mur.
Hèlas, il n'est pas le seul, d'autres personnages peu recommandables, ont besoin de cette étoile à des fins égoistes.
Si j'ai trouvé un grand plaisir à voir ce film,
Michèle Pfeifer, en sorcière désireuse de retrouver sa beauté,
Claire Danes, en étoile diaphane,
Charlie Cox, Tristan, jeune gandin prompt à apprendre,
et surtout Robert de Niro, Capitaine Shakespeare, méchant au grand coeur,
sont tous extraordinaires,
je n'ai pas reconnu le livre.
J'ai été obligé de le reprendre et de le relire pour m'assurer que ma mémoire ne m'avait pas trompée.
Ce qui ne retire rien à la beauté du film ni à sa légèreté.
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Moui, c'est gentillet. J'aime bien la fratrie défunte, tous ces candidats décédés dont les fantômes défigurés observent les survivants.
Quant à moi, poursuivant mon exploration du cinéma russe, j'ai commencé "Trackman" / "Putevoy obkhodchik" / "Путевой обходчик" (Igor Shavlak, 2007). Des malfrats qui viennent de faire un casse dans une banque se réfugient dans des tunnels abandonnés du métro moscovite, accompagnés de quelques otages. Une légende urbaine veut qu'un mutant, dernier survivant d'un groupe d'irradiés de Tchernobyl, s'y cache. Je ne sais pas pourquoi, mais je sens que ça va charcler assez vite... !
Décidement, de "le Métro de la mort" / "Death Line" (Gary Sherman) à "Creep" (Christopher Smith) en passant par "Mimic" (Guillermo del Toro), il ne fait pas bon traîner dans le métro.
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Moui, c'est gentillet. J'aime bien la fratrie défunte, tous ces candidats décédés dont les fantômes défigurés observent les survivants.
Quant à moi, poursuivant mon exploration du cinéma russe, j'ai commencé "Trackman" / "Putevoy obkhodchik" / "Путевой обходчик" (Igor Shavlak, 2007). Des malfrats qui viennent de faire un casse dans une banque se réfugient dans des tunnels abandonnés du métro moscovite, accompagnés de quelques otages. Une légende urbaine veut qu'un mutant, dernier survivant d'un groupe d'irradiés de Tchernobyl, s'y cache. Je ne sais pas pourquoi, mais je sens que ça va charcler assez vite... !
Bon, c'est en effet un "Creep" version moscovite.
Sauf que le tueur ici évoque moins le mutant du film de Smith que Jason en personne, par sa carrure, son masque et son invulnérabilité. S'il aime lui aussi les armes blanches, il ne dédaigne pas le lance-flammes.
Curieusement, le film paraît très court. Il est assez dispensable.
Ca m'a donné, en revanche, l'envie de revoir "Le Métro de la mort" (1972). Là, on joue à un niveau supérieur. Deux ans avant "Massacre à la tronçonneuse", Gary Sherman s'y fait le chantre de l'horreur putride, anticipant les délires putrescents de Lucio Fulci, et attardant longuement sa caméra sur le charnier qui constitue le nid douillet du couple d'amoureux monstrueux, vivant au fond du métro londonien. Même si le climat d'angoisse n'est pas des plus réussis, on apprécie, en contraste, l'attitude très british du policier joué par Donald Pleasence, anticonformiste et pinailleur au possible.
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...le chantre de l'horreur putride, anticipant les délires putrescents de Lucio Fulci, et attardant longuement sa caméra sur le charnier qui constitue le nid douillet du couple d'amoureux monstrueux, vivant au fond du métro londonien.
Beurk! tout ce que je n'aime pas
D'ailleurs, je suis sûre que dans ce cas, on dit le "chancre de l'horreur"... ça me retourne l'estomac ces films sans me faire vraiment peur en plus.
Un de mes fils est fan du genre, c'est marrant, lui, ce sont les comédies romantiques qui lui font cet effet
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L'Homme sans âge (Youth Without Youth) film allemand, italien, français, américain, 2006.
Réalisé par Francis Ford Coppola
Avec Tim Roth, Alexandra Maria Lara, Bruno Ganz, ...
D'après l'oeuvre de Mircea Eliade.
Dominic Matéi, vieux professeur de linguistique, lorsqu'il était jeune il a choisi l'étude plutôt que l'amour, estime qu'il n'est rien s'il n'a pas achevé son œuvre, l'explication de l'origine du language. Un jour de 1938, à Bucarest il est frappé par la foudre, ce qui provoque son rajeunissement et l'acquisition de facultés extraordinaires, la possibilité d'absorber des livres sans les ouvrir, un peu de prescience et de télékinésie etc ... Il doit alors se cacher pour échapper aux scientifiques et espions nazis ou américains.
La guerre se termine d'une façon qui nous montre qu'il ne s'agit pas de notre monde.
Dominic Matéi retrouve alors son amour de jeunesse, ou une femme qui lui ressemble extraordinairement. Elle aussi est frappée par la foudre et acquiert la faculté d'abriter, en transes, des femmes de plus en plus anciennes, qui délivrent des messages dans des langues mythiques ...
Voilà un film qui pourrait devenir culte, s'il n'était pas un peu trop long, un peu trop difficile à absorber.
Je n'ai pas lu l' œuvre originale de Mircea Eliade, donc je ne sais pas du tout quelle est la part de Francis Ford Coppola dans ce film qui est indubitablement de la Science-Fiction.
Les interprétations de Tim Roth, en professeur de linguistique, de Bruno Ganz en médecin roumain et de Alexandra Maria Lara en amour éternelle
sont très convaincantes.
Les thèmes abordés sont trop nombreux pour se résumer facilement, l'éternelle jeunesse d'abord, le surhomme et "l'être différent", mais aussi le rapport avec le Temps, sans oublier la linguistique,
ni même le bien et le mal.
On pourrait dire un vaste foutoir, non, même notre vie à nous sans être exceptionnelle est de toute façon complexe.
Allez-y et donnez-moi votre opinion.
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Allez-y et donnez-moi votre opinion.
Ben, j'l'ai pas vu mais si tu veux, je peux te parler d'Invincible, un super film avec Billy Zane et dont il est inutile de retenir le reste du casting et de la réalisation?
Bon, alors c'est un type un peu divin, genre ange déchu mais dans l'autre sens. Il réunit une bande de nazes qui étaient bons pour la casserole sociale et leur annonce qu'ils sont tous les quatre les porteurs de la heu..., d'un morceau de bien et qu'ils représentent les éléments Feu, Eau, Air, Métal (enfin si je me souviens bien). Il leur ouvre la porte de leurs pouvoirs cache-nez et manteaux mais ils se prennent quand même une dégelée avec le super méchant qui est resté déchu (pas comme le super gentil qu'a compris grâce au cinquième porteur de bien... ah oui, je vous ai pas dit, normalement, ils devaient être cinq les défenseurs du bien mais le néo-super gentil il l'a tué et c'est là qu'il y a un ange fille qui est apparu, un miracle Z, elle le tabasse, lui casse tous ses attributs virils : l'épée, les boutons, le béret, ... ah non, ça, c'est dans Marines Forever. Quand elle a fini de le démolir, elle lui file une âme à la place. Le cadôoooo! Avant il tuait tout le monde en ricanant Ha-haha-ha, après, il cause tout le temps dans le genre un peu précieux, ça doit être parce que l'ange, c'était une fille et que c'est de l'amour transcendantal. En tout cas et du coup, il veut plus être super méchant, son âme, elle lui commande de ramasser les morceaux et de sauver la Terre qu'est pas si mal que ça). Bref, je reviens avant l'à part Ted, le super méchant leur met la pâtée et les cinq reprennent leur entraînement, ils deviennent super forts avec téliki telik, enfin les trucs où on transporte des autres trucs et tout. En même temps, pendant les pauses, le super gentil va un peu asticoter le super méchant et ils ont des dialogues comme dans Tremors mais c'est pas si marrant parce que c'est Billy Zane et David Field alors que dans Tremors, c'est Bacon et Ward. Comme Zane l'embête, Field se venge sur un des quatre porteurs et le tue. Paf! on croit que c'est mal barré mais non, les trois autres le ressuscitent comme quoi, sont devenus surhumains et qu'on sent déjà que ça va bien finir finalement parce que jusqu'à là, ça restait quand même douteux, non? Alors on arrive à la baston finale et là, y'a un truc très fort, très humain, très tendre qui fait que c'est une baston pacifiste. Le super gentil, y dit aux porteurs qu'ils doivent anéantir le super méchant dans l'amour pour lui permettre la rédemption, et ça, ben ça m'a vraiment impressionnée. Et ça marche! Ils lui mettent la dérouillée du siècle en l'aimant énormément et il revient sur Terre plus super du tout mais amnésique, tu sais, quand on a plus de mémoire, comme nous avec Stéphanie, tu comprends? Après c'est trop triste, le super gentil, en fait, il a un peu changé sa place avec super méchant pour qu'il soit lavé des toutes les monstruosités qu'il a faites et du coup, ben il disparaît. Mais avant, il dit bien aux quatre nouveaux super gentils qu'il leur laisse la planète en garde, y'aura peut-être une suite?
Le cinéma de minuit de Cidje
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Ben moi, j'ai vu "Pervert !", l'hommage de Jonathan Yudis à Russ Meyer.
Inutile de dire que c'est nichonné à souhait.
Et la fin bascule totalement dans le fantastique, avec plein de morceaux de stop-motion à la clé, grâce à l'intervention d'une créature... assez surprenante !
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Ben moi j'ai commencé à voir "Ivan Vasilevich menyaet professiyu", fim russe de Leonid Gaidai datant de 1973.
Le scénario est adapté d'un texte de Mikhail A. Bulgakov.
http://www.imdb.com/title/tt0070233/
Un scientifique farfelu y invente une machine à voyager dans le temps, qui envoie deux moscovites en plein 16e siècle, alors qu'Ivan le terrible arrive en revanche en U.R.S.S.
Bizarrement, ce titre est rarement cité dans les listes de films SF russes.
si, si je l'avais dans ma liste Boulgakov en chantier:
Mikhaïl (Afansievich) Boulgakov (Михаил Афанасьевич Булгаков, Russie/URSS 15/05/1891-10/03/1940)
Le maître et Marguerite (Мастер и Маргарита (1940) abrégé (censuré) in Moskva décembre 1966 - janvier 1967; restauré in Khudozhestvennaya 1973; complété 1989 –traduit par Claude Ligny, coll. Pavillons, Robert Laffont 1968).
- Pilatus und andere - Ein Film für Karfreitag ou Pilate and Others Andreï Wajda, RFA 1972 (90mn -Pays-Bas 94mn);
- Le Maître et Marguerite (Il Maestro e Margherita ou Majstor i Margarita ou The Master and Margaret -titre USA- ou The Master and Margherite -titre international) Aleksandar Petrovic, Italie/Yougoslavie 1972 (95mn);
- Mistrz i Malgorzata Maciej Wojtyszko, Pologne 1990 (Mini série de 350mn);
- Master i Margarita (Мастер и Маргарита ou Master and Margareth -titre international) Yuri Kara, Russie 1994 (240 ou 125mn);
- A Mester és Margarita Ibolya Fekete, Hongrie 2005 (Court-métrage 26mn);
- Master i Margarita (Мастер и Маргарита ou Master and Margaret -titre international) Vladimir Bortko, Russie 2005 (Mini série de 500mn).
Lire le roman : http://www.ebooksgratuits.com/html/boul … erite.html
Ivan Vassiliévitch ([Иван Васильевич] 1934 –traduit par Lucile Négel, Éd. De l'Agly 1998).
- Ivan Vasilevich menyaet professiyu ou Иван Васильевич меняет профессию (Titres URSS) ou Ivan Vasilievich: Back to the Future ou Ivan the Terrible: Back to the Future (Titres USA) ou Ivan Vasilyevich Changes Occupation (Titre vidéo) Leonid Gadai, URSS 1973 (93mn).
Cœur de chien (Sobatch'e serdtse [Собачье сердце] (1925) –traduit par Michel Pétris, Gallimard 1972; retraduit par Vladimir Volkoff, coll. Biblio, LdP 1999; autre traduction par Janine Lévy, coll. Kiosque, Flammarion 1998).
- Cuore di cane ou Warum bellt Herr Bobikow? (Titre RFA) ou Dog's Heart (Titre international) Alberto Lattuada, Italie/RFA 1976 (173mn);
- Sobachye serdtse (Собачье сердце) Vladimir Bortko, URSS 1988 (Tv 130mn).
Les œufs fatidiques / Les œufs du destin (? 1924 -traduit par (?) in Diableries - suivi de Les œufs fatidiques et autres récits, coll. Classiques Slaves, L'Age d'Homme 1971; retraduit (?) par François Cornillot & Alain Prechac in Les œufs fatidiques, coll. Bibliothèque Marabout fantastique, Gérard 1973; retraduit par Edith Scherrer & révisé par Françoise Flamant, coll. Folio bilingue, Gallimard 2003).
- Rokovye yaytsa / Роковые яйца (Fatal Eggs) Sergei Lomkin, Russie/République Tchèque 1996 (?mn).D'autres adaptations dont les titres cinéma ne me disent rien sont-ils d'après des récits plus ou moins spéculatifs?
Jeam
Dernière modification par Jeam Tag (04-12-2007 10:59:01)
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Je viens de voir la Croisée des Mondes dont je n'ai pas lu le roman initial de Pullmann. A entendre les critiques, c'était franchement pas terrible genre clips successifs. Du coup, j'ai été agréablement surprise, je m'attendais à un clone du Harry Potter V alors qu'il s'agit d'un film certes avec des défauts mais également avec des qualités sympathiques.
A priori, il y a des raccourcis, presque des ellipses à l'asiatique , mais le scénario reste compréhensible. J'imaginais que tout tapait dans les super effets spéciaux, et effectivement ça déménage, mais on est bien loin d'une dauberie genre le dernier Aliens Vs Prédator. La tendance pénible à graviter dans les noirs et les sombres pour la magie ou l'horreur est hélas présente mais certaines scènes sont très claires comme celles avec les ours et la majorité des scènes quotidiennes.
Le ton souffre d'une certaine mièvrerie, d'accord, qui paraît-il n'existe pas dans le roman. Mais de là à taxer le film de bluette, faut pas rigoler, c'est assez sévère quand même, y'a même des morts en grand nombre, ils ne saignent pas parce que c'est un des éléments particuliers de l'histoire. Les ours sont beaucoup plus sanguinaires.
Finalement, moi j'ai vu un conte steampunk vraiment rigolo, avec plein de détails mécaniques très bien fichus, des acteurs convaincants y compris la jeune héroïne, le roi des gitans est superbe, les sorcières sont sympathiques, un peu éludées, les érudits sont, c'est vrai, un peu à la sauce Poudlard mais je dirais surtout la sauce English College, les ours sont magnifiques, Nicole Kidman joue bien, James Bond (je ne sais plus son nom d'acteur, là, tout de suite) s'en sort.
Les différentes "peuplades" ont chacune une esthétique et un comportement bien démarqués, les images sont superbes, le pathos est réduit à la proportion ingurgitable et l'intrigue mise en valeur, y'a de l'action en quantité, pas de quoi s'ennuyer pendant les deux heures d'aventures.
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A la croisée des mondes : la boussole d'or, film américain 2007
Réalisé par Chris Weitz, Avec Dakota Blue Richards, Nicole Kidman, Daniel Craig, Sam Elliott, Eva Green, Christopher Lee, etc
Merci à Cirroco Jones, sans qui je n'aurais pas vu ce film, j'avais déja reculé deux fois avant d'aller voir autre chose.
Je craignais que ce ne soit de la fantaisy, or c'est vraiment du steampunk.
Peut-être un peu long, et un peu frustrant à la fin,
mais ceci est une autre histoire...
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A la croisée des mondes : la boussole d'or, film américain 2007
Réalisé par Chris Weitz, Avec Dakota Blue Richards, Nicole Kidman, Daniel Craig, Sam Elliott, Eva Green, Christopher Lee, etcMerci à Cirroco Jones, sans qui je n'aurais pas vu ce film, j'avais déja reculé deux fois avant d'aller voir autre chose.
Je craignais que ce ne soit de la fantaisy, or c'est vraiment du steampunk.
Peut-être un peu long, et un peu frustrant à la fin,
mais ceci est une autre histoire...
Oh, je n'avais pas vu ta réponse! Et bien contente que le film ait eu un spectateur satisfait de plus
Curieusement, je suis en train de lire le livre et c'est incroyable le nombre d'écarts entre le scénario et le roman.
Mais ce n'est pas pour ce film que je reviendus, je viens de me prendre ma claque cinéphile de l'année, c'est dur, on n'est qu'au mois de janvier...
Sweeney Todd, 2 heures de bonheur intense et pourtant ils chantent tout le temps! Pas une fausse note (ce doit être pour cela que les 26 chansons passent si bien) dans ce film qui est une merveille de gothique romantique crasseux.
Peu de personnages mais tous soignés, choyés, bichonnés pour donner le meilleur de leur interprétation. Johnny Depp a trouvé son pendant féminin, Helena Bonham Carter, tout aussi allumée, sans parler du bailli (chaipas son nom) vil et obséquieux à souhait, quant à Alan Rickman, j'ai toujours eu un faible pour cet acteur qui avait même réussi à sauver du ridicule le Robin des Bois de Kostner, il est glorieusement infect.
Londres joue aussi son rôle, peu reluisant, de chancre purulent conduisant tous ses habitants vers l'enfer. Les décors sont superbes et right bloody line! ça gicle de partout d'une belle couleur vermeil et ça remplit les tourtes, un vrai délice.
Je vous dirai bien encore combien les homélies grandiloquentes de Sweeney sont formidables et comment Madame Lovett, la pragmatique Madame Lovett ne manque pas d'une vulgarité touchante. Ni que le film n'oublie ni le drame ni la fatalité et, obligeant, esquisse une morale un peu floue, logique, noyée dans l'hémoglobine.
Le mieux, c'est d'aller le voir
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Cloverfield, film américain de science-fiction 2007,
Réalisé par Matt Reeves, avec Michael Stahl-David, Lizzy Caplan, Jessica Lucas, Mike Vogel, T.J. Miller, Odette Yustman, etc
Dès le début, on nous annonce que ce film a été retrouvé dans la zone US4447, anciennement nommé "Central Park"
donc nous pouvons comprendre que personne ne s'en sortira vivant.
Une fête est organisée pur le départ de Rob au Japon, beaucoup de monde,
dont Beth avec qui il a eu une relation, ici dévoilée au grand jour,
son frère Jason avec sa petite amie Lily,
Marlena, un peu stone, et sur laquelle Hud le caméramen d'un soir a des vues,
et beaucoup de figurants.
quelque chose se passe, l'immeuble tremble,
la tête de la Statue de la Liberté est projetée dans la rue,
l'affolement, le pillage, l'intervention de l'armée ...
Nos héros veulent prendre le pont de Broklyn, qui évidemment s'écroule,
Rob reçoit un appel téléphonique de Beth qui est coincée par le mur de son appartement,
il entraîne le petit groupe pour essayer de la sauver.
Ils empruntent le tunnel du métro pour fuir le danger présent en surface,
alors Marlena est mordue par une araignée géante,
ce qui est très mauvais, nous le savons tous ....
Ils délivrent Beth et essaient de rejoindre le dernier hélicoptère de l'armée,
avant le bombardement général et salvateur de Manhatan,
las ...
La forme est très énervante, du moins au début, cette vidéo d'amateur,
comme fait ma cousine, empêche de bien suivre la structure du scénario.
Mais enfin elle essaie de nous montrer objectivement les faits par l'oeil d'un des protagonistes.
Le fond, l'histoire, est assez réjouissante, aucun archétype ni poncif ne nous est épargné.
Hommage est d'ailleurs rendu à un certain nombre de films :
"Them", un King-Kong de l'an 2000 que je ne connais pas et d'autres.
Il y a évidement du Godzilla, de la Tour Infernale, du New-York 1997,bref tout ce que nous avons tous apprécié.
A voir donc pour les afficionados, mais pas pour les béotiens.
Dernière modification par Dr Mabuse (11-02-2008 12:52:36)
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Le nouvel Indiana Jones,
ne ratez pas la bande-annonce :
http://www.allocine.fr/video/player_gen … EPR-8.html
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Le site officiel :
http://www.indianajones.com/site/index.html
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Ciné toujours, est-ce que cette adaptation (pas lu ni vu vaut quelque chose,
Steven Gould (USA 04/02/1955- )
Jumper (Tor Books, NY 1982).
- Id. Doug Liman, USA 2008 (88mn; USA 90mn -adaptation David S. Goyer, Jim Uhls & Simon Kinberg).
(Sinon, pas ciné : qlqu'un connait-il Marvin Petal, ou sa nouvelle _The Depository_ qui serait à l'origine d'une Twilighterie écrite par Serling :
- Cinq personnages en quête d’une sortie (Five Characters in Search of an Exit) Lamont Johnson 22/12/1961 (Épisode #79 de la collection La quatrième dimension -adaptation Rod Serling).
Jeam, notes de travail sur les adaptations en cours de reconstructions, pour qui ça intéresse viendez partager vos commentaires et connoissances sur http://fr.groups.yahoo.com/group/TagAdapt/ comme ça je polluerai moins les forums avec des questions bêtes :-)
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Wall-E, le nouveau dessin animé de Pixar était déjà annoncé (pour juin), et de nouvelles bandes annonces ont fait leur apparition : http://www.apple.com/trailers/disney/walle/index.html (le "vacuum vignette", qui est plus gag qu'une bande annonce, mais bien représentatif du "personnage", vaut le détour)
Voir aussi ici : http://disney.go.com/disneypictures/wall-e/
Assez tentant
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Oui, ça a l'air très rigolo.
C'est marrant, à chaque fois que je vois la fameuse lampe Pixar, j'ai un petit coup au coeur, nostalgie et tout. C'est une des premières animes que j'ai récupérée sur une vieille disquette du temps de l'Atari ST, la maman lampe et son petit, très mignon. Et l'on s'ébaudissait déjà sur la qualité technique, esthétique et humoristique
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Jumper, de Doug Liman - pas lu le livre, mais le film est une série B sympa si l'on se contente des très bonnes scènes d'action, et si l'on met au placard toute exigence quant à la psychologie des personnages et aux explications...
Les Jumpers "jumpent" et les Palladins veulent les tuer parce que... c'est comme ça !
En plus, il y a Anakin Skywalker et Mace Windu qui n'arrêtent pas de se friter, et ça c'est pas mal...
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Black Sheep film néo-zélandais (2006).
de Jonathan King, avec Nathan Meister, Peter Feeney, Tammy Davis
J'avais déjà vu la bande-annonce il y quelques mois, je ne sais plus où, c'est bien ce film là.
Suite à des expériences douteuses, les moutons sont devenus carnivores,
avides de chair humaine, les hommes mordus sont contaminés et se transforment à leur tour en moutons carnivores.
Je pourrais en dire plus, mais, vous avez vu "Les Oiseaux", "La Nuit des Morts Vivants", et quelques autres,
vous avez eu raison, moi aussi, le réalisateur itou.
Ce n'est pas un très grand film, mais vous passerez un bon moment, j'ai franchement rigolé
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Doomsday film britannique 2008
réalisé par Neil Marshall, avec Rhona Mitra, Bob Hoskins, , Adrian Lester, Malcolm McDowell, etc ...
Un virus, "Le Faucheur", apparait à Glasgow, évidemment, aucun antidote n'existe et la population entière est prise de folie meurtrière et cannibale, c'est "28 jours plus tard",
L'Angleterre construit un mur qui isole l'Ecosse, aussi bien par terre que par mer ouf!.
Hélas 25 ans après, "Le Faucheur " est détecté à Londres, c'est "28 semaines plus tard", le gouvernement qui avait vu par satellite la vie réapparaitre en Ecosse,
expédie un commando dans les terres maudites pour ramener le vaccin que l'on suppose trouvé par un docteur abandonné lors de la fermeture, c'est "New-York 1997",
Une rencontre dans les rues de Glasgow avec des iroquois allumés, c'est "Mad Max 3"
Puis une excursion sur les terres du Clan Campbell, genre "Excalibur", un petit combat entre David et Goliath, seul Goliath n'avait pas vu le film.
une poursuite automobile pour nous rappeler "Mad Max 2", un petit James Bond en passant, j'ai oublié lequel, je crois celui avec Sean Connery vieux,
la rencontre avec le gouvernement, c'est "Los Angelès 2025".
La scène finale que je ne vous dévoilerais pas, mais que vous pouvez deviner
Un grand film de série B, Z si vous préférez, Rhona Mitra que je ne connaissais pas, très bonne dans le rôle de l'incassable, façon "Just call me Snake",
Bob Hoskins, son chef et son soutien indéfectible,
Adrian Lester membre du commando, Malcolm McDowell en médecin fou,
Alexander Siddig et David O'Hara, les politiques, pourris dîtes-vous, c'est la règle , etc ...
Voila un film qui m'a réjoui, beaucoup plus que ce que je m'y attendais .
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_g … 24309.html
http://www.doomsdayiscoming.com/
Dernière modification par Dr Mabuse (04-04-2008 00:31:42)
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pour snarkhunter :
Tu ne nous a pas encore dit quels films tu as vu, ce que tu en as pensé, et comme ta vie a été influençée par ces madeleines
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pour snarkhunter :
Tu ne nous a pas encore dit quels films tu as vu, ce que tu en as pensé, et comme ta vie a été influençée par ces madeleines http://static.home-of-smilies.de/smilie … ey_866.gif
C'est exact. Mais je viens d'arriver sur le site, alors je n'avais pas envie de vous "inonder" d'informations personnelles et de listes de "favoris" en tout genre !
J'aime bien voir - ou découvrir - des films. Mais je ne me considère certainement pas comme un "cinéphile" pour autant. Et moins encore "averti". Une preuve ? Eh bien, je n'ai pas mis les pieds dans une salle de cinéma depuis l'été 1995, par exemple : si, ça, c'est pas une preuve, hein !
En fait, depuis l'achat d'un premier lecteur de DVD "de salon", à la fin de l'été 2000 (... qui fonctionne encore très bien), je me suis assez vite redirigé vers ce support. Compte tenu de l'incertitude grandissante en ce qui concerne la durée de vie réelle du support, je ne sais pas si c'était un choix judicieux. Mais il est trop tard pour en juger. La technologie "Blue-Ray" ne m'inspire absolument rien pour le moment. Je préfère ma collection de DVD, dont des pièces qui sont devenues "rares", étant donné la faible durée de vie de la plupart des titres sur le marché.
De toute façon, la "durée de vie"... j'ai des CD qui sont devenus inutilisables, alors que presque jamais utilisés ! Je pense qu'il y a de vrais problèmes avec ce que certains éditeurs mettent en vente.
Mes choix peuvent être déterminés par des acteurs ou réalisateurs que j'apprécie particulièrement, sans me préoccuper de ce que la critique peut en dire. Ou par la simple curiosité. Ou encore par la confiance dans certaines personnes de mon entourage, lorsque celles-ci me font des recommandations. Bref, il n'y a rien d'exceptionnel là-dedans.
D'autre part, j'ai la chance que mon niveau d'anglais me permette en général de suivre (plus ou moins bien, selon l'origine et le talent des acteurs concernés) des productions en V.O. non sous-titrée (dans le pire des cas), ou bien sous-titrées en anglais. C'est intéressant, puisque cela met à ma portée des films ou séries que les distributeurs français ne semblent pas intéressés à nous proposer. Quand on voit la quantité de m... mises en vente - et vendues ! - , en regard du nombre de chefs-d'oeuvre toujours pas disponibles, c'est bien attristant.
Sinon, "comment ma vie a été influencée", je ne saurais le dire exactement. Mais une chose est cependant certaine : il y a des films que j'apprécie pour leurs seules qualités distrayantes, et d'autres qui m'ont au contraire ému jusqu'aux larmes, et pas forcément des "drames" ! Et il y a aussi des films, parfois très mineurs, que l'on aime pour des raisons purement "affectives".
Je donnerai des exemples de ce que j'ai aimé - ou pas - ultérieurement...
"What I tell you three times is true."
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C'est exact. Mais je viens d'arriver sur le site, alors je n'avais pas envie de vous "inonder" d'informations personnelles et de listes de "favoris" en tout genre !
...
Je donnerai des exemples de ce que j'ai aimé - ou pas - ultérieurement...
Merci
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Indiana Jones et le Royaume du Crâne de Cristal, film américain 2008, genre SF
Réalisé par Steven Spielberg, producteur exécutif George Lucas
avec Harrison Ford, Cate Blanchett, Karen Allen, Shia LaBeouf, Ray Winstone, John Hurt, etc ...
Des espions russes menés par Irina Spalko, colonel chou-chou de Staline et spécialiste des phénomènes supra-normaux, font un coup de force sur l'entrepôt américain où le gouvernement range les choses secrètes et qui doivent demeurer cachées. Indiana' Jones y a été entrainé contre son gré pour les aider à retrouver un sarcophage contenant un extra-terrestre.
Le même jour, l'armée américaine faisant un essai d'arme atomique, seuls les pls forts et les plus astucieux survivent.
Poursuivi par le FBI et le maccathysme, Indy quitte son poste d'enseignant, lorsqu'il est approché par "Mutt", jeune motard qui lui remet une lettre du professeur Oxley, c'est un message codé qui doit les mettre sur la piste de la cité de l'or et du "crâne de cristal".
Suivent de nombreux épisodes avec coures poursuites, sables mouvants, fourmis rouges, morts vivants, pièges diaboliques, civilisations disparues, falaises abruptes, cascades pleines d'eau, ...
J'en oublie, rajoutez tout ce que vous voulez, peau de banane, râteau, bouche d'égout, pots de fleur, etc ...
Le film a sûrement été fait pour me faire rire, mais comme il aurait été fait en 1989, sans un poil d'auto-dérision.
Spielberg et Lucas ont cru malin de rajouter des références à American Graffiti, Rusy James et d'autres films d'époque, j'espère que ce sont des références, sinon quelles catastrophes.
La qualité de ce genre de film se mesure souvent à l'aune des méchants, ici Cate Blanchet en Irina Spalko est parfaite.
Hélas, elle ne peut pas tout faire et la magie n'a pas opéré.
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Indiana Jones et le Royaume du Crâne de Cristal, film américain 2008, genre SF
Réalisé par Steven Spielberg, producteur exécutif George Lucas
avec Harrison Ford, Cate Blanchett, Karen Allen, Shia LaBeouf, Ray Winstone, John Hurt, etc ...
...Spielberg et Lucas ont cru malin de rajouter des références à American Graffiti, Rusy James et d'autres films d'époque, j'espère que ce sont des références, sinon quelles catastrophes.....
Il n'y a pas de "à peu près" chez eux. Tout est pensé.
Ce n'est pas qu'ils aient mis des références, mais le film se passe à l'époque de ces films. Rien d'anormal donc.
Ceci dit, je ne l'ai pas encore vu car j'ai peur d'être déçu. Un, parce que 20 ans, déjà, se sont passés et la BA, pleine de SFX, m'a un peu refroidi.
Un point positif, pour ma collectionnite aigüe, c'est un merchandising à la hauteur. Enfin, oserai-je dire car pour Indy, faut vraiment chercher ce qui s'est fait au moment de la sortie des films.
On trouvait des trucs seulement à EuroDisney.
...
À propos de Spielberg, un excellent "Spielberg par Spielberg" passe de temps en temps sur Sci-Fi.
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snarkhunter a écrit :C'est exact. Mais je viens d'arriver sur le site, alors je n'avais pas envie de vous "inonder" d'informations personnelles et de listes de "favoris" en tout genre !
Merci
Bin dis donc qu'est-ce que ce serait alors...
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Dr Mabuse a écrit :snarkhunter a écrit :C'est exact. Mais je viens d'arriver sur le site, alors je n'avais pas envie de vous "inonder" d'informations personnelles et de listes de "favoris" en tout genre !
Merci
Bin dis donc qu'est-ce que ce serait alors...
Bin, venant d'arriver, je me suis seulement efforcé de participer un minimum. Mais je ne crois pas avoir abusé sur le chapitre des "listes" !
"What I tell you three times is true."
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Si vous êtes fans de Stephen Chow, vous pouvez tout de même vous passez de voir son dernier film, CJ7.
Le gosse d'un ouvrier très pauvre (Chow), souffre-douleur dans l'école privé où son père l'a envoyé, recueille un drôle de chien extra-terrestre aux pouvoirs étonnants.
En totale rupture avec les films précédents du réalisateur, celui-là est plutôt orienté vers les gamins. Quelques (rares) moments magiques comme Chow sait si bien les faire, mais pas grand chose de plus.
Dispensable, donc.
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Il est sorti directement en DVD ou il est au cinéma actuellement? ou il va sortir?
Il ne bénéficie pas du battage de Crazy Kung Fu en tout cas (qui m'avait bien rire, très fort ce western-martial-super héros).
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Il est sorti directement en DVD ou il est au cinéma actuellement? ou il va sortir?
Aucune idée.
Il ne bénéficie pas du battage de Crazy Kung Fu en tout cas (qui m'avait bien rire, très fort ce western-martial-super héros).
Je l'adore, mais préfère encore "Shaolin Soccer".
Ses oeuvres antérieures sont également à savourer, même si elles sont tout de même moins spectaculaires : Bons baisers de Pékin, God of Cookery, King of Comedy, etc.
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Je vais chercher alors pour voir quand même, tant pis si c'est une daube.
Shaolin Soccer était très drôle aussi mais j'admets que Bons Baisers de Pékin m'a quasiment fait tomber de rire, je ne connais pas les deux autres.
Dans le genre sportif déjanté asiatique, j'ai perdu un titre, tu connais peut-être : des matches de basket ou de hand avec des zombies, en environnement scolaire je crois, j'ai un souvenir d'un film très sympathique. Pas moyen de me rappeler du titre.
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