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"La Kallocaïne" fut édité pour la première fois en France en 1947 aux éditions Fortuny "Coll. Les Ecrivains du Monde".
Dernière modification par Belzébuth (14-12-2005 19:57:15)
Le danger de devenir idiots n'est pas de nature à effrayer les hommes, car, à tout prendre, ça ne les changera pas beaucoup. Jacques Spitz
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"La Kallocaïne" fut édité pour la première fois en France en 1947 aux éditions Fortuny "Coll. Les Ecrivains du Monde".
Tiens, j'avais l'info, mais elle était restée en commentaire...
Merci ! Page mise à jour : Karin Boye.
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Et une photo de l'auteure, une ! avec son Underwood !
Le danger de devenir idiots n'est pas de nature à effrayer les hommes, car, à tout prendre, ça ne les changera pas beaucoup. Jacques Spitz
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Et le lien vers un site qui lui est consacré : http://www.karinboye.se/index.shtml (euh... pour ceux qui parlent le Suédois, mais y'a des photos ).
Le danger de devenir idiots n'est pas de nature à effrayer les hommes, car, à tout prendre, ça ne les changera pas beaucoup. Jacques Spitz
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T'es sûr que t'aurais pas pu trouver des sites avec des photos de Suédois plus affriolantes ?
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Une contre-utopie vraiment passionnante mais assez déprimente.A noter que Francis Valéry avait également réédité cet ouvrage dans sa défunte et éphémére collection consacrée à des textes rares et introuvables(j'ai oublié le nom) mais je ne suis pas trés sur,je suis à mon travail et je ne peux donc vérifier.Ce qui est sur c'est que notre célébre Bordelais devait ressortir dans cette meme collection un autre ouvrage trés rare de Jules Hoche:"Le faiseur d'hommes et sa formule" (jamais parru)l'édition originale m'est passée sous le nez, raflé de peu par un habitant du coin.......
Il me semble également que dans cette réédition de "La kallocaine" Valéry avait fait une petite étude sur la Sf en Suéde
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Bon je viens de rentrer et de vérifier les références du Karin Boye.
Date de parrution,1988 Editions "OREA" collection "Les Hypermondes" 232 pages dont 33 consacrées à "un panorama des utopies et anticipations scandinaves des origines a 1940"
Sur le dessin de couverture ou voit un cerveau dans lequel est planté une seringue injectant un liquide vert.....probablement de la Kallocaine.
Sont annoncés à paraitre dans la meme collection:
-"Le faiseur d'hommes" de Jules Hoche
-"Cent ans aprés ou l'an 2000" de Edward Bellamy
Le peu de chose que l'on peut apprendre dans ce volume est la date de naissance de l'auteur,1900 à Joteborg et qu'elle se donna la mort,seule au sommet d'une montagne un an aprés la publication de la Kallocaine.
Petit rappel pour les ignorants:
Leo Kall habitant de la ville des chimistes No 4 vient d'inventer un sérum de vérite permettant un controle absolu sur les citoyens déjà soumis à la surveillance perpétuelle de l'oeil et de l'oreille de la police.Grace à la Kallocaine,meme les pensées les plus secrétes ou les convictions les plus profondément enfouies,pourront etre dévoilées,analysées...C'est ainsi que sera découverte l'existence d'un groupe dont le but est de créer un esprti nouveau plus conforme aux aspirations des habitants de l'état mondial.....
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Bon je viens de rentrer et de vérifier les références du Karin Boye.
Date de parrution,1988 Editions "OREA" collection "Les Hypermondes" 232 pages dont 33 consacrées à "un panorama des utopies et anticipations scandinaves des origines a 1940"
Sur le dessin de couverture ou voit un cerveau dans lequel est planté une seringue injectant un liquide vert.....probablement de la Kallocaine.
Sont annoncés à paraitre dans la meme collection:-"Le faiseur d'hommes" de Jules Hoche
-"Cent ans aprés ou l'an 2000" de Edward Bellamy
Les deux éditions étaient parues quasi simultanément en 88.
La collection de Valéry a coulé après les éditions Ombres eurent intenté une action contre Orea, qui n'avait pas payé l'autorisation de reproduire le texte...
Sur une colline de Scandinavie, par un beau soir de l'an 2082, un homme marchait d'un pas rapide. Un vent léger soulevait son immense cape noire et agitait mollement ses longs cheveux d'un blanc soyeux. Cet étrange personnage était Warner Ohberg, un prestigieux savant dont le génie paraissait bien proche de la folie (L. Massiéra, Le voleur d'océans, 1955, Mon roman d'aventures 346)
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