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A propos de Messac, Joseph Altairac m'a posé récemment une question à propos d'une nouvelle que je ne connaissais pas non plus. La voilà :
En lisant un article de Bridenne sur Messac dans un vieux "Fiction", je le vois mentionner une nouvelle de Messac (peut-être parue sous pseudo) et intitulée "La Taupe d'or". Sais-tu où elle est parue, et de quoi elle parle?
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Un article intéressant sur Messac sur le site :
http://www.lmda.net/din2/n_egar.php?Eg=MAT025101
Dernière modification par Belzébuth (25-11-2005 10:14:35)
Le danger de devenir idiots n'est pas de nature à effrayer les hommes, car, à tout prendre, ça ne les changera pas beaucoup. Jacques Spitz
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Intéressant et documenté l'article de M. Dussert, bien que plutôt superficiel. De plus, pour le cas où vous souhaiteriez utilser ses informations, je me permets de vous signaler quelques erreurs relevées dans son papier.
§ 5 : il faut lire : Ecole normale supérieure, et non : Ecole normale ;
§ 5 : il faut lire : en 1922, il est reçu à l'agrégation puis il enseigne à Auch, et non : en 1922, tandis qu'il enseigne à Auch, est reçu à l'agrégation :
§ 5 : il fut lire: Canada où il réside durant cinq ans, et non : Canada où il réside durant quatre ans ;
§ 7 : il faut lire : le Quotidien, et non la Quotidienne ;
§ 7 : sans doute conviendrait-il ici de rappeler que Messac fut rédacteur en chef des Primaires de 1930 à 1940 ;
§ 8 : mieux vaut lire : Nouvel Âge, le journal de Georges Valois, que : Nouvel Âge, le journal d'Henry Poulaille ;
§ 8 : il faut lire : A bas le latin ! (La Fenêtre ouverte, 1934), et non : A bas le latin ! (La Porte ouverte, 1933) ;
§ 9 : il faut lire : du Voyage de Néania, et non : des Voyages de Néania :
§ 9 : il faut lire : Edition Spéciale [Lattès], et non : les Editions Spéciales [Lattès] ;
§ 11 : il faut lire : Condamné à un an de prison, et non : Condamné à dix ans de prison ;
§ 11 : il faut lire : il est déporté Nacht und Nebel, et non : il est déporté sans raison ;
§ 11 : il faut lire : où il meurt vraisemblablement en février ou mars 1945, et non : où il meurt en 1944 ;
§ 12 : il faut lire : bibliomane et non bibliophage.
Merci des corrections.
Et pour ma question sur "La Taupe d'or", pas d'infos ?
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Et pour ma question sur "La Taupe d'or", pas d'infos ?
Non pas pour l'instant, mais je cherche
Le danger de devenir idiots n'est pas de nature à effrayer les hommes, car, à tout prendre, ça ne les changera pas beaucoup. Jacques Spitz
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Coucou Dave et Belzebuth les duettistes en ligne !
Faudra creuser longtemps !
Dans mes souvenirs de vieil érudit, ça a été publié en feuilleton dans un quotidien, sous un des invraisemblables pseudos qu'affectionnait ce cher Messac !
Mais tout cela est si vieux...
Je vérifierai à l'occasion.
Sur une colline de Scandinavie, par un beau soir de l'an 2082, un homme marchait d'un pas rapide. Un vent léger soulevait son immense cape noire et agitait mollement ses longs cheveux d'un blanc soyeux. Cet étrange personnage était Warner Ohberg, un prestigieux savant dont le génie paraissait bien proche de la folie (L. Massiéra, Le voleur d'océans, 1955, Mon roman d'aventures 346)
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La réponse en fait est contenue dans le message du camarade Totofouinard.
Il faut lire : a été publié en feuilleton dans le Quotidien, et non a été publié en feuilleton dans un quotidien.
Aurait-on affaire au petit-fils de l'intéressé ?
(Que j'avais dans mon carnet d'adresses électroniques avant qu'un inopiné "crash disk" ne le purge à mon grand dam...)
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Les descendants de Régis Messac sont nombreux. Je ne peux, hélas, pas grand chose pour vous aider. Toutefois, avec un bon moteur de recherche, il devrait être facile de trouver l'e-mail de certains d'entre-eux sur Internet, et leur téléphone sur l'annuaire.
La réponse en fait est contenue dans le message du camarade Totofouinard.
Il faut lire : a été publié en feuilleton dans le Quotidien, et non a été publié en feuilleton dans un quotidien.
Merci, exactement, c'est tout à fait ça, ça m'est revenu après, j'allais comme qui dirait le dire ;-)
A l'époque on avait des tas de journaux plein de vieille SF, on devait s'abonner au Matin, à l'Intransigeant, Excelsior et pleins d'autres pour lire les derniers de La Hire, G.-Toudouze, Didelot en préoriginale, maintenant y a plus rien dans les journaux, la presse est nulle ! -)
D'ailleurs, j'espère que dans le prochain dictionnaire de SF on s'occupera un peu des journaux, parce que ya rien non plus comme doc là-dessus, c'est une pitié de voir ça ;-)
Sur une colline de Scandinavie, par un beau soir de l'an 2082, un homme marchait d'un pas rapide. Un vent léger soulevait son immense cape noire et agitait mollement ses longs cheveux d'un blanc soyeux. Cet étrange personnage était Warner Ohberg, un prestigieux savant dont le génie paraissait bien proche de la folie (L. Massiéra, Le voleur d'océans, 1955, Mon roman d'aventures 346)
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Les ayants droits des oeuvres de Régis Messac, en particulier Olivier Messac peuvent être rejoints à la Société des amis de Régis Messac [SARM@wanadoo.fr]. A savoir que les oeuvres de Messac sont maintenant sans droits d'auteur au Canada (fin de l'année du décès + 50 ans) and dans les autres pays ayant le même système, mais ces droits sont toujours en vigueur ailleurs dans le monde.
Bien à vous, G. Dodds
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Extrait de "A bas le latin !" ( Les Primaires / éditions de la fenêtre ouverte )
"Il serait assurément séduisant de se laisser aller ici à une espèce de rêve, qui pourrait s'intituler : Si j'étais ministre, et où l'on se représenterait l'enseignement de l'avenir dans une espèce d'anticipation à la Wells. J'ai fait souvent ce rêve. J'ai rêvé d'un enseignement très proche de la vie, intimement mêlé aux réalités, presque entièrement concret, en contact continuel avec les choses. Je voudrais qu'on apprit la géométrie aux enfants en leur faisant palper des pierres de taille et manier la chaîne d'arpenteur au milieu des champs, l'histoire naturelle en élevant des insectes, et les langues étrangères en les faisant voyager dans les pays étrangers. J'ai rêvé d'une classe itinérante sans cesse en mouvement, toujours dehors. De même qu'il y a eu des trains exposition et des paquebots exposition, je voudrais qu'il y eût des trains-écoles et des collèges-paquebots, qui feraient le tour du monde, non pas en quatre-vingts jours, ce qui m'a toujours semblé bien sot, mais en deux ans, et en s'arrêtant partout, avec des tours et des détours, à la Montaigne."
( page 95 )
C'est le seul passage où il aborde un tant soit peu l'anticipation. Tout le reste est un traité sur l'éducation.
Pour qu'il y ait le moins de mécontents possible, il faut toujours taper sur les mêmes
( devise shadock )
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De Messac, je connais quelqu'un qui possède ça : LES VOYAGES DANS LE TEMPS, paru dans "La
Science Moderne" en 1930 sous forme de texte électronique,il peut me l'envoyer par mail, s'rai sympa
Ouppss pas la peine je l'ai récupéré sur TIF (désolé, mais au moins l'info passe ...).
Dernière modification par Belzébuth (15-12-2005 23:27:29)
Le danger de devenir idiots n'est pas de nature à effrayer les hommes, car, à tout prendre, ça ne les changera pas beaucoup. Jacques Spitz
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Et pour ma question sur "La Taupe d'or", pas d'infos ?
En consultant mes notes, je vois que la Taupe d'or est un roman policier du temps de la prohibition, sur le thème de la contrebande entre le Canada et les Etats-Unis. La taupe d'or se réfère à la fois à un tunnel entre les deux pays permettant cette contrebande d'alcool et au chef occulte du réseau, qui n'est autre que le maire du patelin. Tout se résoud dans une déflagration qui détruit le souterrain, la bande et son chef, qui a droit à toutes les considérations posthumes car son rôle occulte n'a pas été découvert. Le personnage du détective est un français qui comprend imparfaitement l'anglais, ce qui ajoute d'amusantes situations de quiproquos.
La question qui se pose est de savoir pourquoi cet intéressant roman n'est jamais paru en librairie.
Sur une colline de Scandinavie, par un beau soir de l'an 2082, un homme marchait d'un pas rapide. Un vent léger soulevait son immense cape noire et agitait mollement ses longs cheveux d'un blanc soyeux. Cet étrange personnage était Warner Ohberg, un prestigieux savant dont le génie paraissait bien proche de la folie (L. Massiéra, Le voleur d'océans, 1955, Mon roman d'aventures 346)
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En consultant mes notes, je vois que la Taupe d'or est un roman policier du temps de la prohibition, sur le thème de la contrebande entre le Canada et les Etats-Unis. La taupe d'or se réfère à la fois à un tunnel entre les deux pays permettant cette contrebande d'alcool et au chef occulte du réseau, qui n'est autre que le maire du patelin. Tout se résoud dans une déflagration qui détruit le souterrain, la bande et son chef, qui a droit à toutes les considérations posthumes car son rôle occulte n'a pas été découvert. Le personnage du détective est un français qui comprend imparfaitement l'anglais, ce qui ajoute d'amusantes situations de quiproquos.
Eh bien voilà une réponse vraiment intéressante. Merci. Reste à savoir, où et comment trouver aujourd'hui, ce roman (feuilleton), si ce n'est à la Nationale. En auriez-vous (par hasard) une version originale ou une copie ?
Dave O'Brien a écrit :Et pour ma question sur "La Taupe d'or", pas d'infos ?
En consultant mes notes, je vois que la Taupe d'or est un roman policier du temps de la prohibition, sur le thème de la contrebande entre le Canada et les Etats-Unis. La taupe d'or se réfère à la fois à un tunnel entre les deux pays permettant cette contrebande d'alcool et au chef occulte du réseau, qui n'est autre que le maire du patelin. Tout se résoud dans une déflagration qui détruit le souterrain, la bande et son chef, qui a droit à toutes les considérations posthumes car son rôle occulte n'a pas été découvert. Le personnage du détective est un français qui comprend imparfaitement l'anglais, ce qui ajoute d'amusantes situations de quiproquos.
La question qui se pose est de savoir pourquoi cet intéressant roman n'est jamais paru en librairie.
Pas SF, alors ?
(Même si le roman a été référencé par Oncle Joe et Guitounet dans leur étude, ce qui est moyennement une preuve, apparemment ! )
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La question qui se pose est de savoir pourquoi cet intéressant roman n'est jamais paru en librairie ?
Question très pertinente en effet, pour laquelle il y a une multitude de réponses que je n'aurai pas la prétention d'évoquer ici. Cela dit, on peut prétendre sans risque que l'œuvre de Messac - d'une richesse infinie - est aujourd'hui totalement tombée dans l'oubli. Ses lecteurs sont morts ou n'ont plus d'âge.
Mis à par sa thèse dont on nous rebat les oreilles (à défaut d'avoir accès au reste) et deux ou trois de ses romans, tout le reste est éparpillé, atomisé, dans une vingtaine de revues aujord'hui introuvables. Quant aux éditeurs, qui ne travaillent plus qu'à flux tendus, il ne se trouve plus de Jean-Jacques Pauvert pour faire sortir de l'ombre les multiples études d'un Messac en recherche permanente de vérité, toujours riches d'idées et d'expérience et de nature à provoquer un intérêt passionné du public. D'ailleurs, s'en est-il jamais trouvé ? Et puis, ne faut-il pas y voir un juste retour des choses dans la mesure ou Messac, qui a consacré sa vie et son énergie à combattre " les forces sournoises d'abrutissement et d'exploitation populaires ", s'en prend tout au long de ses écrits aux éditeurs et leurs traducteurs à gages qu’il a pris maintes fois en flagrant délit de contresens et d’impropriété.
Enfin et surtout, il faut tenir compte de la cohérence autant que du paradoxe que représentent les idées d'un homme qui refusait les collaborations payées que lui proposaient journaux et grandes revues, qui préférait rester méconnu plutôt que prostituer son intelligence et sa pensée. " Ce doit être, écrit P. Gibelin dans la revue Masses, un grand réconfort pour le peuple dont [il] se réclame. "
Pas SF, alors ?
(Même si le roman a été référencé par Oncle Joe et Guitounet dans leur étude, ce qui est moyennement une preuve, apparemment ! )
Le résumé ne fait pas apparaître la moindre once de goutte d'alcool de SF distillée
Apparemment le tandem des fossoyeurs fous référence n'importe quoi ! Je crois surtout qu'ils ne peuvent pas référencer ce qu'ils n'ont pas lu, et qu'ils ne vont pas référencer celui-ci, sinon ils vont aussi inclure le tunnel sous la Manche
Sur une colline de Scandinavie, par un beau soir de l'an 2082, un homme marchait d'un pas rapide. Un vent léger soulevait son immense cape noire et agitait mollement ses longs cheveux d'un blanc soyeux. Cet étrange personnage était Warner Ohberg, un prestigieux savant dont le génie paraissait bien proche de la folie (L. Massiéra, Le voleur d'océans, 1955, Mon roman d'aventures 346)
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Question très pertinente en effet, pour laquelle il y a une multitude de réponses que je n'aurai pas la prétention d'évoquer ici. Cela dit, on peut prétendre sans risque que l'œuvre de Messac - d'une richesse infinie - est aujourd'hui totalement tombée dans l'oubli. Ses lecteurs sont morts ou n'ont plus d'âge.
Sont pas tous morts ses lecteurs ! Il n'est pas oublié, Messac ! On peut prétendre, sans risque, qu'il est même plus connu aujourd'hui que de son vivant.
Ceci dit, la question est, plus précisément, de savoir pourquoi plusieurs romans ne sont pas parus de son vivant en librairie, notamment dans les circuits de petite diffusion auxquels il avait accès (Amitié par le livre, Ed. de la Fenêtre ouverte). Mais, pour un roman policier, il aurait pu trouver un éditeur - les collections pullulaient (déjà) dans les années 30, y compris chez les petits éditeurs.
Certes, il se complaisait dans l'anonymat, le refus de notoriété, de publicité, de compromission avec un système, etc., mais cela n'allait pas jusqu'à la non-publication absolue. Sans doute le manque de temps, de moyen, de motivation peuvent expliquer cela, au grand regret de ses lecteurs potentiels, passés, présents et futurs.
Dernière modification par Totofouinard (03-01-2006 18:54:55)
Sur une colline de Scandinavie, par un beau soir de l'an 2082, un homme marchait d'un pas rapide. Un vent léger soulevait son immense cape noire et agitait mollement ses longs cheveux d'un blanc soyeux. Cet étrange personnage était Warner Ohberg, un prestigieux savant dont le génie paraissait bien proche de la folie (L. Massiéra, Le voleur d'océans, 1955, Mon roman d'aventures 346)
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Ah ! Nous entrons dans la polémique ! Eh bien pourquoi pas ? Un forum c'est fait pour ça, non ? Vous dites, cher Fouinard, " que l'on peut prétendre, sans risque, que Messac est plus connu aujourd'hui que de son vivant ". Mais vous avez bien sûr raison ; et de par le monde entier même, puisque ses livres ont été traduits jusqu'en Amérique du sud et au Japon. Mais qu'est-ce qu'il en connaît ce public ? Quinzinzinzili, la Cité des asphyxiés, Valcrétin, Musique arachnéenne et peut-être aussi le " Détective Novel " dont il a seulement entendu parler. Mais qu'est-ce que ça représente tout ça ? Même pas la partie visible de l'iceberg. Et vous le savez bien, vous qui avez accès à des numéros des Primaires et qui pouvez aisément parler de la Taupe d'or. Mais demandez aux gens de BDFI ce qu'ils en pensent ; allez voir ce qu'on trouve comme informations biographiques et bibliographiques à la page :
[color] http://www.bdfi.net/auteurs/m/messac_regis.htm [/color]
Allons voir encore sur d'autres sites et dans les dicos en tout genre, et nous nous mesurerons au volume d'information publié si Messac est plus connu aujourd'hui qu'hier. Son nom, oui, sans doute ; mais au-delà de sa personne ? Son œuvre ? C'est pourquoi je vous rejoins plutôt quand vous écrivez par ailleurs : " Espérons que dans l'avenir des efforts seront consentis pour que cette situation soit modifiée dans un sens favorable à une meilleure (re)connaissance des travaux, écrits et activités de Régis Messac. "
Son œuvre ? C'est pourquoi je vous rejoins plutôt quand vous écrivez par ailleurs : " Espérons que dans l'avenir des efforts seront consentis pour que cette situation soit modifiée dans un sens favorable à une meilleure (re)connaissance des travaux, écrits et activités de Régis Messac. "
Mais que fait la société des amis de Messac cité plus haut par Georges Dodds ? N'est-ce pas le rôle d'une société littéraire de faire connaitre l'oeuvre de celui dont elle se proclame être de ses amis ?
Le danger de devenir idiots n'est pas de nature à effrayer les hommes, car, à tout prendre, ça ne les changera pas beaucoup. Jacques Spitz
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Mais que fait la société des amis de Messac cité plus haut par Georges Dodds ? N'est-ce pas le rôle d'une société littéraire de faire connaitre l'oeuvre de celui dont elle se proclame être de ses amis ?
Pas spécialement. Celle de Hergé, par exemple, sert avant tout à faire des procès à tout ce qui passe et à tirer un max de royalties, apparemment.
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Que fait la Société des amis de Messac ? Encore une bonne question que l'on peut lui poser d'autant qu'on n'en a jamais beaucoup entendu parler.
Mais qu'est-ce qu'il en connaît ce public ? Quinzinzinzili, la Cité des asphyxiés, Valcrétin, Musique arachnéenne et peut-être aussi le " Détective Novel " dont il a seulement entendu parler. Mais qu'est-ce que ça représente tout ça ? Même pas la partie visible de l'iceberg.
(...)
Allons voir encore sur d'autres sites et dans les dicos en tout genre, et nous nous mesurerons au volume d'information publié si Messac est plus connu aujourd'hui qu'hier. Son nom, oui, sans doute ; mais au-delà de sa personne ? Son œuvre ?
Bast, mais c'est vrai de n'importe quel auteur, célèbre ou méconnu. Voltaire a beau être universellement connu, 99 % du grand public n'a rien lu de lui, et dans le meilleur des cas Candide a été plus ou moins étudié à l'école. Qui a lu les oeuvres complètes des grands auteurs ? Plus le public est grand, plus il est dispersé. On a beau avoir les oeuvres archi-complètes de Balzac, seuls quelques spécialistes iront les lire. La notoriété est de toute façon proportionnelle au domaine d'activité de l'individu. Messac s'étant intéressé au roman policier, à la science fiction et aux questions sociales, sa notoriété est grande parmi le public plus ou moins limité que cela intéresse.
Mais c'est vrai que 630 réf sur google pour Messac, c'est un peu mesquin !
Sur une colline de Scandinavie, par un beau soir de l'an 2082, un homme marchait d'un pas rapide. Un vent léger soulevait son immense cape noire et agitait mollement ses longs cheveux d'un blanc soyeux. Cet étrange personnage était Warner Ohberg, un prestigieux savant dont le génie paraissait bien proche de la folie (L. Massiéra, Le voleur d'océans, 1955, Mon roman d'aventures 346)
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Tenez, je viens de trouver ça sur Abebooks : Régis Messac au sommaire de "The Arkam Sampler" de l'hiver 1949 édité par Derleth aux cotés de Clark Ashton Smith, Ray Bradbury, Sam Moskowitz, A.E. Van Vogt, Jules Verne, Peter Viereck, John Beyon Harris, Stephen Grendon Vincent Starrett. Pas mal, non !
Le danger de devenir idiots n'est pas de nature à effrayer les hommes, car, à tout prendre, ça ne les changera pas beaucoup. Jacques Spitz
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Et au sommaire pour quel texte, exactement ?
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Apparemment, ça serait pour un article sur son pote DHK :
David Henry Keller And The Scientific Novel In The United States - Regis Messac
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Et au sommaire pour quel texte, exactement ?
Ils ne le disent pas !
Le danger de devenir idiots n'est pas de nature à effrayer les hommes, car, à tout prendre, ça ne les changera pas beaucoup. Jacques Spitz
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Dave O'Brien a écrit :Et au sommaire pour quel texte, exactement ?
Ils ne le disent pas !
Voir plus haut...
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Bonne pioche, j'avais complètement oublié cette référence. Pourtant, j'avais un index de cette revue. C'est la traduction de son article sur Keller.
Sur une colline de Scandinavie, par un beau soir de l'an 2082, un homme marchait d'un pas rapide. Un vent léger soulevait son immense cape noire et agitait mollement ses longs cheveux d'un blanc soyeux. Cet étrange personnage était Warner Ohberg, un prestigieux savant dont le génie paraissait bien proche de la folie (L. Massiéra, Le voleur d'océans, 1955, Mon roman d'aventures 346)
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Cirroco Jones a écrit :Par contre, j'ai appris qu'un ouvrage était en train d'être réalisé sur cet auteur par Guibert Lejeune à paraître en 2009.
http://www.etab.ac-caen.fr/lebrun/histo … p?choix=11En tout cas, la biblio que l'on y trouve en PDF est plus que sommaire. Les références sont vraiment des plus vagues.
Et jamais entendu parler de ce bouquin :
David H. Keller
LE FOU DU CIEL ET AUTRES CONTES
comprend :
– Le Fou du ciel
– La Lune de miel perpétuelle
– Pourquoi ?
suivi de :
Régis Messac
David H. Keller et le roman scientifique aux États-Unis(Tiens, on a fait dévier le topic, là, non ? )
Voui, et tu as déjà un bout de réponse dans le topic consacré à Régis Messac, Mdr
Apparemment, ça serait pour un article sur son pote DHK :
David Henry Keller And The Scientific Novel In The United States - Regis Messac
Voir : http://www.westcity.org.uk/html/arkham_ … -no_5.html
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Et jamais entendu parler de ce bouquin :
David H. Keller
LE FOU DU CIEL ET AUTRES CONTES
comprend :
– Le Fou du ciel
– La Lune de miel perpétuelle
– Pourquoi ?
suivi de :
Régis Messac
David H. Keller et le roman scientifique aux États-Unis
Dans les Meilleurs Récits de Amazing Stories période 1926/32 de JAcques Sadoul, J'ai Lu n°551 (ça ira pour les réf. ), Jacques Sadoul écrit en présentation d'une nouvelle de David Keller, La Guerre du Lierre (The Ivy War) "Le récit présenté ici n'est théoriquement pas inédit en français. En fait, en 1934, Régis Messac le traduisit sous le même titre, et le publia dans un ouvrage plus que rarissime et que je n'ai jamai vu."
Dans Histoire de la SF moderne domaine français, du même, J'ai lu n°D67, on lit "En 1934, Régis Messac publia aux éditions de la Fenêtre Ouverte, éditeur confidentiel émanation d'un groupement d'instituteurs, deux romans écrits par lui-même Quinzinzinzili et la Cité des asphyxiés, et la Guerre du Lierre du Docteur David H Keller qui est une anthologie de plusieurs nouvelles de cet auteur américain. Cette série, baptisée "Les Hypermondes" n'eut que ces trois parutions et s'éteignit fin 1937."
[EDIT]
Mais d'après BDFI, les titres inclus dans cette anthologie ne sont pas du tout les bons (si je commençais par chercher au plus proche au lieu de me faire mal au dos en fouillant mes étagères!)
Il est disponible là
http://www.galaxidion.com/home/catalogu … rder=alpha
pour la modique somme de 150 euros.
Dernière modification par Cirroco Jones (30-06-2006 17:52:07)
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Une question tout à fait people
Le fils de Régis Messac, Ralph, s'est-il appelé ainsi à la suite de la lecture du roman de Gernsback? Ce n'était vraiment pas un prénom courant à l'époque en France (il est né milieu des années 20); et comme le père venait de passer plusieurs années sur le continent américain d'où il a ramené les prémices d'un fandom français...
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La guerre du lierre n'est pas une édition rarissime, même si certains la vendent (ou essaient de) à un prix exagéré.
Quant au Fou du ciel, ça pourrait être un projet de seconde anthologie avec les autres récits de Keller que Messac a traduit dans les Primaires, y compris son essai sur Keller, qui a aussi été traduit en anglais dans The Arkham Sampler.
Projet qui est resté en rade du fait que la collection s'est arrêtée en 1937.
Sur une colline de Scandinavie, par un beau soir de l'an 2082, un homme marchait d'un pas rapide. Un vent léger soulevait son immense cape noire et agitait mollement ses longs cheveux d'un blanc soyeux. Cet étrange personnage était Warner Ohberg, un prestigieux savant dont le génie paraissait bien proche de la folie (L. Massiéra, Le voleur d'océans, 1955, Mon roman d'aventures 346)
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Dans les Meilleurs Récits de Amazing Stories période 1926/32 de JAcques Sadoul, J'ai Lu n°551 (ça ira pour les réf. ), Jacques Sadoul écrit en présentation d'une nouvelle de David Keller, La Guerre du Lierre (The Ivy War) "Le récit présenté ici n'est théoriquement pas inédit en français. En fait, en 1934, Régis Messac le traduisit sous le même titre, et le publia dans un ouvrage plus que rarissime et que je n'ai jamai vu."
Dans Histoire de la SF moderne domaine français, du même, J'ai lu n°D67, on lit "En 1934, Régis Messac publia aux éditions de la Fenêtre Ouverte, éditeur confidentiel émanation d'un groupement d'instituteurs, deux romans écrits par lui-même Quinzinzinzili et la Cité des asphyxiés, et la Guerre du Lierre du Docteur David H Keller qui est une anthologie de plusieurs nouvelles de cet auteur américain. Cette série, baptisée "Les Hypermondes" n'eut que ces trois parutions et s'éteignit fin 1937."
[EDIT]
Mais d'après BDFI, les titres inclus dans cette anthologie ne sont pas du tout les bons (si je commençais par chercher au plus proche au lieu de me faire mal au dos en fouillant mes étagères!)Il est disponible là
http://www.galaxidion.com/home/catalogu … rder=alpha
pour la modique somme de 150 euros.
C'est par solidarité avec les deux cyber-buses ( ) que tu te mets au diapason et réponds à côté de la question ?
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Je vois que nous avons un nouvel inscrit, Olivier Messac, Bonjour bonjour!
Peut-être voudra-t-il bien apporter quelques réponses plus pointues?
(j'ai arpenté internet et ce que j'ai trouvé et juste une mise en bouche sur une personnalité qui m'a l'air de plus en plus passionnante, je me suis retrouvée en train de parcourir tout un site sur la résistance en Normandie pour mieux comprendre; qui disait qu'on n'était pas poussé à penser ici! )
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Une question tout à fait people
Le fils de Régis Messac, Ralph, s'est-il appelé ainsi à la suite de la lecture du roman de Gernsback? Ce n'était vraiment pas un prénom courant à l'époque en France (il est né milieu des années 20); et comme le père venait de passer plusieurs années sur le continent américain d'où il a ramené les prémices d'un fandom français...
Le prénom de Ralph, fils de Régis, fait bien référence à Ralph 124C 41+. Cependant, ce n'est pas au retour du séjour américain de la famille (1924-1929) que le prénom a été déclaré à l'état civil, mais en septembre 24 quelques jours ou quelques semaines avant son départ.
Savoir lire ne suffit pas : il faut savoir choisir et critiquer ce qu'on lit. Ce n'est pas seulement « l'instruction » qu'il faut conquérir, c'est la culture. Régis Messac
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Cirroco Jones a écrit :Une question tout à fait people
Le fils de Régis Messac, Ralph, s'est-il appelé ainsi à la suite de la lecture du roman de Gernsback? Ce n'était vraiment pas un prénom courant à l'époque en France (il est né milieu des années 20); et comme le père venait de passer plusieurs années sur le continent américain d'où il a ramené les prémices d'un fandom français...
Le prénom de Ralph, fils de Régis, fait bien référence à Ralph 124C 41+. Cependant, ce n'est pas au retour du séjour américain de la famille (1924-1929) que le prénom a été déclaré à l'état civil, mais en septembre 24 quelques jours ou quelques semaines avant son départ.
Et voilà ce que c'est de farfouiller sans prendre de notes. Pas sérieux de ma part Mais je suis quand même satisfaite d'avoir plus ou moins déduit la raison de ce prénom inusité.
Un grand romantique en tout cas.
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Par contre, j'ai appris qu'un ouvrage était en train d'être réalisé sur cet auteur par Guibert Lejeune à paraître en 2009.
http://www.etab.ac-caen.fr/lebrun/histo … p?choix=11
Je tiens ici à préciser que le document pdf mis en ligne sur cette page (biographie) comporte des erreurs, que les notes bibliographiques qui lui font suite sont très incomplètes, comportent des inexactitudes, des omissions et des interrogations. En fait, il ne s’agit là que d’un document de travail, qui n’était pas destiné à être publié en l’état.
Savoir lire ne suffit pas : il faut savoir choisir et critiquer ce qu'on lit. Ce n'est pas seulement « l'instruction » qu'il faut conquérir, c'est la culture. Régis Messac
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sur le fil consacré au prix Nocturne :
Je ne peux que conseiller vivement ici, la lecture de l'ouvrage de Francis Berthelot sur les transfictions qui nous permet de voir plus loin que le bout de nos nez de lecteurs de conjectures (rationnelles ou pas) : Bibliothèque de l'Entre-Mondes : guide de lecture, les transfictions. (Gallimard, coll. Folio SF n° 225, octobre 2005, 333 pages, 6,20 €)
Suit un article extrait du site de Sandrine Brugot-Maillard : http://www.mesimaginaires.com/critiques … ctions.htm
dans lequel on peut lire : « On peut être étonné de trouver [dans la liste de livres primordiaux pour ce non-genre] certains titres que l'on croyait déjà bien classés : Fahrenheit 451 de Bradbury (…). »
À ce propos, si l’on connaît l'histoire des grandes destructions de bibliothèque, notamment par le livre de Lucien X. Polastron : Histoire de la destruction sans fin des bibliothèques (Denoël, coll. Médiations GF, janvier 2004, 430 pages, 3.36 €), il est ici intéressant de faire état d’un fait historique relevé par Régis Messac dans son essai l’Écrivain et les puissances, publié en 1939. On y lit :
« Le souverain est le maître absolu dans le domaine littéraire comme dans les autres. Il peut mettre le poète au premier rang ou anéantir la poésie, selon sa fantaisie. De tels faits ne son pas sans exemple. L’empereur chinois Tché-Houang Ti * (221-210 avant J. C.) ordonna la destruction complète de toute la littérature ancienne. Ses ordres furent rigoureusement exécutés, et les manuscrits recherchés avec un zèle infatigable. Ce qui nous reste de la littérature antérieure à Tché-Houang Ti ne nous est parvenu que grâce à la mémoire des lettrés qui survécurent à l’empereur iconoclaste et qui couchèrent à nouveau par écrit, après sa mort, les poèmes qu’ils avaient appris par cœur. Mode de transmission sujet à caution ; aventure qui donne une idée de la sujétion dans laquelle littérature et littérateurs peuvent se trouver par rapport aux puissances. »
* il faut lire ici : Ts’in-Che-Houang-Ti, autrement dit : Ts’in premier auguste souverain. Premier souverain impérial chinois, le tyran réalisa une œuvre d’unification considérable sur le plan administratif, monétaire et culturel avec la normalisation de l’écriture, les premiers grands travaux d’irrigation et l’édification de la grande muraille.
Savoir lire ne suffit pas : il faut savoir choisir et critiquer ce qu'on lit. Ce n'est pas seulement « l'instruction » qu'il faut conquérir, c'est la culture. Régis Messac
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Voilà une bien intéressante citation, mais je me souviens d’avoir lu cet été une définition que R. donne de l’utopie, ou de l’esthétique de l’utopie qui ajouterait à son propos. Tu pourrais rechercher ? C’était, je crois, à propos des travaux de Max Nettlau ou de Harry Ross ?
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Je me souviens d’avoir lu cet été une définition que Régis donne de l’utopie, ou de l’esthétique de l’utopie qui ajouterait à son propos. C’était, je crois, à propos des travaux de Max Nettlau ou de Harry Ross ?
Sans doute aurais-tu pu trouver le passage par toi-même : le voici, à propos de Utopias Old and New de Harry Ross (Nicholson & Watson, Londres, c. 1939) :
« Une utopie, la description d’une société imaginaire, n’est jamais entièrement imaginaire. L’auteur, qu’il le veuille ou non, y reproduit en partie la société de son temps : ce qu’il nous décrit, c’est en réalité la société où il vit, mais revue et corrigée, embellie et idéalisée, ou au contraire, enlaidie et caricaturée, car il y a aussi des utopies satiriques, et ce sont souvent les plus amusantes. Une histoire des utopies serait donc une histoire des idéaux de l’humanité, des luttes et des critiques sociales, qui devrait être à chaque instant mise en relation avec l’histoire des sociétés réelles. »
La suite, sans lien direct avec notre sujet, est à l'adresse de Versins et de ses continuateurs.
Savoir lire ne suffit pas : il faut savoir choisir et critiquer ce qu'on lit. Ce n'est pas seulement « l'instruction » qu'il faut conquérir, c'est la culture. Régis Messac
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Messac, Régis (1893-1945)
A bas le latin !,
Issy-les-Moulineaux (Seine), Éditions de la fenêtre ouverte, (1933). In-8, 104 p.
Dernière modification par Fantomas (22-10-2006 19:42:47)
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Auteur(s) : Messac, Régis (1893-1945)
Titre(s) : Régis Messac. Smith Conundrum, roman d'une université américaine [Texte imprimé]
Publication : Querqueville, l'Amitié par le livre, (s. d.). In-16, 171 p. [Don 174-57] -XcR-
(1931?)
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La base donne 1990 pour l'édition du "Miroir Flexible" chez Orion (éd. limitée à 280 ex.), or mon exemplaire donne 1989 comme année d'édition, à corriger donc. Ce même ouvrage mentionne le pseudo de Messac : Columbus North et la parution de ce texte dans : Les Primaires n°47 à 53 (11/1933 - 05/1934)
Le danger de devenir idiots n'est pas de nature à effrayer les hommes, car, à tout prendre, ça ne les changera pas beaucoup. Jacques Spitz
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La base donne 1990 pour l'édition du "Miroir Flexible" chez Orion (éd. limitée à 280 ex.), or mon exemplaire donne 1989 comme année d'édition, à corriger donc. Ce même ouvrage mentionne le pseudo de Messac : Columbus North et la parution de ce texte dans : Les Primaires n°47 à 53 (11/1933 - 05/1934)
Parfois (souvent?) le DL est différent de l'AI.
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