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Dans la série Les Grands Anciens :
Michel de Pure, Épigone, histoire du siècle futur
Épigone, histoire du siècle futur (1659)
Michel de Pure, Épigone, histoire du siècle futur (1659). Édition établie par Lise Leibacher-Ouvrard et Daniel Maher, Presses de l'Université Laval, Québec, Canada, "Les collections de la République des Lettres", 2005.
246 pages
ISBN : 2-7637-8221-3
Prix : 30 $
Résumé :
En 1659, Michel de Pure publie anonymement un ouvrage intitulé Épigone, Histoire du siècle futur qui, en tant qu'allégorie parodique du roman héroïque, poursuit l'importante réflexion sur l'évolution du genre romanesque que les propos ambigus de La Pretieuse avaient lancée. Mais les lecteurs et spécialistes du XVIIe siècle ignorent encore souvent que ce long roman a reçu une place, certes modeste mais séminale, dans l'histoire de la science-fiction ; il y est souvent reconnu comme la première « uchronie » véritable parce qu'il aurait déplacé, pour la première fois de manière soutenue, la représentation utopique non plus dans l'espace mais dans le temps. Pour ces deux raisons au moins cet ouvrage méritait manifestement une réédition, la première en date depuis sa parution.
Lise Leibacher-Ouvrard est professeur de français à l'Université d'Arizona (Tucson, USA) et spécialiste de littérature et culture du XVIIe siècle, avec pour intérêts particuliers l'histoire de l'utopie, le libertinage (XVIIe-XVIIIe) et l'histoire confessionnelle, littéraire et médicale de la sexualité (XVIe-XVIIIe).
Daniel Maher est professeur de français à l'Université de Calgary et spécialiste de littérature du XVIIe siècle, avec pour intérêts particuliers l'utopie, la préciosité, la galanterie, ainsi que le roman et la nouvelle du XVIIe.
Pour plus de renseignements sur les Collections de la République des Lettres, veuillez consulter le site des Presses de l'Université Laval à l'adresse suivante : www.ulaval.ca/pul/recherche_collec37.html
[ Mis en ligne le 12 mai 2005 par Camille Esmein ]
Sur une colline de Scandinavie, par un beau soir de l'an 2082, un homme marchait d'un pas rapide. Un vent léger soulevait son immense cape noire et agitait mollement ses longs cheveux d'un blanc soyeux. Cet étrange personnage était Warner Ohberg, un prestigieux savant dont le génie paraissait bien proche de la folie (L. Massiéra, Le voleur d'océans, 1955, Mon roman d'aventures 346)
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