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Référencé dans le Rayon SF ce recueil de 6 nouvelles d'un auteur Néerlandais, Jacques Hamelink : "Le règne végétal", traduites du néerlandais par Maddy Buysse, 164p., éd. Albin Michel - Paris - 1966.
Contient :
1. Un orage interrompu
2. Holocauste un dimanche
3. A travers un voile de sommeil et de larmes
4. An den Knaben Elies
5. Tombeau hors de saison
6 La forêt en marche.
Il est fait mention de l'édition originale néerlandaise : Hiet Plantaaring Bewind - 1964 Polak & Van Gennep, Amsterdam.
Ce qui nous donne, en prime son année de naissance 1939, hollandais. Bon, je n'ai pas encore lu ses nouvelles, je ne sais donc pas si elles sont SF ou fantastiques ... le 4ème de couv. parle de "rècits surréalistes" et présente la dernière nouvelle comme un envahissement du domaine humain par la forêt en marche, le règne végétal ... hum ça sent bon l'humus de la SF
Le danger de devenir idiots n'est pas de nature à effrayer les hommes, car, à tout prendre, ça ne les changera pas beaucoup. Jacques Spitz
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Le rayon SF référence un autre recueil de nouvelles du même Hamelink : "Horror vacui" , 5 nouvelles, éd. Albin Michel - Paris - 1970. Malheureusement, je ne possède pas ce dernier ouvrage Mais peut-être l'un d'entre vous ?
Le danger de devenir idiots n'est pas de nature à effrayer les hommes, car, à tout prendre, ça ne les changera pas beaucoup. Jacques Spitz
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Petite notule concernant l'auteur trouvé sur le Net :
HAMELINK, Jacques :
[N] (Terneuzen, Flandre-Orientale, 1939 — ). Professeur de lycée, membre du groupe « Merlijn », poète (premier recueil en 1959), romancier et nouvelliste. « Ses récits où s’insinuent le mythique et le sacré nous font assister au retour à une identité primitive dans la fusion avec la nature élémentaire. Le Règne végétal (1964) et Horror vacui (1966) rassemblent des nouvelles où la réalité familière glisse vers l’étrange et le mystère, des récits où se croisent forces naturelles ténébreuses et cruauté juvénile. » (Jacques Beaudry).
Le danger de devenir idiots n'est pas de nature à effrayer les hommes, car, à tout prendre, ça ne les changera pas beaucoup. Jacques Spitz
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