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Armand MERCIER, était médecin et auteur populaire, ce sont les deux seuls renseignements glanés sur lui (sans trop forcer d’ailleurs). A part « LA VENGEANCE DE KALI », éditions de France, 1932, collection « Le Livre d’Aujourd’hui », broché in-12° avec une couverture illustrée (mais existant également sans couverture illustrée), sur les mystères de l’Inde et « SAMPO LE MYSTERIEUX », éditions de France, 1929, broché in-12° sans couverture illustrée (sauf erreur de ma part), sur les mystères de l’Indochine, romans plus exotiques malgré tous les poncifs du genre, que véritablement fantastiques, nous lui devons une légère incursion dans la science –fiction avec : « CATALYSE », aux éditions des portiques en 1930, ouvrage broché in-12° dont voici le tenant :
La conjecture dans ce chef-d’œuvre sans grand intérêt tient essentiellement dans la découverte, suite à une erreur de manipulation, de la Nirvânine, un puissant anesthésiant appelé à révolutionner la chirurgie. Je passe sur les détails techniques d’une anesthésie ordinaire ( à l’époque du roman), à base de chloral, de chloroforme et autre protoxyte d’azote, pour signaler qu’avec une simple petite injection (sous forme de piqûre) le patient s’endort et le chirurgien peut travailler tranquillement, quelque soit la complexité de l’opération. A son réveil, le patient est frais et dispos.
Je ne connais pas grand-chose en médecine moderne, mais un tel produit miracle (au nom évoquant plus une drogue hallucinogène qu’un anesthésique) n’est pas près de voir le jour. Isma
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