Vous n'êtes pas identifié(e).
Pages : 1
Hors ligne
Pkoi tu l'as pas mis en Hors Genre ?
Le danger de devenir idiots n'est pas de nature à effrayer les hommes, car, à tout prendre, ça ne les changera pas beaucoup. Jacques Spitz
Hors ligne
Parce que SW est hors genre ?
Je rappelle qu'il vaut mieux créer un topic sur un auteur, pas sur un bouquin.
Hors ligne
Parce que SW est hors genre ?
Non, mais ce bouquin oui ! ... remarque, je m'en fous un peu, je tentais juste de faire mon Dave
Le danger de devenir idiots n'est pas de nature à effrayer les hommes, car, à tout prendre, ça ne les changera pas beaucoup. Jacques Spitz
Hors ligne
Il est intéressant en ce sens qu'il est le seul roman de SW publié qui soit non SF.
Et le début a été - plus ou moins - réutilisé pour un de ses FN ultérieurs.
Hors ligne
Il est intéressant en ce sens qu'il est le seul roman de SW publié qui soit non SF.
Et le début a été - plus ou moins - réutilisé pour un de ses FN ultérieurs.
Y aussi ça :
Pairault, Pierre.
La Vercingétorigolade. - Paris : la Pensée universelle, 1972. - 18 cm, 160 p. 15 F.
D.L. 72-12308.
Pairault, Pierre
BN, Impr. [EL 8-Y-4430
Bon, dac, c'est pas un roman
Dernière modification par Totofouinard (13-12-2005 13:16:38)
Sur une colline de Scandinavie, par un beau soir de l'an 2082, un homme marchait d'un pas rapide. Un vent léger soulevait son immense cape noire et agitait mollement ses longs cheveux d'un blanc soyeux. Cet étrange personnage était Warner Ohberg, un prestigieux savant dont le génie paraissait bien proche de la folie (L. Massiéra, Le voleur d'océans, 1955, Mon roman d'aventures 346)
Hors ligne
Stefan Wul à la Pensée Universelle, c'est quand même étonnant...
Hors ligne
Stefan Wul à la Pensée Universelle, c'est quand même étonnant...
N'est-ce pas ? !
Sur une colline de Scandinavie, par un beau soir de l'an 2082, un homme marchait d'un pas rapide. Un vent léger soulevait son immense cape noire et agitait mollement ses longs cheveux d'un blanc soyeux. Cet étrange personnage était Warner Ohberg, un prestigieux savant dont le génie paraissait bien proche de la folie (L. Massiéra, Le voleur d'océans, 1955, Mon roman d'aventures 346)
Hors ligne
Lors du repas à Sèvres, pendant que tu servais d'arbitre silencieux au duo Lehman - AFR, EBH et moi convenions justement que toute la production SF de la Pensée Universelle était digne des séries Z à la ED Wood...
Hors ligne
Lors du repas à Sèvres, pendant que tu servais d'arbitre silencieux
Mais toutoui le toto et il en a appris des choses
au duo Lehman - AFR, EBH et moi convenions justement que toute la production SF de la Pensée Universelle était digne des séries Z à la ED Wood...
J'acquiesce et j'abonde dans ce sens, mais la Vergingétorigolade c'est pas de la rigolade SF !
Sur une colline de Scandinavie, par un beau soir de l'an 2082, un homme marchait d'un pas rapide. Un vent léger soulevait son immense cape noire et agitait mollement ses longs cheveux d'un blanc soyeux. Cet étrange personnage était Warner Ohberg, un prestigieux savant dont le génie paraissait bien proche de la folie (L. Massiéra, Le voleur d'océans, 1955, Mon roman d'aventures 346)
Hors ligne
Pages : 1
[ Générées en 0.012 secondes, 8 requêtes exécutées - Utilisation de la mémoire : 1.21 Mio (pic d'utilisation : 1.33 Mio) ]