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Trouvé récemment : "Le dernier métro n'arrivera jamais" d'Harold Rein, titre original :"Few were left" (1955) - Fasquelle éd. avril 1957. trad. de Jacques Houbart.
Sur le Net quelques infos bibliographiques sur la production de l'auteur :
* * The Fine Art of Soblassery, (ar) Dude - Nov 1958.
* * “Few Were Left” by P. Schuyler Miller, (br) Astounding - Nov 1955.
Une adaptation télé mentionnée :
ARMCHAIR THEATER - (U.K.- LIVE) - 1958/28/November black and white.
ABC (U.S. Broadcaster)
65 min. (B&W)
Teleplay Title: Underground
Written by James Forsyth from Harold Rein's novel of the same name
Directed by William Kotcheff
Starring: Donald Houston; Andrew Cruikshank; Gareth Jones.
Synopsis: Tale of 20 people trapped in London's subway after an explosion assumed by everyone to be an H-Bomb.
Note: Actor Gareth Jones died of a heart attack during this live broadcast. The other actors improvised around his death.
Je vous mets le scan de la jaquette (abimée), du résumé du 4ème de couv., une photo et une courte bio de l'auteur figurant sur le rabat de la jaquette et la couv. sans la jaquette (des fois que vous le trouviez sans ).
Cet auteur m'était totalement inconnu Quelqu'un ici en sait-il un peu plus sur lui (est-il toujours vivant ? a-t-il commis d'autres titres SF ? ... etc. merci ).
Dernière modification par Belzébuth (19-12-2006 12:42:34)
Le danger de devenir idiots n'est pas de nature à effrayer les hommes, car, à tout prendre, ça ne les changera pas beaucoup. Jacques Spitz
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Vu sur la Baie de Singapour (si si ça existe !) le livre d'Harold Rein dans un lot de bouquins SF (notez l'illustration avec spirales +/- reprise dans l'édition française), le vendeur assurait que ses bouquins viennent de la collection particulière de Forest Ackerman !
FEW WERE LEFT by Harold Rein (John Day 1955, 1st ed hc).
En haut à gauche de l'image
Le lien vers l'annonce est là >>> : http://cgi.ebay.com.sg/4SJ-ACKERMAN-12- … 0044562152
Dernière modification par Belzébuth (19-12-2006 12:45:46)
Le danger de devenir idiots n'est pas de nature à effrayer les hommes, car, à tout prendre, ça ne les changera pas beaucoup. Jacques Spitz
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